Parfois, il m'est utile de le dire ?

Réponse au préjugé : « Les Algériens sont des délinquants »

 

Nature du propos : un préjugé, pas un constat

Actuellement, on entend encore ces phrases, ils passent avant tout le monde, ils remplissent les hôpitaux, les prisons, ce sont des délinquants. Ils ne pourront jamais s’intégrer, mais tout ceci n’est pas un constat, mais un préjugé.

Ils n’ont pas d’identité !

Il n’est pas facile d’afficher son identité, surtout si elle est vécue comme une honte, un reproche permanent.

Les instigateurs d’opinion ne se désolent que les Français «aient du mal à se concevoir comme issus d'une immigration» (Benjamin Stora).

On veut dire qu'il n'existe pas en France de pur «autochtone», autrement dit de Français «de souche» tel que tous leurs aïeuls gaulois auraient vécu sur ce territoire.

Par devoir de mémoire collective, ces immigrés n'ont pas seulement construit ou reconstruit la France, ils sont la France dans toute sa diversité et sa richesse, sans oublier que la France est le résultat de ces cultures venues d'ailleurs pour écrire son l'Histoire, notamment en ces périodes auxquels la légitimité même des immigrations semble être l’objet d’un débat polémique

Qualifier l’ensemble d’une population par une étiquette négative relève d’un stéréotype globalisant.
Un préjugé se définit comme un jugement porté avant d’examiner les faits, souvent fondé sur des idées reçues et des expériences partielles.
Le droit français, à travers l’article 225-1 du Code pénal, qualifie ce type de propos de discriminatoire lorsqu’il vise une origine nationale réelle ou supposée.


2. L’histoire et la présence des Algériens en France

2.1 Une immigration ancienne et liée à l’histoire coloniale

  • L’Algérie a été colonisée par la France entre 1830 et 1962.
  • Dès la Première Guerre mondiale, des travailleurs et soldats algériens sont recrutés en masse pour participer à l’effort de guerre.
  • Après 1945, la reconstruction de la France s’appuie sur une main-d’œuvre immigrée, notamment venue d’Algérie.

2.2 Contribution économique et sociale

  • Dans les années 1950-1970, les travailleurs algériens participent au développement de l’industrie, du bâtiment et des services publics.
  • Leur travail contribue directement à la croissance économique française des « Trente Glorieuses » (1945-1975).

3. Les données actuelles sur la population d’origine algérienne

Selon l’INSEE (2021) :

  • 7,0 millions d’immigrés vivent en France (10,3 % de la population totale).
  • Environ 850 000 sont nés en Algérie.
  • 2,5 millions d’immigrés ont acquis la nationalité française.
  • 30 % des Français sont issus de l’immigration sur trois générations (immigrés, enfants, petits-enfants).

Ces chiffres montrent que les personnes d’origine algérienne sont une composante structurelle de la société française.


4. La réalité socio-économique : inégalités mais pas homogénéité

4.1 Éducation

  • Le niveau de diplôme varie fortement :
    • 17 % des immigrés algériens arrivés jeunes ont un diplôme supérieur au baccalauréat (INSEE, 2020).
    • Les descendants d’immigrés maghrébins obtiennent de plus en plus de diplômes, notamment chez les femmes.

4.2 Emploi et revenus

  • Taux de chômage : 13 % pour les immigrés non-européens, contre 8 % pour l’ensemble de la population (INSEE, 2021).
  • Taux de pauvreté : 32 % chez les immigrés, contre 15 % pour la population générale.
    Ces écarts reflètent des inégalités structurelles et non une tendance comportementale universelle.

4.3 Discriminations reconnues

  • Le Défenseur des droits et l’OIT (2017) montrent qu’un candidat avec un prénom à consonance maghrébine a 25 % de chances en moins d’être rappelé après un entretien téléphonique.
  • Les contrôles au faciès sont statistiquement plus fréquents sur les jeunes hommes perçus comme « arabes » ou « noirs » (Rapport Défenseur des droits, 2017).

5. Délinquance : données objectives

Il n’existe pas de statistiques officielles par nationalité sur la délinquance, en raison du principe républicain d’égalité et de non-discrimination.
Les études disponibles montrent :

  • La surreprésentation de jeunes hommes dans certains délits est liée à l’âge, au contexte socio-économique et à l’environnement urbain, pas à l’origine ethnique.
  • Le CNRS (2018) rappelle que la criminalité est corrélée aux inégalités sociales, au chômage et à la précarité, indépendamment de l’origine.

6. Rôle des médias et perception

  • L’INA (2019) montre que les médias français associent plus fréquemment les mots « banlieue » ou « immigration » à des faits divers négatifs, renforçant une image biaisée.
  • Cette surmédiatisation crée une perception déformée de la réalité statistique.

7. Intégration et réussites

Malgré les obstacles, de nombreux Français d’origine algérienne occupent des postes de responsabilité :

  • Médecins, avocats, entrepreneurs, sportifs de haut niveau, artistes.
  • Exemple : Rachid Taha (musique), Karim Benzema (sport), Najat Vallaud-Belkacem (politique).

