Parfois, il m'est utile de le dire ?

  L'idée de ce travail est née de la lecture des échanges sur des forums, lors de dialogues entre musulmans et chrétiens. Ces échanges s...

Gaza : Silence on affame puis on tue !!!!

 


Entre fièvre génocidaire et Gaza , la communauté internationale a de forte raison d’être inquiète , tant par les échos qu’ils ont des israéliens que les politiques qui soutiennent les manifestations grandissantes des opposants à Gvir , Smotrich , Kalz , Kahan sous gouvernement Nétanyahu, des détails plus précis sur leur capacité à imposer leur plan , au mépris des otages , mépris des familles d’otages , mépris du droit à la protection civile jusqu’à la famine , mépris des mères et des enfants , mépris de volonté de discernement entre civils innocents, bienfaiteurs médecins , humanitaires, diplomates visés à l’arme de guerre , mépris même des inquiétudes des citoyens israéliens , mépris du monde  pour ses œuvres et son passé . 

Rien n’arrête Netanyahu, et son armée la plus barbare au monde !

La fille de Nirim : un crime oublié des débuts de l’État d’Israël

 


Le crime de Nirim illustre la violence ayant présidé à la naissance de l'État. Une culture où une jeune fille, violée, rejetée a finalement été abattue près des champs d’oliviers d'un kibboutz.

En 1949, une jeune Bédouine a été enlevée, violée et exécutée par des soldats israéliens. L'histoire a effacé son nom. Les détails barbares de ses derniers instants ont été enterrés avec son corps.


Son nom n'a jamais été consigné.

Son âge ? Probablement entre 15 et 20 ans. Cette jeune Bédouine du désert du Néguev a été enlevée à l'été 1949, lors d’une patrouille menée par des soldats des Forces de défense israéliennes nouvellement formées. À ses côtés se trouvaient deux hommes arabes. L'un a été abattu sur place. L'autre s'est échappé. La jeune fille a été faite prisonnière et traînée dans un avant-poste de l'armée israélienne près du kibboutz Nirim.

C'était une chaude journée d'août.

Le commandant de l'avant-poste, un officier d'une vingtaine d'années, décida d'organiser une fête pour son unité. Ils rassemblèrent des pâtisseries, des boissons et du vin dans le kibboutz. Les soldats ont apporté un gâteau. Des discours furent prononcés. Puis le commandant donna le choix aux soldats. Il y avait deux options, dit-il, pour cette la jeune fille : soit elle devenait aide-cuisinière à l'avant-poste, soit les hommes la violaient à tour de rôle.

Les soldats ont ri et ont crié leur réponse. Ils ont choisi le viol.

Elle a été déshabillée devant tous les soldats. Ses vêtements ont été jetés au feu. Les soldats l'ont lavée au tuyau d'arrosage, alors qu'elle se tenait là, nue à la vue de tous. Son corps a été métamorphosé en spectacle. On lui a donné un short et un maillot. Ces vêtements sont devenus une source de fierté pour les hommes : ils plaisantaient à son sujet comme à propos d’un trophée ou d’un jouet.

Les soldats sont entrés dans la tente les uns après les autres. Elle a été violée à plusieurs reprises, pendant des heures.

Puis le commandant l'a emmenée de force, la gardant pour lui dans sa tente.

Plus tard, certains soldats ont affirmé s’être sentis mal à l'aise, évitant de la regarder dans les yeux. Mais personne n'est intervenu. Un soldat cuisinier a déclaré que la scène l'avait rendu malade. Il a fini par rapporter ce qui s'était passé, mais pas avant le dernier acte.

Le lendemain, le commandant a décidé qu'elle devait être tuée.

Une jeep a été réquisitionnée. La jeune fille, qui ne comprenait probablement pas la langue parlée autour d'elle, a été sortie de la tente décommandant. Elle a dû comprendre ce qui se passait et s'est mise à courir.

Elle n'a parcouru que six mètres.

Une balle l'a touchée à l'arrière de la tête. Un soldat a déclaré plus tard que son sang avait imprégné le sable. Un autre a plaisanté en disant qu'il fallait récupérer le short qu'on lui avait donné.

Elle a été enterrée dans une tombe peu profonde, nue à partir de la taille.

Certains hommes ont ensuite été traduits en cour martiale, non pour viol ou meurtre, mais pour “négligence dans la prévention d'un crime”. Les peines ont été légères. Le commandant qui avait orchestré tout cela n'a été sanctionné qu'avec indulgence. L'armée israélienne a discrètement réintégré ces hommes. Aucun nom n'a été publié. Aucun mémorial n'a été érigé. Aucune excuse n'a jamais été présentée.

On ne connaît pas le nom de la jeune fille. Sa famille n'a pas pu l'enterrer. Il ne reste aucune trace de sa tombe.

Ce n'était pas un acte isolé. L'armée israélienne était en gestation, mais elle avait été constituée à partir de milices armées clandestines – la Haganah, l'Irgoun et le Lehi – des organisations qui avaient depuis longtemps brouillé les frontières entre action militaire et terrorisme civil. Ce sont ces groupes qui ont rasé des villages palestiniens, expulsé la population et transformé des civils en dommages collatéraux.

Le crime de Nirim a donné un aperçu du type de violence qui a présidé à la naissance de l'État.

Une culture où une jeune fille peut être transmise d'un homme à l'autre, rejetée et finalement abattue, tout près des champs d’oliviers et de blé d'un kibboutz.

Où des soldats pouvaient débattre de son sort autour d'un gâteau et d'une bouteille de vin.

Où personne n’a dit non.

Où une jeune Bédouine, sans nom et pieds nus, a subi un enfer par des hommes en uniforme, puis été abandonnée dans une tombe anonyme, non pas par des ennemis, mais par ceux qui se disaient les protecteurs d'une nouvelle nation.

Elle méritait un nom.

Elle méritait la dignité.

Elle méritait la vie.

Par Mira Askar, le 5 juillet 2025  Traduit par Spirit of Free Speech


Voilà les raisons historiques du lieu ou les combattants de la Résistance Palestinienne avait visé le kibboutz de Nirim le 7 Octobre

 

 

discours d'Abu Obeida, porte-parole militaire des Brigades Ezzedine Al-Qassam /

 

Voici l'intégralité du discours d'Abu Obeida, traduit en français (18/07/2025) :