Ces réussites montrent que l’intégration est une réalité, mais qu’elle est freinée par les discriminations structurelles.


8. Conclusion factuelle

L’affirmation « Les Algériens sont des délinquants » est fausse pour plusieurs raisons :

  1. Elle repose sur un stéréotype qui généralise à partir de cas isolés.
  2. Les données montrent que les difficultés rencontrées par une partie de la population d’origine algérienne sont d’ordre socio-économique et non culturel ou ethnique.
  3. L’histoire, les statistiques et les exemples de réussite démontrent que cette population est indissociable du tissu social, économique et culturel français.

La seule manière de réduire les tensions et les inégalités est de s’attaquer aux causes réelles : éducation, emploi, logement, lutte contre les discriminations.
Cibler un groupe entier sur la base de préjugés alimente la division et nuit à la cohésion nationale.

La France avec une bureaucratie obèse, une compétitivité à la dérive, une éducation nationale gonflée et négative, un système de santé en déroute, une dette abyssale, un pays manœuvré par l’extrême gauche et l’extrême droite, sans aucune volonté de réduire l’horreur et la condamnation que provoque cette animosité, le désir de s’innocenter et de jeter l’opprobre sur l’étranger ici, c'est l’Algérien, tous ces facteurs conduisent à rejeter la faute du ressentiment sur les victimes. Le raciste est conscient de sa cruauté, mais il en place le blâme sur sa victime.

Ainsi donc, je dois dire bravo aux Français de souche, ayant Vercingétorix comme ancêtre (comme Zemmour), mais presque tous issus de l'immigration. Dans les médias, certains se prennent pour Napoléon, mais ils sont plus nombreux à se croire de souche, de qui, de quoi et depuis quand ?

La haine de l’immigré (qui le plus souvent est la haine de soi) est diffusée partout en France, à l’école, à l’université, surtout dans les médias.

Il faut y mettre un terme d’une façon ou d’une autre. Sans quoi il ne restera plus rien ou presque de ce pays, avec son déclin avéré, un pays qui ne croit plus en lui, ne reconnaît pas sa spécificité et a honte de son histoire. Un pays au bord de l’implosion, une explosion dans tous les domaines, sur tout le territoire, et depuis des dizaines d’années, où tout est la faute aux immigrés et aux sans-papiers. À force de ronger l’os, il se brise.  Eric le polémiste fomente la guerre civile dans ses meetings.

Après, on s'étonnera qu'il y ait des français Musulmans en colère, un peu trop et très gonflés, les castors pas trop bêtes que ça, mais des crapules manifestement.

Kader Tahri
Chroniqueur engagé, observateur inquiet
« Il faut dire les choses comme elles sont, mais refuser qu’elles soient comme ça. »

https://kadertahri.blogspot.com/

 

 

 

L’usage abusif de l’antisémitisme: enjeux et dérives

 

Introduction

Dans le débat public contemporain, l’accusation d’antisémitisme joue un rôle central dans la protection contre les propos haineux visant les personnes de confession ou d’origine juive. Toutefois, certains observateurs soulignent que cette accusation, lorsqu’elle est utilisée de manière abusive, peut servir à disqualifier des critiques légitimes, notamment lorsqu’elles portent sur des politiques gouvernementales, des acteurs économiques ou des institutions identifiées comme juives ou pro-israéliennes. Cette situation soulève la question délicate de l’équilibre entre la lutte contre le racisme et la préservation de la liberté d’expression.

Antisémitisme : définition et cadre légal

L’antisémitisme se définit comme toute hostilité ou discrimination envers les Juifs en tant que groupe ethnique ou religieux. En France, il est fermement condamné par la loi (loi du 29 juillet 1881 et loi Gayssot de 1990), et les pouvoirs publics s’engagent à le combattre activement.
Toutefois, cette lutte doit s’inscrire dans un cadre clair, afin d’éviter les amalgames entre critique légitime et discours de haine.

Les formes possibles d’un usage excessif

L’usage abusif de l’accusation d’antisémitisme peut se manifester dans plusieurs contextes :

  • Assimilation de la critique d’une politique de l’État d’Israël à de l’antisémitisme.
  • Disqualification d’analyses portant sur l’influence de lobbies ou de réseaux d’intérêts.
  • Utilisation stratégique de l’accusation pour interrompre ou empêcher un débat contradictoire.

Dans ces cas, la confusion entre identité religieuse ou ethnique et position politique peut entraîner une restriction de la liberté d’expression. L’antisémitisme est cependant une notion très bizarre. Elle est aujourd’hui assénée tous azimuts sur les critiques du capitalisme, de la haute banque, sur les critiques de certains lobbies, sur les critiques du judaïsme, sur les critiques du sionisme comme sur quasiment tous ceux qualifiés au préalable de complotistes (ces derniers sont expulsés brutalement du genre humain). Quiconque regarde ce qui se cache dans les coulisses, dirait-on, est nécessairement antisémite, parfois fou et complotiste en prime.

La moindre compassion à l’égard du peuple palestinien martyrisé, nié dans son existence, exclu de tout droit humain, est interdite. Du reste, tant les anonymes que les personnalités qui ont protesté contre les crimes de Netanyahu ont souvent été poursuivis pour incitation à la haine raciale et apologie de terrorisme.

Enjeux démocratiques et sociétaux

La lutte contre l’antisémitisme est indispensable et doit rester prioritaire pour préserver le vivre-ensemble. Cependant, lorsque l’accusation devient un outil de protection d’intérêts particuliers plutôt qu’un moyen de combattre la haine, elle risque d’affaiblir sa légitimité. À long terme, cette dérive peut générer un climat de méfiance et nourrir des ressentiments, ce qui va à l’encontre de l’objectif initial.

Vers une clarification des critères

Afin de préserver à la fois la lutte contre l’antisémitisme et la liberté d’expression, il est nécessaire de clarifier les critères qui permettent de distinguer :

  1. La critique légitime : portant sur des faits, des décisions politiques, ou des acteurs identifiables, avec arguments vérifiables.
  2. Le discours antisémite : visant un groupe dans son ensemble en raison de son appartenance ethnique ou religieuse.

Cette distinction est essentielle pour éviter les amalgames et garantir un débat public sain.

Conclusion

Plus Israël agit militairement, plus il détruit, tue et affame, plus ses autorités s’empressent de taxer d’antisémitisme toute personne émettant quelque critique à leur endroit. Souvent l’utilisation de ce redoutable anathème s’effectue avant l’intensification des frappes de Tsahal. 
Néanmoins cette accusation éhontée d’antisémitisme, destinée à foudroyer l’insolent en l’extrayant de la société conforme, en le marginalisant, en l’essentialisant, en le dégradant devant l’opinion, en le délégitimant, en le discréditant, en définitive en lui interdisant de parler, en lui coupant l’accès à tout media, est une arme qui est également maniée très régulièrement par les agents du sionisme international en Occident en particulier. Et cette arme est d’autant plus redoutable qu’elle laisse une trace indélébile sur l’identité de l’individu qui fut ciblé, à tort ou à raison, par cette accusation d’antisémitisme. 

Protéger la société contre l’antisémitisme est un impératif moral et juridique. Mais cet impératif ne doit pas servir à museler toute contestation. La vigilance consiste à condamner fermement les propos haineux tout en préservant la possibilité d’une critique libre et argumentée des politiques ou institutions, quelle que soit leur affiliation. Ce n’étaient que des vociférations de protestation envers une vérité historique qui tombe sous le sens. L’histoire des juifs est à l’image de ceux-ci, mêlant le pire et le meilleur, dans cette société ethniquement cloisonnée, seules les minorités ont le droit de revendiquer leur identité. Le juif a encore des efforts à faire. Quant à hurler en permanence à l'antisémitisme, Venir ensuite sangloter contre une certaine exclusion, après avoir tout fait pour s'affirmer différent, relève alors de la plus profonde hypocrisie, c'est à la fois dégueulasse et indigne.

Adieu ô peuple élu ! Un jour la Palestine va probablement devenir judenrein!

Kader Tahri
Chroniqueur engagé, observateur inquiet
« Il faut dire les choses comme elles sont, mais refuser qu’elles soient comme ça. »

https://kadertahri.blogspot.com/

 

Les Juifs de service au-delà des caricatures

Introduction :

Le sujet, c'est bien cette sordide dérive de l'extrême droite,  y compris dans sa composante dite juive. Les fachos, identitaires ou d’autres obédiences, qui sont tous coutumiers de la fabrication de faux, au lancement de discours identique aux Nazis sur les juifs de l’époque avec ceux de la fachosphère Zemmour&Cie sur les Immigrés et les musulmans en particulier.

Le très Français Zemmour (Juif de négation) pour incarner cette identité française conspuée, tout ça simplement parce qu’il aime passionnément la France et sauver la France envers et contre tout. C’est ça, l’universalisme français, qui se moque des origines mais s’attache au partage d’un amour pour la France. C’est ça la France! Toujours des héritiers des idéologues suprématistes. 

Eh oui, La salamandre Zemmour est un être habile et glissant, il n’a pas le souci de la vérité  et surtout celui des intérêts de sa tribu. L’ennui c’est que ce caractère d Zorba le Grec  en l’absence de compassion ne se complète pas chez lui par une grande virilité physique (euphémisme).

Comme un courageux soldat de Tsahal, Zemmour hystérise le foulard, il admet le cas par cas, en généralisant on passe à côté de certaines libertés fondamentales, Zemour n’en a que faire, il s’en sert comme un étendard pour ses soumis. La cohérence est la mesure de la vérité, zemour prend l’eau de partout pour peu qu’on gratte. Personne n’est pour que des clandestins débarquent, zemour n’a rien inventé, Zemour est un produit médiatique pour mettre sous tension les français qui au final admettront tout et n’importe quoi concernant le bien être, leurs acquis sociaux etc...