"Ô notre peuple patient, enraciné et croyant dans la grande Gaza, Ô fils de notre peuple partout dans le monde, Ô masses de notre nation islamique et arabe, Et à tous les Hommes libres de ce monde : Que la paix, la miséricorde et les bénédictions de Dieu soient sur vous. Quatre mois se sont écoulés depuis que l'ennemi sioniste a repris son agression barbare et nazie contre notre peuple dans la bande de Gaza, trahissant ses engagements et rompant l'accord conclu avec la résistance en janvier de cette année. Après avoir menti aux médiateurs et au monde, il est revenu, en quête d'une victoire illusoire, poursuivant son sadisme contre les civils et les enfants, et exerçant le passe-temps de ses gangs : la destruction méthodique des quartiers, des villes et des rassemblements civils. Cette guerre brutale, qui dure depuis 21 mois, est le récit de la fermeté des montagnes que sont nos combattants, de la patience des prophètes que manifeste notre peuple généreux et digne, et de la honte des oppresseurs usurpateurs, sans oublier l'abandon honteux de certains frères de sang, d'arabité et d'islam, sauf ceux que Dieu a épargnés parmi les sincères, les combattants et les peuples opprimés. L'ennemi a baptisé ces derniers mois son opération du nom de « Chariots de Gédéon », tentant d'habiller son affrontement raciste et nazi d'un vernis pseudo-biblique. Mais nous lui avons opposé, par la grâce de Dieu, une série d'opérations baptisées « Pierres de David », en s'inspirant du soutien divin apporté à David face à Goliath l'oppresseur

. Et Dieu a ouvert la voie à nos combattants, a guidé leurs tirs et a été avec eux à chaque frappe, car : « Ce n'est pas toi qui as tiré, mais c'est Dieu qui a tiré. » Nos combattants, côte à côte avec leurs frères des autres factions, et en particulier nos frères des Brigades Al-Quds, mènent un combat inégal avec une foi inébranlable, une volonté ferme, une force incroyable, et ont infligé des centaines de morts et de blessés dans les rangs de l'ennemi, sans compter les milliers souffrant de troubles psychologiques et de stress post-traumatique. Le nombre de suicides dans les rangs ennemis ne cesse d'augmenter, tant la résistance qu'ils affrontent est féroce et enveloppée du soutien divin. Nos combattants surprennent l'ennemi avec de nouvelles tactiques et approches, tirant les leçons de la guerre la plus longue de notre histoire. Ils mènent des opérations héroïques sans précédent : Des attaques ciblées contre les blindés, des combats rapprochés, des tirs de snipers, des explosions de bâtiments, de tunnels, des embuscades complexes et des assauts sur les forces ennemies.

Le monde entier a vu nos héros grimper sur les véhicules blindés de l'ennemi à Khan Younès, atteindre les soldats sionistes à bout portant, neutraliser un criminel responsable de la démolition de maisons civiles, et saisir ses armes. Ces dernières semaines, nos combattants ont tenté plusieurs enlèvements de soldats, dont certains ont failli réussir, n'eût été la volonté divine, puis les exécutions collectives opérées par l'ennemi (dans le cadre de la procédure Hannibal) dès qu'il soupçonnait une tentative de capture. Les opérations de nos combattants se sont étendues du nord et de l'est de Beit Hanoun et Jabalia, en passant par Tuffah, Shujaiya et Zeitoun, jusqu'à Khan Younès et Rafah, faisant de la résistance de Gaza la plus grande école militaire de résistance d'un peuple sous occupation dans l'histoire contemporaine.

Ô notre peuple, ô notre nation, Nous, dans les Brigades Ezzedine Al-Qassam, après vingt-et-un mois de la bataille Déluge d'Al-Aqsa et de la guerre sioniste nazie contre notre peuple, affirmons ce qui suit:

Premièrement :

Nos combattants et frères de la résistance sont pleinement prêts à poursuivre une guerre d'usure longue contre l'occupant, quelle que soit la forme de son agression. Nos combattants ont juré fidélité, fermeté et intensification des coups jusqu'à la fin de l'agression ou le martyre. Notre combat est un principe, un droit incontestable, un devoir religieux et national sacré. Nous n'avons d'autre choix que de combattre avec force, résolution et une foi indomptable. Nous combattrons avec les pierres de la terre, avec ce que nous avons, avec des Hommes qui accomplissent des miracles avec peu d'armes, par la grâce de Dieu. La stratégie actuelle de la direction des Brigades Al-Qassam est de causer un maximum de pertes dans les rangs ennemis, par des opérations à bout portant, et d'œuvrer à la capture de soldats sionistes.

Si le gouvernement terroriste de l'ennemi choisit de poursuivre sa guerre d'extermination, il choisit en même temps de continuer à accueillir les cercueils de ses soldats et officiers. Leurs chars ne les sauveront pas, et ils ne seront pas protégés des feux de la mort forgés par des mains croyantes et lancés par la main de Dieu : « Ils pensaient que leurs forteresses les mettraient à l'abri de Dieu, mais Dieu les a atteints d'où ils ne s'y attendaient pas, et a jeté l'effroi dans leurs cœurs. »

Deuxièmement :

Bien que nous soyons fiers de la fermeté et des exploits de nos combattants, nous sommes pleinement conscients de l'ampleur de la douleur et de la souffrance vécues par notre peuple meurtri et nos familles patientes, dont nous partageons les souffrances jour après jour. Et le fait que nous accomplissions notre devoir, que notre Seigneur nous a confié dans la défense et le combat contre cet ennemi, ne dispense pas la nation des deux milliards [de musulmans] de son devoir, qu'elle a malheureusement négligé.

Notre ennemi est soutenu par les puissances les plus injustes au monde, qui lui fournissent un flux ininterrompu d'armes et de munitions, tandis que les forces de notre nation regardent passivement leurs frères sur la terre du front se faire massacrer par dizaines de milliers, affamés, privés d'eau et de médicaments.

Et nous disons à l'Histoire, avec toute l'amertume et la douleur, et devant tous les enfants de notre nation : Ô dirigeants, élites, partis, savants de la nation islamique et arabe : Vous êtes nos adversaires devant Dieu. Vous êtes les adversaires de chaque enfant orphelin, de chaque femme endeuillée, de chaque déplacé, exilé, blessé ou affamé. Vous avez le sang de dizaines de milliers d'innocents sur les mains, trahis par votre silence. Et cet ennemi criminel et nazi n'aurait pu commettre ce génocide en votre présence sans être assuré de votre impunité, de votre silence, et d'avoir acheté votre abandon. Nous ne disculpons personne de la responsabilité de ce sang qui coule. Et nous n'exemptons personne qui a la capacité d'agir, chacun selon ses moyens et son influence.

Par Dieu, nous voyons l'humiliation, le mépris de l'ennemi pour notre nation, sa transgression et sa tyrannie, et nos cœurs saignent de douleur car nous connaissons la lâcheté, la faiblesse et l'humiliation de cet ennemi, ainsi que sa vraie nature. Et nous savons, avant tout, cette vérité divine : « Vous leur inspirez plus de crainte que Dieu lui-même. » S'il avait été confronté à la fierté de l'islam et à la noblesse arabe, il aurait été défait. Mais c'est la décadence... « Dieu nous suffit, Il est le meilleur garant. » Une nation aussi grande, aussi noble, aussi glorieuse n'est-elle pas capable de faire parvenir nourriture, eau et médicaments à ceux qui meurent de faim et sont assiégés à Gaza ? N'est-elle pas capable d'arrêter le torrent de sang qui coule et qui vise à terroriser notre Oumma et à la briser pour établir un empire sioniste sur les terres de l'arabité et de l'islam, avec pour capitale votre première Qibla et le lieu d'ascension de votre Prophète ou peut-être sur ses ruines ? Que les yeux des lâches ne connaissent pas le sommeil. En face, nous saluons avec fierté notre peuple bien-aimé et béni du Yémen de la foi et de la sagesse, ses forces armées et nos frères sincères d'Ansar Allah, qui ont stupéfié le monde par leur fermeté et leur position constante envers la Palestine, Gaza, son peuple et ses combattants.