C’est la continuité de la banque par un discours nationaliste, mais économiquement mondialiste quoi qu’il en dise, ces positions même quand ils les abois ne font que remonter cet arnaque.  , il est chargé de mettre au niveau des caniveaux l’islam, ensuite remonter les uns contre les autres sur des sujets ultra intime qui n’ont aucune prise sur l’UE ou les organisateurs de ce mondialisme, simplement dézinguer la France, puissance atomique.

Ils ont dézingué le christianisme Ils prêchent la « protection des chrétiens », mais restent silencieux quand Israël leur crache dessus et bombarde, détruit leurs églises à Gaza. Ils se gargarisent de la France, nation de culture «judéo» chrétienne, mais ignorent les chrétiens persécutés et tués en Terre Sainte. Pourquoi ? Parce qu’ils sont à la solde de Tel-Aviv, prêts à fermer les yeux sur les injustices pour préserver leurs alliances politiques et économiques. Leur hypocrisie sert des intérêts géopolitiques, sacrifiant les valeurs chrétiennes qu’ils prétendent défendre sur l’autel de la realpolitik.

Les fachos, identitaires ou d’autres obédiences (CRIF et  Elnet) sont des groupes de pression à l’échelle européenne et ils ne s’en cachent pas, sont coutumiers de la fabrication de faux, au lancement de discours identique aux Nazis sur les juifs de l’époque avec ceux de la fachosphère Zemmour&Cie sur les Arabes et les musulmans en particulier. Derrière les slogans, derrière les drapeaux, il n’y aura que la jouissance cynique d’une caste qui se repaît du malheur des Français. Hypocrites, déviants, ils appellent ça engagement. Cela ne mérite pas de débat, mais un châtiment. Ce cancer diabolique enfanté par les deux plus grands ennemis de la France : la perfide Albion (Royaume-Uni)  et l’empire maçonnique des États-Unis.

Le débat public sur Éric Zemmour, l’immigration et le rôle des institutions juives en France a récemment été relancé par un article au ton polémique, afin de dépasser les caricatures. Mais cela éclairerait peut être ceux qui s’imaginent encore que Moïse Zemmour les guideraient vers la terre promise d’une France purifiée de ses parasites Musulmans.

Derrière les slogans, derrière les drapeaux, il n’y aura que la jouissance cynique d’une caste qui se repaît du malheur des Français. Hypocrites, déviants, ils appellent ça engagement. Exactement, et nous savons tous qui nous ne pouvons pas citer ! Qui contrôle les médias, qui fait chanter les pays avec les banques et le trafic d'influence. Bref Une belle diversion.

La meilleure diversion c’est d’agiter « les Frères Musulmans » pour éviter de parler de ceux qui verrouillent réellement les leviers du pouvoir La question est : cet écran de fumée fonctionnera jusqu’à quand ?

Toute a fait ce n’est qu’un drapeau agité pour dévier le regard…. Aujourd’hui les sionistes ont pris le contrôle de la France en se pistonnant aux postes clés.Cela ne mérite pas de débat, mais un châtiment.


Diversité politique au sein du judaïsme français

Le judaïsme français ne constitue pas un bloc monolithique. Les estimations avancent environ 500 000 personnes d’origines, de pratiques religieuses et d’opinions politiques variées. Certaines soutiennent Éric Zemmour, d’autres s’y opposent, et beaucoup restent à distance du débat. Les institutions comme le CRIF ou le grand rabbinat représentent un cadre de dialogue avec les pouvoirs publics sur  leurs valeurs, qui sont celles du Talmud"  avec une large autorité pour parler « au nom » de tous les juifs de France. Cette d’acceptation et d’adhésion  internes est confirmée par les débats repris par les médias communautaires.

Personne parmi les érudits qui ont étudié le judaïsme dans le monde occidental n'ignore que les textes et principes qui déterminent le judaïsme  depuis l'écriture du Talmud sont totalement incompatibles avec les systèmes démocratiques occidentaux. Seuls les imbéciles du monde politique tel un adhérant au  CRIF qui affirmait le contraire sans avoir jamais ouvert un Talmud prétendent le contraire, pour mieux tenter, avec de gros sabots, de récupérer des voix juives dans leur délire clientéliste,.

Et il est inutile de finasser pour avoir l'air érudit en dissociant telle école juive d'une autre, puisque le seul texte de base, supposé divin, est l'unique référence du judaïsme réel, c'est-à-dire pas fantasmé par des occidentaux bêlants ou des juifs menteurs. Un livre qui déclare la guerre au monde  non juif, doit être interdit d'enseignement et ses prédicateurs expulsés,  Dès lors, si des immigrés d'origine musulmane veulent vivre parmi nous parce qu'ils ont fui l'islam ils sont les bienvenus ( s'il reste de la place chez nous ), par contre les immigrés qui se réclament de l'islam doivent être expulsés ou interdits de toute visibilité en tant que musulmans, ce qui revient à fermer les mosquées par exemple et refuser toute forme d'accommodement du genre abattage halal.

Le rôle réel du CRIF et des institutions

Dans une France asservie, paralysée et occupée, le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) est avant tout un interlocuteur institutionnel de l’État, non une instance de contrôle politique.

Ses prises de position, notamment lors du dîner annuel, font souvent débat — y compris au sein de la communauté. De nombreuses voix internes critiquent ses choix d’invités ou sa manière de communiquer. Assimiler ces positions à une manœuvre politique coordonnée avec l’État est réducteur et ne reflète pas la complexité des rapports entre institutions juives, pouvoirs publics et société civile.

Dans la veule soumission à un puissant lobby  Le CRIF et ses amis, ou ses obligés, ne peuvent rien contre le tsunami de réactions au génocide des Palestiniens opéré par le pouvoir militaire ultraraciste de Tel-Aviv. Ce n’est même pas la peine de lutter, sinon dire qu’il fait beau quand il pleut, que le Hamas est responsable des 60 000 à 100 000 morts de Gaza, ou que seuls les soldats israéliens dans Gaza sont victimes de génocide.

Le mensonge israélite est une mouche sur le derrière d’éléphant de la réalité avec une  réelle influence sur la mouvance populiste à la Zemmour, à la Knafo, à la Marion Maréchal, à la CNews). 


La Shoah : un sujet qui exige rigueur, comme Gaza

La mémoire de la Shoah, inscrite dans l’histoire nationale et internationale, n’appartient à aucun courant politique. Accuser des institutions de « manipuler » cette mémoire pour des objectifs électoraux est une affirmation grave, qui nécessite des preuves solides et vérifiées. La recherche historique sur la Shoah et ses usages en politique est un domaine complexe, traité par des historiens comme Annette Wieviorka ou Henry Rousso, qui insistent sur la nécessité d’éviter les instrumentalisations — de part et d’autre. L’histoire des juifs nous apprend que ce qui a énerve les Egyptiens, les Romains, les Babyloniens, les Perses, l’Eglise Catholique et son Juif Perfide, les Musulmans, les Espagnols, les Nazis et les Soviétiques continue a énerver le monde entier aujourd'hui  Tous ont voulu exterminer, expulser, faire disparaître, dénoncer les Juifs...

Le principal problème est qu'on nous martèle avec la Shoah et à chercher à en faire les victimes de l'histoire, pour tomber dans la rhétorique d'essayer de nous expliquer que la souffrance des juifs a été supérieure et que ça justifie plein de choses. Comme par exemple, ce type de comportement,   parce qu'ils sont juifs qu'ils volent la terre des autres avec l'excuse classique : "C'est dieu qui m'a donné cette Terre", suffisamment médiatisé ou enseigné.

En insistant lourdement sur la Shoah, le sionisme mène un but éminemment politique pour l’entité israélienne qui doit faire oublier sa désastreuse image raciste et colonialiste. Que dire ? Même si ça choque quelques-uns, c’est du même ordre que Gaza : détruire pour détruire, tuer pour tuer, 

OK pour parler de la Shoah mais alors il faut parler du génocide, et il se perpètre toujours dans l’indifférence quasi générale, à Gaza.

 Gaza : l’extermination de toutes les petites Ann Frank de la bande de Gaza !
- Shoah par balle
- Shoah par feu - Holocauste
- Shoah par bombe
- Shoah par faim et soif.

En fait, on l’a compris, c’est tout pour Israël, rien pour les autres. Tout pour les Juifs, rien pour les goyim. Or, s’il est une entité criminelle qui pratique depuis sa genèse et jusqu’à aujourd’hui un terrorisme d’Erat, c’est bien l’Eretz.


Immigration et antisémitisme : un débat complexe

Il est incontestable que Antisémite soit à la mode, ça l’est devenu à partir du moment où la politique israélienne d’extrême droite (CRIF et consorts) a eu besoin de contrôler la liberté d’expression dans les médias occidentaux pour accélérer son projet de destruction de la nation palestinienne et de colonisation totale de la Palestine. Cependant, réduire la question à un affrontement communautaire ignore la multiplicité des causes : tensions géopolitiques, crispations identitaires, fracture sociale.

La politique migratoire et la lutte contre l’antisémitisme doivent être discutées avec rigueur et nuances, afin d’éviter que des groupes entiers soient stigmatisés.

Ce guidage par une minorité dite éclairée a des relents de paternalisme despotique qui trouve peu d’écho auprès d’un peuple d’élite historique aux réalisations grandioses et d’une insubmersible irrévérence : le panache français est peu réceptif aux génuflexions imposées par une escorte non sollicitée.