Ils ont imposé à l'ennemi un nouveau front actif, preuve irréfutable contre ceux qui se taisent parmi les grands régimes, partis et forces arabes et islamiques, dont certains ne sont plus que des façades de l'oppression et des calmants pour les peuples et leur jeunesse libre. Leur crédibilité et leurs grands slogans sont désormais mis à l'épreuve face à leur abandon et leur incapacité à soutenir la cause la plus pure et la plus sacrée des Arabes et des musulmans. Quant aux Hommes libres du monde, nous les remercions pour leurs initiatives de solidarité, leurs tentatives de briser le blocus et de soulager l'injustice faite à notre peuple, malgré les risques, l'abandon, et les tentatives de diffamation menées par les hypocrites de la nation, qui se sentent visés par chaque cri. Nous appelons à renforcer ces initiatives, à les poursuivre, et à exposer l'ennemi par tous les moyens, dans tous les domaines.

Troisièmement :

Nous soutenons avec force la position de la délégation de négociation de la résistance palestinienne dans les négociations indirectes avec l'ennemi. Et nous avons proposé à plusieurs reprises, au cours des derniers mois, de conclure un accord global dans lequel nous remettrions tous les captifs ennemis d'un seul coup. Mais le criminel de guerre Netanyahu et ses ministres issus du mouvement nazi ont refusé cette offre. Il est apparu pour nous qu'ils ne s'intéressaient pas aux prisonniers, puisqu'il s'agit de soldats, et que leur dossier n'est pas une priorité pour eux. Ils ont préparé l'opinion publique à accepter l'idée de leur mort collective.

Quant à nous, nous nous sommes engagés à les garder vivants autant que possible jusqu'à maintenant, tout en suivant de près ce qui se passe dans les négociations. Nous espérons qu'elles aboutiront à un accord garantissant l'arrêt de la guerre contre notre peuple, le retrait des forces d'occupation, et la fourniture d'aide à nos familles. Mais si l'ennemi persiste dans son entêtement et se dérobe à ce cycle de négociation, comme il l'a fait à chaque fois, alors nous ne garantissons pas de revenir à la formule des échanges partiels, ni à la proposition des dix prisonniers.

Quatrièmement :

Parmi les signes de l'échec sioniste dans l'affrontement avec la résistance et dans sa tentative de briser notre peuple, il y a son recours à des solutions viles, qui constituent des crimes de guerre, des punitions collectives, un génocide et un nettoyage ethnique, soutenus malheureusement de manière évidente par l'administration américaine. Il rivalise d'ingéniosité pour torturer les innocents, déclare publiquement son intention de déporter les gens, se vante de sa destruction méthodique comme s'il s'agissait d'un exploit militaire, et présente au monde des plans pour établir des camps de détention nazis sous des appellations humanitaires fictives et mensongères.

Cet ennemi veut reproduire des expériences survenues il y a plusieurs décennies et les projeter sur ses adversaires, avec une cruauté et un sadisme qui feraient paraître le nazisme modéré. Ceci appelle au refus de l'ensemble du monde de ces camps. Sinon, le mensonge de l'antisémitisme, dont nos ennemis se nourrissent depuis des décennies, deviendra une mascarade et une honte. Ce n'est pas la faute de notre peuple s'il doit payer le prix des complexes psychologiques du sionisme criminel. Les sionistes doivent savoir que la haine naturelle que les nations leur portent ne vient pas de leur origine, mais de leurs actes et de leurs crimes contre l'humanité.

Cinquièmement :

Les tentatives de recruter des mercenaires et des agents de l'occupation sous des noms arabes sont le signe de l'échec, et une recette certaine de la défaite. Ces agents ne seront que des cartes brûlées, balayées par la conscience de notre peuple, sa dignité, et son rejet de la trahison. Ce que l'ennemi dépense sur eux ne lui vaudra que regret, ruine, et perte manifeste, à lui et à ses collaborateurs, par la permission de Dieu. Nous appelons ces agents à se repentir immédiatement et à revenir dans les bras de leur peuple avant qu'il ne soit trop tard, quand le regret ne sera plus d'aucune utilité. Sinon, leur fin sera tragique, et une leçon pour chaque traître et lâche. Nous n'oublions pas d'exprimer notre immense reconnaissance et notre fierté envers les familles et les tribus honorables de notre peuple, qui se sont dissociés de cette poignée d'agents isolés, qui ne représentent qu'eux-mêmes. Enfin, à toi, ô peuple patient et résilient, Ô source de révolution, Ô forgeron d'Hommes, Vous qui, chaque jour, accompagnez une caravane lumineuse de martyrs,

Ô frères de Moïse, l'interlocuteur de Dieu, que les pires ennemis de Dieu ont persécuté, et qui ne répondit que par : « Non ! Mon Seigneur est avec moi, Il me guidera. » Ô descendants de Joseph, trahi par ses frères et jeté au fond du puits, puis à qui la victoire et la puissance furent données, Ô bien-aimés de Muhammad , qui fut assiégé dans la vallée, poursuivi dans la grotte, acculé à Uhud, et secouru par son Seigneur : « Dieu te suffira contre eux. » Ô frères de la famille de Yassir, lorsqu'ils furent torturés dans le sentier de Dieu, et il leur fut annoncé : « Patience, ô famille de Yassir, votre rendez-vous est le Paradis. »

Votre fermeté malgré l'abandon, votre patience, votre sacrifice, votre défi à l'oppression et à la privation, c'est cela même qui exaspère vos ennemis. Et cette nuit connaîtra une fin, sans aucun doute. La victoire vient avec la patience. Le soulagement avec la détresse. Et avec la difficulté vient la facilité. Nous embrassons la tête de chacun de nos fils patients, enracinés, victorieux, par la permission de Dieu. Nous leur adressons le plus grand des saluts. Et nous leur annonçons la bonne nouvelle de notre Seigneur, Gloire à Lui : « À Dieu appartient le commandement avant et après. Et ce jour-là, les croyants se réjouiront de la victoire de Dieu. Il donne la victoire à qui Il veut, et Il est le Tout-Puissant, le Très Miséricordieux. » C'est la promesse de Dieu. Dieu ne manque jamais à Sa promesse. Mais la plupart des gens ne savent pas. C'est un combat : victoire ou martyre. Et que la paix, la miséricorde et les bénédictions de Dieu soient sur vous."