Aujourd’hui, les juifs en France sont une communauté, un parti politique, une synagogue, un lobby, un club, une société secrète et  tout cela. Ils  ont en commun  l’origine,  les croyances, la classe sociale,  les opinions  les comportements. Ce qui est moyenâgeux, c’est lorsque le fait communautaire implique un isolement dans des modes de vie, un repli sur soi dans des relations sociales, à hurler en permanence à l'antisémitisme, pour venir ensuite sangloter contre une certaine exclusion, après avoir tout fait pour s'affirmer différent, relève alors de la plus profonde hypocrisie, c'est à la fois dégueulasse et indigne, c’est dire que le communautarisme juif en prenant son fantasme pour la réalité, ne cesse de planifier de la revendication de droits religieux, des droits spécifiques qui priment sur les droits sociétales de toute un  pays afin de se préserver de toute influence.


Conclusion : pour un débat apaisé et factuel

Critiquer le CRIF, le grand rabbinat ou toute autre institution est un droit humain  et démocratique. Tout en évitant  les amalgames et les généralisations, surtout lorsqu’elle concerne des communautés minoritaires. Le débat sur l’immigration, la mémoire et le rôle des institutions mérite d’être mené avec nuance, afin que les désaccords ne dégénèrent pas en hostilité ou en accusations globalisantes.

Aujourd’hui, il faut dé-sioniser le monde, en commençant par la France devenue un pitoyable Sionistan aux ordres de pervers suprémacistes/racialistes/expansionnistes et aujourd’hui génocidaires : ceux que le grand penseur Juif israélien Leibowitz qualifiait de judéo-nazis avec tant de pertinence ! La dé-sionisation ne relève donc pas de l’utopie, mais du simple fait de ne pas se tromper d’ennemi,  plutôt que de se laisser manipuler par les medias aux ordres des sionistes.

Quant à hurler en permanence à l'antisémitisme, Venir ensuite sangloter contre une certaine exclusion, après avoir tout fait pour s'affirmer différent, relève alors de la plus profonde hypocrisie, c'est à la fois dégueulasse et indigne.

Adieu ô peuple élu la Palestine va probablement devenir judenrein!


Kader Tahri
Chroniqueur engagé, observateur inquiet
« Il faut dire les choses comme elles sont, mais refuser qu’elles soient comme ça. »

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Les Médias de Masse Occidentaux : le Faux et l’Usage du Faux face au Génocide de Gaza

 

"Les mass media qui nous conditionnent, loin d'élargir les perspectives, les ont rétrécies ou fermées." — Maurice Genevoix, Bestiaire sans oubli (1971)

Silence complice et désinformation organisée

En 2025, alors que le peuple palestinien subit un bombardement incessant et une destruction systématique de ses infrastructures, la grande majorité des médias occidentaux maintient une posture de silence complice ou diffuse un narratif biaisé, aligné sur les intérêts géopolitiques de leurs gouvernements.
Le génocide à Gaza est relégué à la marge de l’actualité, noyé dans des récits humanitaires édulcorés ou dans des accusations unilatérales contre les victimes elles-mêmes. La manipulation obstinée des émotions est utilisée pour déchaîner un remous d’insanité collective, tandis que les crimes de guerre flagrants de l’armée israélienne sont minimisés, justifiés, ou passés sous silence..


Une propagande de guerre assumée

La situation actuelle n’est pas un accident. Elle s’inscrit dans une longue tradition de propagande occidentale :

  • Première guerre du Golfe (1991)
  • Invasion de l’Irak (2003)
  • Destruction de la Libye (2011)
  • Guerre en Syrie
  • Narratif unique sur la guerre en Ukraine (2022–…)

À chaque fois, les médias mainstream occidentaux ont agi comme relais de communication des États et de leurs alliés stratégiques, travestissant la réalité, censurant les voix dissidentes, et amplifiant les campagnes de diabolisation.


Gaza : l’asymétrie militaire occultée

L’un des angles les plus révélateurs de ce biais est l’absence d’analyse sur l’asymétrie flagrante entre les moyens militaires israéliens (aviation, artillerie lourde, missiles de précision) et la résistance palestinienne, limitée à des armes artisanales et à un réseau de tunnels.
Alors que l’Occident n’hésite pas à invoquer la métaphore « David contre Goliath » pour décrire l’Ukraine face à la Russie, il refuse obstinément de l’appliquer à Gaza.
Cette hypocrisie médiatique illustre à quel point l’information n’est plus qu’un outil de légitimation politique

Israël dispose d’une armée suréquipée, d’une aviation redoutable et de technologies de pointe, tandis que la résistance palestinienne est limitée à des moyens rudimentaires.
Pourtant, contrairement à l’Ukraine présentée comme « David contre Goliath », Gaza n’est jamais décrite sous l’angle de l’asymétrie flagrante.
Cette différence de traitement révèle une hypocrisie structurelle dans la couverture médiatique.


Le double standard médiatique

Conflit

Traitement médiatique occidental

Ce deux poids, deux mesures est une marque de fabrique des grands médias alignés.

La couverture médiatique occidentale du conflit à Gaza contraste radicalement avec la mobilisation totale des rédactions sur l’Ukraine :

  • En Ukraine : narratif unifié, glorification d’un chef d’État, minimisation des crimes de guerre du camp allié.
  • À Gaza : invisibilisation des victimes civiles, absence de contextualisation historique, absence de mention des violations du droit international par Israël.

Ce traitement différencié ne relève pas du hasard : il obéit à une logique géopolitique où l’allié stratégique est protégé, coûte que coûte.


L’Empire du mensonge et ses relais

Les grands médias sont étroitement connectés aux structures d’influence : Ces réseaux garantissent un flux constant de narratifs uniformisés, présentés comme de l’« information » mais produits dans le cadre d’objectifs stratégiques. Les organes médiatiques dominants sont financés, influencés ou alimentés par des structures directement liées aux appareils étatiques et aux think tanks occidentaux : USAID, NED, Open Society Foundations, Omidyar Network, European Endowment for Democracy…
Cette interconnexion entre pouvoir politique, intérêts économiques et production d’« information » crée un système fermé où la vérité est filtrée, remodelée ou supprimée.

 


L’urgence d’une information alternative

Face à cette propagande, des médias indépendants et des journalistes dissidents tentent de rétablir les faits.
Sur Gaza, ils documentent les bombardements, les crimes de guerre et le nettoyage ethnique en cours.
C’est dans ces espaces que la vérité peut encore émerger, loin du filtre impérialiste. Face à cette machine à fabriquer du consentement, des médias indépendants, des réseaux alternatifs et des journalistes dissidents tentent de briser le mur du silence.
C’est dans ces espaces que peuvent émerger des analyses débarrassées du filtre impérialiste, où Gaza est décrite pour ce qu’elle est : le théâtre d’un nettoyage ethnique et d’un génocide en temps réel.


Conclusion

Le cas de Gaza en 2025 confirme que les médias de masse occidentaux ne sont pas des observateurs neutres, mais des acteurs de la guerre de l’information. Le cas de Gaza en 2025 confirme une constante : les médias de masse occidentaux ne sont pas des observateurs neutres, mais des acteurs engagés dans la guerre de l’information.
Leur silence, leurs omissions et leur narratif sélectif ne relèvent pas de l’incompétence, mais d’un choix politique conscient.
Dans ce contexte, l’accès à une information libre et pluraliste n’est pas seulement une question de liberté de la presse — c’est une question de survie pour la vérité.
Leur silence et leurs omissions relèvent d’un choix politique conscient.
Dans ce contexte, défendre une presse libre et pluraliste n’est pas une option : c’est une nécessité vitale.

Kader Tahri
Chroniqueur engagé, observateur inquiet
« 
Il faut dire les choses comme elles sont, mais refuser qu’elles soient comme ça. »

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La légende du Juif Errant

 

De nos jours, le juif se demande pourquoi tant de haine à son égard :

Tu seras un sujet d’étonnement, de proverbe et de raillerie parmi tous les peuples chez qui l’Eternel te conduira. (Deutéronome 28:37

Introduction à la légende du Juif Errant

De toutes les histoires, celle du Juif Errant est sans nul doute une des plus répandues.

La mystérieuse figure du Juif Éternel errant a toujours intrigué les romanciers, les poètes, les érudits ou les peintres ont étudié, commenté et reproduit sous différentes formes ses traits immuables.

La légende du Juif errant est l’un des récits les plus emblématiques du folklore chrétien européen. Transmise depuis le XIIIᵉ siècle, elle raconte l’histoire d’un homme condamné à marcher sans jamais trouver le repos, jusqu’au retour du Christ. Cette figure mythique, à mi-chemin entre symbole religieux et archétype littéraire, a inspiré poètes, écrivains, peintres et théologiens pendant des siècles.


Origines médiévales de la légende

Les premières sources écrites

La plus ancienne mention connue apparaît dans les chroniques médiévales Flores historiarum de Roger de Wendover et Chronica maiora de Matthieu Paris. On y retrouve la figure d’un homme — souvent nommé Cartophilus — qui aurait croisé Jésus sur le chemin du Golgotha. Selon le récit, il lui aurait intimé d’avancer plus vite. Jésus lui aurait alors répondu qu’il marcherait jusqu’à sa seconde venue, condamné à l’errance éternelle.

Diffusion en Europe

À partir du Moyen Âge, la légende se répand dans toute l’Europe, traduite et adaptée dans diverses langues. Chaque pays y apporte ses nuances, mais la trame reste identique : un homme immortel, témoin de l’Histoire, portant un fardeau mystique.


Symbolisme et interprétations religieuses

Une figure morale et spirituelle

Pour les prédicateurs médiévaux, le Juif errant symbolise l’âme en peine, incapable de trouver le repos en dehors de la réconciliation avec Dieu. Ce personnage sert de leçon morale sur l’endurcissement du cœur et le refus de la vérité divine.