Israël/Gaza : Manipulation mémorielle

 


Le débat sur Gaza s’enfonce dans une bataille de mots :                                                                       Peut-on nier le génocideque subit la population de Gaza?                                                                   Peut-on signaler un  Israël, sioniste, colonialiste, dominant à la haine brute ?                                     Faut-il s’en tenir au terme de crimes de guerre ou crimes contre l’humanité?                                          Il suffit de dire  le sionisme est un apartheid ?                                                        

Une récente tribune relayée dans plusieurs médias tente de dénoncer l’instrumentalisation du terme “génocide” contre Israël et de défendre la pureté du concept à travers le prisme mémoriel de la Shoah. Israël et ses alliées médiatiques se battent religieusement contre le terme de «génocide» dont l’unique signification reste la destruction méthodique d'un groupe humain, ainsi aujourd’hui les récents massacres perpétrées depuis Octobre 2023 contre la population de Gaza, présentent parfaitement le caractère génocidaire des actes progressifs qui avaient permis à l’armée sioniste et ses stratèges de guerre d’anéantir plus de 100.000 Palestiniens (une évaluation approximative)

Ce raisonnement, apparemment rigoureux sur le plan juridique, s’avère en réalité profondément biaisé, partial et déshumanisant. Pire, il balaie d’un revers de main les dizaines de milliers de morts civils, les destructions massives, les disparitions d’hôpitaux, d’écoles, de logements, et les famines annoncées dans l’enclave la plus densément peuplée du monde.

Israël et la presse occidentale ont préféré simplifier plutôt qu’informer, surtout à faire douter de la culpabilité d’Israël avérée par le son et l’image avec une  intention sciemment de tout détruire et les discours haineux de nombreux responsables israéliens, qui assimilent toute la population gazaouie à une “menace existentielle” et “des animaux humains”, justifiant ainsi les représailles les plus extrêmes

Sous prétexte que Gaza ne serait pas Auschwitz et que la Shoah serait unique, avec l’ absurdité de vouloir réconcilier les mémoires des oppresseurs et des opprimés, des colonisateurs et des colonisés, des bourreaux et des victimes, on refuse même d’interroger la nature des exactions commises à Gaza. On transforme une crise humanitaire majeure en simple “dommage collatéral” d’une “guerre imposée à Israël”, alors que le droit international impose des limites strictes, même en cas de conflit armé, juste pour défendre la dénonciation d’un supposé “privilège victimaire des Juifs” qu’il faudrait préserver. Cet angle est une tentative grossière de disqualification morale : toute critique d’Israël serait suspecte, car elle viserait à rabaisser la mémoire juive.

Ce chantage émotionnel est non seulement malhonnête mais surtout toxique pour la mémoire universelle. Reconnaître la Shoah comme un crime unique dans son ampleur n’interdit en rien de nommer d’autres crimes pour ce qu’ils sont. Les Palestiniens n’ont pas à payer le prix historique de la Shoah. Leur souffrance mérite respect et justice, sans être systématiquement comparée, minimisée ou instrumentalisée.

Le génocide des Gaza se traduit également le point essentiel : l’intention génocidaire peut se déduire des actes et des effets matériels. La destruction systématique des infrastructures vitales, la privation délibérée de nourriture, d’eau, d’électricité, et les déplacements forcés correspondent très concrètement aux critères établis par les tribunaux internationaux.

Gaza nous offre l’image flagrant d’une destruction à grande échelle  des bâtiments sur plusieurs zones de Gaza donne une impression que de vie disparue et on comprend l’impression que  à Gaza «tout a été détruit dans une intention génocidaire».

Plusieurs spécialistes en droit international, y compris des Israéliens comme Omer Bartov, estiment que des éléments matériels et déclarations politiques remplissent ces critères à Gaza. Le génocide peut se déduire non seulement des actes mais aussi de la politique systématique de destruction, des discours déshumanisants de hauts responsables et de la brutalité disproportionnée sur une population civile enfermée.

A Gaza, Omer Bartov parle des infrastructures détruites, des pénuries alimentaires, des déplacements forcés et des discours de certains dirigeants israéliens assimilant la population tout entière à des ennemis absolus et il conclut que les critères juridiques de génocide sont présents et qu’il faut tirer la sonnette d’alarme. Autrement dit, il alerte sur Gaza pour éviter Buczac

Le droit international interdit les massacres systématiques, même en deçà du “génocide total”. Des milliers de morts civiles, des quartiers rasés, une population affamée et déplacée constituent un crime gravissime, indépendamment de l’échelle.

Surtout, cette stratégie rhétorique revient à relativiser la souffrance palestinienne sous prétexte qu’ils sont des terroristes. Or, chaque mort civile, chaque enfant privé d’eau ou de soins, est une tragédie qui mérite qu’on s’y attarde sans faire de hiérarchie choquante.

En fait, aucune législation internationale ne permit à Etat colonisateur, fort de sa souveraineté  de massacrer une partie de la population colonisée. Cependant Israël avait toujours évite soigneusement toute référence aux causes structurelles du conflit : occupation militaire, colonisation des terres palestiniennes, blocus total de Gaza depuis près de deux décennies, apartheid reconnu par de nombreuses ONG internationales.

On nous parle d’une guerre “imposée”, mais on tait les décennies d’oppression, de spoliation et de violation du droit international. On transforme un peuple colonisé en agresseur, Israël en simple “État assiégé” alors qu’il dispose de l’une des armées les plus puissantes au monde.

Israël mène une guerre dans une action  que certains ont qualifiée de génocidaire, celle de la destruction totale de Gaza, dans la mesure où elle visait à soumettre cette population à des conditions de vie menant à sa destruction. Réduire Gaza à un simple champ de bataille après le 7 octobre, sans analyser la colonisation et les souffrances prolongées, constitue une forme de négation politique. Israël dissimule totalement les causes profondes du conflit, notamment l’occupation militaire, le blocus, les colonies illégales et le traitement d'apartheid dénoncé par plusieurs ONG.

Donc même en guerre, le massacre de milliers de civils, y compris femmes et enfants, la destruction massive d’hôpitaux et d’infrastructures vitales relèvent d’un crime international, que ce soit génocide ou crime contre l’humanité.

 

Assimiler Gaza à Auschwitz serait démesuré, mais refuser d’employer tout terme de génocide au prétexte qu’il y a eu pire revient à relativiser la gravité extrême de la situation à Gaza. Les souffrances des populations civiles sont universelles. Si Gaza est autant médiatisé, c’est parce que la communauté internationale finance Israël, le protège diplomatiquement, et reste complice de fait.

Cependant et malgré les équivoques médiatique occidentaux et israéliennes, le reste du monde a le devoir d’expliquer les manipulations mémorielles en jeu à ceux qui veulent soustraire  l’acte d’Israël dans le  génocide à Gaza. Revendiquer justice pour les Palestiniens n’enlève rien à la mémoire de la Shoah. On peut dénoncer deux tragédies sans opposer les victimes.

Dénoncer que les souffrances à Gaza ne sont ni exagérées ni manipulées, mais souvent sous-estimées. Il est légitime de parler de crime de masse, voire de génocide conditionnel, et surtout de crime contre l’humanité, sans tomber dans des polémiques mémorielles. Citer la mémoire de la Shoah ne doit pas servir de prétexte pour excuser l’injustice contre un autre peuple.

Il faut dénoncer sans ambiguïté toute instrumentalisation politique de la mémoire. Oui, la Shoah est un événement unique, mais le génocide de Gaza est plus féroce, il y a un plaisir de tuer, cela ne donne à aucun État, fût-il Israël, le droit de massacrer en toute impunité.

Oui, il y a des amalgames dangereux, mais le véritable danger est de laisser croire que certaines vies humaines valent moins que d’autres, que certaines souffrances sont moins légitimes parce qu’elles viennent des “mauvais” peuples. Face aux crimes perpétrés à Gaza, il est urgent de sortir de ce déni collectif. Il est urgent de dénoncer les faits, d’exiger la justice, et de ne pas laisser les manipulations mémorielles étouffer la voix des opprimés.

Le droit international interdit les destructions massives intentionnelles, même à échelle moindre que la Shoah. Un crime reste un crime, indépendamment de l’histoire du monde. Mais ce qui se passe à Gaza aujourd’hui  est peut-être pire Auschwitz,   cela ressemble dangereusement à un crime collectif qui laissera une trace indélébile dans l’histoire contemporaine.

Gaza est l’exemple parfait du cynisme contemporain un territoire occupé au mépris du droit, un peuple effacé au nom des intérêts, et un conflit que ni l’ONU, ni l’Occident, ni les États-Unis, ni les monarchies du Golfe ne veulent voir résolu. Israël colonise et annexe à son bon vouloir, massacre la population autochtone, les Etat Unis et ses alliés soutiennent l’oppression, les pétromonarchies regardent et  applaudissent. Pendant ce temps, les Palestiniens restent les oubliés officiels du nouvel ordre régional. La realpolitik a ses préférés. Le droit garde ses orphelins.

Gaza est au cœur de l’actualité, c’est précisément parce que le monde musulman a  collectivement les moyens d’arrêter le massacre, contrairement à d’autres zones de conflit oubliées. L’hypocrisie ne consiste pas à dénoncer Gaza, mais à fermer les yeux sous prétexte qu’il y aurait pire ailleurs.

Le mensonge sioniste d’un cessez le feu !

 

                                                                    Un criminel d'enfant

Netanyahou trouve toujours un prétexte pour torpiller les négociations de manière à assurer sa survie politique.
Généralement le visage des criminels  dégagent traîtrises, mensonges, manipulations, calomnies, déloyauté félonie, forfaiture, fourberie, coup fourré, mauvaise foi trahison des  acteurs du pire comme victimes d’une manipulation à leur insu, il ne faut peut-être pas exagérer.

Dans le genre "Criminel", Hitler n'est pas en tête, Netanyahou fait mieux,  certes, une tragédie pour les civils de Gaza et le droit international.

Netanyahou a-t-il un autre atout dans sa manche ?

Netanyahou, maître de la propagande et de la manipulation, convainc les faibles d'esprit qu'ils doivent soutenir Israël pour se « défendre » sous peine de chute. Israël chutera de toute façon s'il continue à se «défendre» en attaquant et en bombardant partout ailleurs.

Je suis sûr qu'Israël a eu un avant-goût de ce qui arrive lorsque e monde  riposte sérieusement. L’Occident semble facilement dupé par Netanyahou ; il mériterait un prix de faussaire pour son jeu d'acteur.

Tous les présidents ont déclaré publiquement que Netanyahou était un menteur, qu'on ne pouvait pas lui faire confiance ou qu'il était dans le délire. Pourtant, Netanyahou continue de les ridiculiser et ils reviennent sans cesse pour les humilier davantage, le clown Trump n’est pas entièrement ancré dans la réalité et pourrait très bien faire des déclarations sur un cessez-le-feu imminent sans se rendre compte que Netanyahu n’a aucune envie de conclure un accord.

Netanyahou trouve toujours un prétexte pour torpiller les négociations de manière à assurer sa survie politique. De toute évidence, c'est Netanyahou qui mène la danse

Avec un Biden très sénile et apparemment endoctriné par Golda Meir en 1973.
Avec un Trump trop clown, cette fois  a été mis K.O. par la fronde venimeuse de Netanyahou, camouflée en candidature au prix Nobel de la paix.

D'un autre côté, il ment et répète ses mensonges même après qu'ils ont été révélés. Ses partisans considèrent cela comme un jeu d'échecs en plusieurs dimensions.

Quant aux Israéliens, ils sont tous sympathisants de Netanyahou ce qui m'évite de verser des larmes sur leur sort. Un grand déménagement devrait être prévu.

La Shoah a lieu également à Gaza !

 

Guerre contre les enfant de Gaza
Je voudrai reprendre ici les positions prophétiques de Yeshayashu Leibowitz, savant et philosophe d’Israël, qui avait exprimé librement et catégoriquement ses  convictions en estimant que le seul pays au monde dans lequel les Juifs sont en danger, c’est l’État d’Israël par son chantage victimaire des accusations hystériques, les procédures arbitraires, par la haine et le mépris des autres qu’ils traitent avec une morgue insupportable, par le génocide d’un peuple dont le seul tort est de n’avoir jamais quitté la terre palestinienne, lui, depuis des milliers d’année.

N’est-ce pas là la grande vérité de la colonisation de la Palestine !!!!!!

De manière obsessionnelle Israël s'est figé à la mémoire la Shoah des juifs tués pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aujourd’hui ‘entité sioniste composé d"extrémistes et de fanatiques commettrait à l’égard des Palestiniens un génocide comparable aux Nazis sur les Juifs, l’histoire semblerait vouloir se répéter, chose entendue souvent : Gaza reste une prison à ciel ouvert comme le ghetto de Varsovie, avec une intention claire : effacer les Palestiniens de Gaza pris pour cible en tant que peuple voire sa destruction physique totale ou partielle, il me semble évident que qu’Israël qui bombarde et affame la population de Gaza par un processus génocidaire avec une forme de déshumanisation vis-à-vis des Palestiniens.  

ce qui fait faire de lui un «État paria»  qui  mène toute azimut son combat idéologique contre l’idée même que le peuple Palestinien puisse disposer de sa propre nation, libre et indépendante, au cœur du Moyen-Orient. Ce refus des sionistes israéliens a engendré des violences répétées, des guerres et une instabilité chronique, alimentant une haine qui trouve sa racine dans un désir de nier à la Palestine son droit le plus fondamental : celui d’exister en tant qu’État, comme n’importe quelle autre nation, libre de ses choix et de ses actions.