L’antijudaïsme médiéval

Il faut replacer la légende dans le contexte du Moyen Âge, marqué par un fort antijudaïsme chrétien. Pendant longtemps, certains sermons ont exploité cette histoire pour justifier la marginalisation des communautés juives.
Cependant, l’Église catholique a officiellement changé de position au XXᵉ siècle, en rejetant l’idée d’une culpabilité collective des Juifs dans la mort de Jésus.

L’évolution du discours ecclésiastique

Vatican II et Nostra aetate

Adoptée en 1965, la déclaration Nostra aetate marque un tournant majeur. Elle affirme que ni tous les Juifs de l’époque du Christ, ni les Juifs d’aujourd’hui, ne peuvent être tenus pour responsables de sa crucifixion. Cette position rompt avec des siècles d’interprétations hostiles.

De la malédiction au dialogue interreligieux

Aujourd’hui, la figure du Juif errant n’est plus utilisée comme argument théologique. Elle est étudiée comme un objet de folklore, un mythe ayant évolué avec les mentalités et reflétant les tensions historiques entre judaïsme et christianisme.


Impact culturel et artistique

Littérature et poésie

La légende a inspiré des écrivains comme Eugène Sue, Shelley, Goethe ou encore Matthew Lewis. Dans leurs œuvres, le Juif errant devient parfois un voyageur philosophe, parfois un témoin mélancolique de l’humanité.

Peinture et arts visuels

Du XIXᵉ siècle à aujourd’hui, peintres et illustrateurs se sont approprié cette figure, tantôt comme symbole d’exil et de solitude, tantôt comme allégorie de la persistance à travers le temps.


Héritage contemporain

De nos jours, le Juif errant est une figure culturelle étudiée dans les universités, les musées et la littérature comparée. Sa charge symbolique interroge sur la mémoire, l’exil, la condition humaine et les conséquences des préjugés historiques.


Légende du Juif Errant

Pourquoi est-il condamné à errer ?
Selon la légende, pour avoir maltraité Jésus lors de son chemin vers la crucifixion.

La légende a-t-elle des connotations antisémites ?
Historiquement, oui. Elle a souvent été utilisée dans un contexte d’antijudaïsme chrétien. Aujourd’hui, elle est étudiée avec un regard critique.

Que dit l’Église aujourd’hui ?
Depuis 1965, l’Église catholique rejette toute culpabilité collective des Juifs et promeut le dialogue interreligieux.

Pourquoi cette légende fascine-t-elle encore ?
Elle incarne des thèmes universels : la quête de rédemption, l’errance, la mémoire et la condition humaine.

Kader Tahri
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L’occupation à grande échelle de Gaza par Netanyahou se prépare

 

Une stratégie militaire controversée

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou présente son plan pour Gaza comme prudent et pragmatique. Pourtant, derrière ce discours se cache, selon de nombreux observateurs, une stratégie visant à prolonger l’occupation militaire et à consolider le contrôle sur le territoire.

Depuis des décennies, les politiques menées en Cisjordanie ont suivi le même schéma : expansion discrète, négociations gelées, justifications sécuritaires répétées. Gaza semble aujourd’hui sur la même trajectoire.


Un dirigeant clivant et contesté

Benjamin Netanyahou est accusé par ses détracteurs d’entretenir un état de guerre permanent.
Les critiques soulignent :

  • Son double langage : un discours rassurant à l’international, un autre plus radical en interne.
  • Une absence de responsabilité politique face aux échecs militaires et diplomatiques.
  • Une stratégie électorale basée sur la peur et le nationalisme.

L’objectif, selon ces voix critiques, n’est pas la paix, mais la prolongation du conflit pour renforcer sa position politique.


Des accusations graves : nettoyage ethnique et crimes de guerre

Plusieurs organisations de défense des droits humains dénoncent ce qu’elles qualifient de politique d’expulsion et de destruction systématique à Gaza et en Cisjordanie.
Les méthodes accusées incluent :

  • Le déplacement forcé de populations.
  • Les bombardements massifs en zones civiles.
  • Le blocage de l’aide humanitaire.

Ces pratiques, largement documentées, suscitent une condamnation internationale croissante.


Conséquences pour la société israélienne

Si Netanyahou est le visage de cette politique, ses opposants estiment qu’une partie significative de la société israélienne soutient — ou tolère — ces actions.
Les divisions internes se creusent :

  • Une minorité militante anti-occupation.
  • Une majorité silencieuse ou favorable aux actions du gouvernement.
  • Des tensions croissantes entre impératifs sécuritaires et respect du droit international.

Quel avenir pour Gaza et la paix au Proche-Orient ?

La question centrale reste : les Israéliens peuvent-ils se libérer de l’occupation et reconnaître les droits humains des Palestiniens ?
Sans changement politique majeur, l’occupation pourrait s’intensifier, rendant tout règlement pacifique encore plus lointain.
La communauté internationale, quant à elle, devra choisir entre la passivité et une action diplomatique ferme pour éviter un nouvel épisode tragique dans l’histoire de la région.

 Kader Tahri

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