Cette politique israélienne étant un État colonialiste, pratique l’apartheid, voire le génocide à l’égard de la population palestinienne par des assassinat sans fin,  voilà le mot exact les israéliens ne sont bons qu’à assassiner, c’est à dire de manière fourbe et sournoise, dix fois plus armés si ce n’est avec du poison, généralement des cibles désarmées mais dans tous les cas plus faibles qu’eux et dans la majorité des cas par surprise. Si seulement ils s’arrêtaient à cette infamie, ils en vantent le mérite, la force et le courage. Comme l’a dit un courageux rappeur "Death to the IDF".

Les menaces qui pèsent sur Gaza se sont redoublées d’une façon dramatique, ce peuple  n’a pas d’autre choix que de lutter, et la guerre génère des drames, mais beaucoup préfèrent s’en détourner. Le génocide de Gaza est illégale qu’on tente maintenant de le légitimer d’une autre manière : on ne parle plus de « droit international », mais du  droit de se défendre contre le terrorisme de Hamas, alors que les sionistes d’Israël  assassinent froidement les enfants, les femmes les civils de Gaza tout en criant haut et fort, ils aboient férocement, ils savent se faire remarquer, mais pas si forts en réalité, lorsque ils se retrouvent en face de quelques résistant fantôme de Hamas.

La résistance Palestinienne pense que défendre Gaza fait partie de son devoir citoyen arabe, car les Palestiniens ne sont souvent que les premiers sur les listes…Le génocide de Gaza est illégale qu’on tente maintenant de la légitimer d’une autre manière : on ne parle plus de « droit international », mais du « terrorisme de Hamas».

Les sionistes d’Israël ont déjà réussi à propager partout dans le monde, en particulier auprès des politiques occidentaux, la haine de la résistance Palestinienne, des partis politiques les défendent, la plupart des médias les soutiennent et surtout il faudrait également noter que cette haine des Palestiniens est aussi répandue discrètement par les régimes arabes ayant normalisaient leurs relations avec l’entité sioniste.

Israël avec son gouvernement avec des ministres extrémistes et des fanatiques proches des pires religieux d’Israël, reste une  dictature dirigée par un paranoïaque se fixant des objectifs démentiels et qui va les mettre à exécution, au bout du rouleau, il n’a même plus la force de mentir, héros malgré lui, heureux d’être mystifié par des courtisans lèche-bottes, censés lui procurer la longévité, voire la gloire,  dégustant les tristes singeries télévisées d’idéologues fanatisés à son gré,

Ainsi Israël à la merci d’un fou sanguinaire qui ne cherche qu’à sauver ses fesses par le moyen de Tsahal, quand on sait que les familles israéliennes pour la plupart biberonnent leurs enfants dès le sein maternel à la haine du Palestinien et de l’Arabe en général, cette pratique se fait depuis des lustres.

Netanyahou redoutait Yahya Sinwar au point de refuser de prononcer publiquement son nom, dans un de ces implorations crédules propres aux criminels qui croient que nier la réalité suffit à l’annuler, il n’avait pas manqué de percevoir dans l’événement  du 7 Octobre le spectre de Yahya Sinwar de sa propre fin, il ne cesse de repasser dans son cerveau l’issue qui le hante, une sortie dégradante et son réjection définitive dans les poubelles de l’histoire dont Yahya Sinwar en tant qu’icône de la résistance palestinienne reste l’initiateur. Au bout du rouleau, il n’a même plus la force de mentir.

Alors plutôt que de faire le tartarin chef de guerre, le petit Netanyahou devrait mettre son énergie à redonner des moyens à une armée qui en manque singulièrement, qui passe tout son temps à démolir les maisons, à tirer des grenades lacrymogènes, à tirer des balles et à lâcher les chiens sur des femmes et des enfants, en Cisjordanie et faire des bombardements intenses par artillerie et aviation à Gaza, au moins il serait plus crédible quand il aboie pour une victoire sur le mouvement de la résistance Hamas.

Il faut dire que Netanyahou, le zombie terrorisé par la moindre contradiction, s'est trompé, comme d'autres l’ont fait avant lui. Il a sous-estimé la résistance des Gazaouis et cru à une opération spéciale de quelques semaines, mais il s’est gouffre à l’enterrement dans un conflit meurtrier de cinq mois,  il s’encombrerait de parties de Gaza qui lui resteront hostiles pour des décennies, Israël doit être trop petit, psychopathe ou schizophrène, il s'agit d'états pathologiques assez fréquents comme fascisme nazisme totalitarisme génocide.

Netanyahou inculte, irrationnelle masque son esprit manichéen de mêlés, il se fout de la gueule du monde de façon considérable. Chez lui, tout, mais vraiment tout, pue la haine de l’Arabe et du Palestinien, haine qu'il schématise par ailleurs à travers des considérations religieuses, semble percevoir des troubles de la personnalité avec des pulsions funestes et surtout du "Plus Totalitaire que Moi, tu Meurs"

Historiquement le Juif est haï parce qu'il est creux, et tout ça parce que le monde occidental/polémiste qui en a fait son fonds de commerce a fait parler de lui, il suffirait de dire que leur avis est simplement consultatif, mais le discours public des dirigeants israéliens étaient catastrophistes. Ils présentaient le 7 Octobre comme étant l’imminence d’un second Holocauste.

j'imagine qu'il est la réponse à la haine viscérale éprouvée envers les musulmans par les juifs convaincus qu'ils sont le peuple élu et que les non-juifs ne valent rien, comme le disent leurs textes.

L’histoire des juifs nous apprend que ce qui a énerve les Egyptiens les Romains, les  Babyloniens, les Perses, l’Eglise Catholique et son Juif Perfide, les Musulmans, les Espagnols, les Nazis et les Soviétiques continue a énerver le monde entier aujourd’hui.

Tous ont voulu exterminer, expulser, faire disparaître et dénoncer les Juifs, et de os jours, le juif se demande pourquoi tant de haine à son égard :

Tu seras un sujet d’étonnement, de proverbe et de raillerie parmi tous les peuples chez qui l’Eternel te conduira.  (Deutéronome 28:37

Le principal problème est qu'on nous martèle trop souvent avec la Shoah et à chercher à en faire les victimes de l'histoire, pour tomber dans la rhétorique d'essayer de nous expliquer que la souffrance des juifs a été supérieure et que ça justifie plein de choses.

Aujourd'hui, compte tenu de la souffrance humaine provoquée par la destruction du peuple palestinien, sa jeunesse est appelé plus de jamais à choisir une autre politique, un autre combat et surtout d’autres méthodes de résistances qui doivent être pensés, en réflexion aux étapes parcourues et des échecs de leurs aînés enregistrés dans le contexte de l'époque,  Cette nouvelle option offre une opportunité importante pour le droit à une résistance palestinienne très certainement en mesure de mettre un terme au colonialisme sioniste en Palestine par l’unique moyen qui serait le chemin de la lutte et de la résistance armée.

Tout ceci en précisant le fait que le peuple palestinien a le droit à la lutte armée contre l’occupation, comme stipulé par la résolution 33/24, 1978 des Nations Unies.

En final, il faut bien le préciser que le Mouvement de la Résistance Palestinienne présente continuellement un caractère civilisationnel, par le courage, la ténacité, la résilience d’un peuple fermement guidé et assuré de son bon droit puisse l’emporter contre une opinion européenne largement façonnée par l’hypocrisie médiatique occidental selon leurs appétences du moment.

Israël est en mauvais état maintenant et Netanyahou le héros malgré lui, est à l'abri d’un limogeage tant que la guerre et le massacre contre la population de Gaza se poursuit et tant pis pour les otages israéliens dont leur libération pourrai sans aucun doute contrarier les objectifs de l’extrême droite israélien au pouvoir et surtout apporter des vérités sur les évènements du 7 Octobre.

Kader Tahri est essayiste, blogueur indépendant et chroniqueur engagé sur les questions géopolitiques et de justice internationale. Il anime le blog Regards Libres, où il propose des lectures critiques de l’actualité avec une attention particulière à la condition des peuples en lutte. Il écrit depuis l’Algérie, avec une perspective ancrée dans les traditions intellectuelles critiques du monde arabe et méditerranéen.

Blog officiel : https://kadertahri.blogspot.com/

 

Démanteler le lieu ne démantèle pas l’identité… Le camp de Jénine ne se soumettra pas.

  

Guerre contre Gaza

L'État occupant a récemment pris la décision de démolir 100 bâtiments du camp de Jénine dans un délai de 72 heures. Cette décision s'inscrit dans la politique de la terre brûlée que cet État poursuit sans relâche depuis 1948. Cette décision s'ajoute à une décision précédente de démolir 96 bâtiments, ce qui représente une tentative de remodeler de force le lieu et sa mémoire. Pour revenir à l’histoire de ce camp, il a été créé en 1953 dans le but d’héberger les réfugiés palestiniens qui ont été déplacés de force de leurs villages en 1948. Au fil du temps, le camp est devenu un symbole de la résistance palestinienne, de l'Intifada Al-Aqsa à la bataille de Jénine en 2002, au cours de laquelle le camp a enregistré une épopée d'héroïsme et de persévérance, malgré le siège imposé par l'État occupant et les massacres qui y ont été commis. 

Aujourd'hui, la scène se répète, mais à travers des décisions officielles signées par l'extrémiste Bezalel Smotrich, qui a partagé les dossiers de la mosquée Al-Aqsa et de la Cisjordanie avec Ben-Gvir. Ces décisions, qui visent à démanteler le camp et à le transformer en blocs résidentiels fragmentés, seraient annexées administrativement à la ville de Jénine, effaçant ainsi le caractère unique du camp en tant qu'entité géographique, historique et politique indépendante et témoin vivant de la Nakba et de sa continuation. Le démantèlement de Jénine et d’autres camps représente une étape dangereuse vers la fin de la crise des réfugiés, parallèlement à la liquidation de l’UNRWA et à la fin de ses services. Selon les Conventions de Genève, qui interdisent la destruction de biens civils sauf nécessité militaire impérieuse, la démolition massive du camp constitue un crime de guerre. Cependant, comme je l'ai déjà dit, cette interdiction est balayée par la justice lorsqu'il s'agit des Palestiniens, et le droit international devient le simple serviteur de la puissance occupante. 

Ce n'est pas nouveau ; ce droit était complice, et les conventions sont restées muettes en 1967 concernant la politique de déplacement et de nettoyage spatial pratiquée par la puissance occupante dans le quartier marocain de Jérusalem, lorsque l'armée a déplacé les habitants du quartier et l'a démoli pour faire place à la construction d'une grande place qui s'étend aujourd'hui jusqu'au site du Mur occidental. Elle est également restée silencieuse sur les événements survenus à Masafer Yatta, au sud d’Hébron, après le 7 octobre. La communauté est confrontée à la menace d’un déplacement forcé en raison des attaques accrues des colons soutenus par l’État, ainsi que des démolitions, des restrictions foncières et de l’expansion des colonies par les autorités d’occupation. 

 Cependant, cet ennemi ne comprend pas que tenter d'éliminer les camps engendrera inévitablement de nouvelles formes de résistance, plus difficiles, plus féroces et plus douloureuses. Le cactus n'a jamais cessé de transformer ses feuilles en épines qui font saigner quiconque tente de s'en approcher. 

 Plus l'ennemi de la diaspora agit avec arrogance et s'efforce, avec toute son énergie injuste, de détruire la mémoire, de démanteler l'identité et d'effacer la longue histoire de la lutte palestinienne, plus il ouvre une boule de feu qui prend la taille d'un bulldozer qui se croit capable de déraciner les camps. Il se trompe à chaque tentative, car ces racines sont profondément ancrées dans la conscience palestinienne et indéracinables.

Source : l’Ecrivain Badia Al Nuaïmi de Palestine Occupée. 

L'Iran brise l'illusion de l'immunité sioniste... La Vraie Promesse 3...


Rishon LeZion, la ville située au sud de Tel Aviv, a subi un décès vendredi soir dernier, le 13 juin 2025, à la suite de la frappe iranienne, qui est venue en réponse directe à l'attaque sioniste perfide qui a ciblé des installations sensibles à l'intérieur du territoire iranien vendredi matin. Rishon LeZion fut la première colonie sioniste, fondée en 1882. 

Son nom signifie « J'ai dit à Sion le premier » et est tiré du « Livre d'Isaïe ». Il représente donc un symbole central du projet de colonisation juive. Construite par le groupe des « Amants de Sion » avec le soutien du baron Edmond Rothschild, elle servait de modèle à la renaissance agricole sioniste. 

Cette colonie s'est développée géographiquement et économiquement au fil du temps, devenant la quatrième ville de l'État occupant en termes de population. C'est également un centre industriel et technologique où le caractère urbain rencontre la profondeur idéologique sioniste. Parce qu’il porte en lui un symbole qui porte en lui des connotations politiques et sécuritaires dont le projet sioniste est fier et qui sont indissociables de la nature du conflit, son ciblage par l’Iran portait un message de dimensions stratégiques, signifiant que les profondeurs de votre prétendu État, que vous prétendez être immunisé, ne sont plus immunisées contre nos missiles, et que nous pouvons les atteindre quand nous le voulons.

Ainsi, l'attaque menée par l'Iran la nuit dernière, qui, comme je l'ai mentionné, était une riposte à l'escalade de la situation, et plus particulièrement à la récente attaque visant des sites militaires et scientifiques, en violation flagrante de sa souveraineté en tant que pays d'influence régionale, a été menée à l'aide de missiles de précision et de drones sophistiqués, comme le drone Arch, d'une portée d'environ 2 000 kilomètres. Malgré le soutien américain et britannique, elle a réussi à contourner les systèmes de défense iraniens, du « Dôme de Fer » à la « Fronde de David », en passant par le THAAD américain et d'autres systèmes, et a transformé en illusion le mythe du « havre de paix » au sein des grandes villes de l'État occupant. Les Gardiens de la révolution iraniens ont déclaré : « Nous avons utilisé des systèmes intelligents et des missiles de haute précision lors de l'opération True Promise 3 *. Netanyahu, qui a de plus en plus recours à la guerre pour sortir de ses crises politiques et personnelles, a vu dans son attaque contre l’Iran une opportunité d’unifier le front intérieur et de détourner l’attention des divisions populaires internes à son propre pays, notamment suite aux manifestations en cours contre les réformes judiciaires et aux accusations d’atteinte à la démocratie. 

 L’imprudence de Netanyahu à prendre une décision de cette ampleur découle d’un profond sentiment d’isolement politique et d’un profond désir de s’affirmer comme un acteur régional dominant, même si le prix est d’amener son pays à une confrontation directe avec une grande puissance comme l’Iran. Plus important encore, la dimension nucléaire pourrait avoir motivé cette frappe à ce moment précis, l'Iran disposant désormais d'un stock d'uranium enrichi techniquement proche du niveau requis pour fabriquer une bombe nucléaire. Certaines estimations suggèrent même que Téhéran pourrait être à quelques semaines seulement de développer pleinement la capacité de fabriquer au moins une ogive nucléaire.

 Le journaliste et auteur juif Nadav Eyal l'a déclaré dans un message publié sur sa plateforme X : « L'un des objectifs importants de l'opération Lionceaux est de contrecarrer le programme nucléaire iranien. » Face à ce scénario, Netanyahou estimait que retarder la frappe équivaudrait à accepter un Iran nucléaire, qu'il considère comme une menace existentielle pour l'État occupant et inadmissible dans le cadre de la doctrine de « sécurité sioniste ». L'attaque constituait donc une mesure préventive visant à freiner cette progression. De retour à Rishon LeZion, son attaque marqua un tournant dans l'histoire du conflit. 

Le mythe de la « supériorité absolue » vola en éclats, et les populations juives de l'intérieur commencèrent à goûter l'amertume de la fragilité que les civils de Gaza, du Liban, de Syrie et du Yémen avaient longtemps connue. Le conflit ne se limitait plus aux frontières, mais s'étendait aux villes, aux foyers et aux centres vitaux. 

 On peut dire que Netanyahou a choisi le moment le plus dangereux et a ouvert la porte la plus difficile. Rishon LeZion, symbole de la civilisation sioniste, est devenu le témoin de l'échec de leur revendication de « sécurité et d'immunité absolues », et du début d'une nouvelle phase, qui sera révélée dans les prochains jours.

Source : l’Ecrivain Badia Al Nuaïmi de Palestine Occupée. 

Soroka hôpital israélien à Beersheba attaqué alors que les hôpitaux de Gaza ont été sont anéantis

 

Les déclarations de l'État occupant ont secoué les médias après les dégâts causés à l'hôpital Soroka à Beersheba, à la suite d'une attaque de missiles iraniens contre un centre de renseignement militaire israélien lors de la 14e attaque de l'opération True Promise 3. L'attaque iranienne a été considérée comme un « franchissement de lignes rouges ». 

 Cette position est manifestement contradictoire et ne peut être ignorée. Tandis que Tel-Aviv réagit avec fureur lorsqu'un seul établissement médical est involontairement endommagé, sa machine militaire détruit délibérément et systématiquement l'ensemble du système de santé de la bande de Gaza depuis le 7 octobre. Cela reflète clairement la déconnexion morale et politique qui caractérise le comportement de cet ennemi depuis des décennies. Chaque fois qu'une partie de sa population civile est atteinte, il élève la voix, invoquant le soi-disant « droit international » et la « conscience mondiale ». Mais lorsqu'il écrase les hôpitaux de Gaza au mépris des médecins et des patients, il ne sourcille pas. Au contraire, il justifie et transforme les victimes, enfants et femmes, en « terroristes » engagés dans une guerre contre la sécurité de son prétendu État. 

 À Gaza, la morale s'est effondrée, et l'occupation n'a pas su dissimuler le visage hideux qu'elle a toujours prétendu être moral. Là-bas, le ciblage des hôpitaux était le résultat d'une politique flagrante et systématique. Centres médicaux et hôpitaux ont été mis hors service les uns après les autres par les bombardements barbares répétés, qui n'ont pas cessé depuis le 7 octobre, privant des milliers de blessés et de malades des soins les plus élémentaires. Médecins, patients et même les incubateurs n'ont pas été épargnés. S'il existe des « lignes rouges » dans les conflits, l'État occupant les a non seulement franchies, mais complètement effacées. Ces attitudes, que l'on peut qualifier au moins de valeurs sélectives, privilégient la vie d'un individu de la diaspora ne possédant pas un pouce de Palestine à celle du propriétaire légitime de la terre. Pire encore, dit-on, la vie du propriétaire est négligée par les calculs fallacieux du « droit international et humanitaire ». Lorsqu’un Palestinien se soulève pour défendre sa terre et ses lieux saints, il est accusé de « terrorisme », tandis que l’agresseur, le colon et le colonisateur se voit accorder l’immunité internationale à tous les niveaux. 

 Oui, c’est ainsi que les récits sont gérés lorsque la balance de la justice penche, et depuis plus d’un siècle, la balance penche en faveur de l’État fonctionnel et injuste que les pays impérialistes ont implanté au cœur de notre pays. Ce qui est exceptionnel aujourd'hui, c'est que ceux qui ont bénéficié du silence et de la complicité du monde pendant des décennies commencent à ressentir l'amertume de la coupe qu'ils ont pris l'habitude de verser aux autres. Les dégâts causés à l'hôpital Soroka n'étaient pas intentionnels, comme l'affirment les Iraniens. 

Pourtant, l'État occupant a accusé l'Iran d'avoir bombardé des hôpitaux. Quant aux centaines d'hôpitaux délibérément et systématiquement visés à Gaza, ils sont justifiés de son point de vue, dans un monde qui non seulement est resté silencieux, mais a aussi été complice. Il s’agit, à mon avis, d’un scandale moral dont le titre est « deux poids, deux mesures », « violation des normes » et « politisation du droit international humanitaire au service du plus fort ». 

 Aujourd’hui, face à cette dualité flagrante, nous devons nous poser une question fondamentale : combien de temps la vie des Palestiniens restera-t-elle en dehors du champ des droits de l’homme ? Combien de temps encore l'occupant pourra-t-il pleurer sur un hôpital aux murs partiellement fissurés, tandis que des tonnes de bombes sont larguées sur les hôpitaux de Gaza et leurs habitants sans que le monde ne dise un mot ? 

 Mais la loi de la justice dit que l’heure du jugement, même si elle est retardée, viendra certainement, si Dieu le veut.

Source : l’Ecrivain Badia Al Nuaïmi de Palestine Occupée.