Comme disait
l’illustre Penseur juif israélien Leibowitz,
ils sont en train de causer la perte de la minorité de Juifs qui
s’opposent à cette barbarie, totalement injustifiable/criminelle/amorale, et
qui va être prise dans le tsunami de mépris et de haine se répandant contre les
raclures sionistes à vitesse exponentielle et dans le monde entier !!
Quant à
cet Holocauste 2.0 du
peuple palestinien perpétré par des criminels de guerre sur sa terre ancestrale
- au vu et au su du monde entier... - il devra être jugé de la même façon que
le fut celui qui fut perpétré en secret il y a plus de 80 ans, et tous les
coupables condamnés de la même façon, si le monde d’aujourd’hui veut retrouver
un semblant d’Honneur, après s’être vautré dans le déshonneur et la lâcheté
criminels depuis si longtemps déjà !
Pas un mot sur les
annexions en Cisjordanie, pas un mot sur la violence des colons, ni sur le
massacre de Palestiniens innocents en Cisjordanie. Tout est à blâmer pour les
Palestiniens qui ne se comportent pas en victimes parfaites
Contexte du conflit Israël–Gaza
Encore une fois :
Israël est né de l’acquisition de terres par la force, du nettoyage ethnique,
de l’apartheid et maintenant du génocide. De plus, elle a systématiquement
détruit la diversité juive en imposant une langue et une culture artificielles.
Elle présente toutes les caractéristiques d’un régime totalitaire sans
équivalent dans la région. Pas plus de huit décennies sans interruption.
Le sionisme, depuis
Herzl, repose sur un concept raciste, prétendant explicitement résoudre le
problème des Juifs. il divise les humains selon des critères mythologiques créés par l'homme.
L'État explicitement sioniste ne naît pas, il est construit et bâti sur des
terres ethniquement nettoyées et volées ; il est intrinsèquement criminel,
il constitue un environnement hostile que les
Palestiniens sont tenus à :
Vivre dans la peur
d’être arrêté par des soldats de Tsahal sans qu’on lui donne une raison et
qu’on le jette dans une prison où les détenus sont régulièrement torturés.
Vivre dans la peur de
voir des colons violents commettre des crimes sans que les autorités chargées
de faire respecter la loi ne réagissent.
Vivre dans la peur que
les bombes israéliennes détruisent sa résidence.
Vivre dans la peur d'une
roquette lancée depuis Gaza déchirant le toit de quelqu'un.
Vivre dans la peur d’une
bombe qui explose dans un bus transportant son enfant.
Depuis octobre 2023, les affrontements
entre Israël et le Hamas se sont intensifiés, provoquant un nombre élevé de
victimes civiles et militaires. Les attaques du 7 octobre ont fait plus de 1
100 morts côté israélien, dont civils et militaires. En réponse, l’armée
israélienne a mené une série d’opérations militaires à Gaza, entraînant des
destructions massives et un bilan humain très lourd.
Bilan humain et données contradictoires : Victimes civiles et militaires
Selon l’ONU et diverses ONG, des milliers
de Palestiniens ont été tués depuis le début des bombardements, dont une
proportion importante d’enfants, de femmes et de personnes âgées. Côté
israélien, les pertes concernent à la fois des civils et des soldats de Tsahal.
Au moment où Tsahal, l’armée la plus morale et la plus courageuse du monde,
abat un enfant palestinien (un futur terroriste) toutes les heures, l’Occident prend
sa plume pour défendre l'idée enfouie d'Israël comme État juif et démocratique.
Estimations des combattants du Hamas
L’armée israélienne affirme avoir éliminé
ou capturé plusieurs dizaines de milliers de combattants. Cependant, des
observateurs internationaux notent un écart entre ces chiffres et la poursuite
des combats. Cette disparité statistique alimente le débat sur la fiabilité des
bilans militaires.
Rappel : sur les 1
139 personnes tuées le 7 octobre :
un tiers (379) étaient
des militaires d’active de Tsahal et des services de sécurité,
95 % des deux tiers
restants étaient des adultes israéliens (anciens militaires de Tsahal et
réservistes),
nombre d’entre eux ont
été tués par la glorieuse Tsahal...
C’est vrai qu’en France,
on se sent 100 % solidaires de ceux qui tuent principalement des femmes,
des enfants et des malades, sans oublier les affamés qu’avec les combattants pardon,
les terroristes du Hamas, c’est une autre paire de manches : Israël est
censé en avoir éliminé un énorme paquet :
En janvier 2025, le
Jerusalem Post affirmait que les chiffres concernant les premières estimations
israéliennes des forces du Hamas ne concordaient pas. En octobre 2023,
l’armée israélienne estimait le Hamas à 25 000 combattants ; en
2024, elle rapportait avoir tué 17 000 à 20 000 combattants,
blessé 14 000 à 16 000 autres et capturé 6 000. Pourtant, en
janvier, elle affirmait qu’il restait encore 12 000 à
23 000 combattants. Pour corriger cette divergence, l’armée
israélienne a révisé son estimation d’octobre 2023 à 40 000 et a
déclaré que le Hamas avait dû en recruter des milliers de plus. (Wikipédia en
anglais)
Les médias et les
dirigeants israéliens mentent tellement sur leurs victoires qu’ils se sont pris
les pieds dans le tapis. À les entendre, 42 000 combattants… pardon,
terroristes ont été éliminés, soit tués, soit blessés, soit capturés. Mais
alors, pourquoi les combats se poursuivent-ils, et d’où viennent les nouveaux
combattants pardon, terroristes ?
Les enjeux du droit international
Le droit international humanitaire, inscrit dans les Conventions de Genève,
interdit les attaques délibérées contre les civils. De nombreuses
organisations, dont Amnesty International et Human Rights Watch, appellent à
enquêter sur d’éventuelles violations par toutes les parties au conflit.
Parmi les accusations, on retrouve :
- L’usage disproportionné de la
force
- Les attaques contre des
infrastructures civiles (hôpitaux, écoles)
- Le blocus total entravant
l’accès à l’aide humanitaire
Répercussions géopolitiques et
diplomatiques
- Isolement diplomatique
croissant d’Israël auprès de certains alliés
- Fractures au sein des pays
arabes quant à la réponse à apporter
- Mobilisation de la société
civile internationale pour des cessez-le-feu
S’opposer
au génocide des Palestiniens, si on a bien compris sa démonstration, c’est
accélérer le suicide civilisationnel de l’Occident, dont Israël serait la
première, ou la dernière barrière. La sauvegarde de la démocratie israélienne
vaut bien un génocide. Quand Israël aura écrasé sous les bombes tout le
Proche-Orient, notre civilisation sera sauvée. Vivement la mort du dernier
Palestinien !
Des États comme l’Australie, l’Allemagne, l’Italie, la Nouvelle-Zélande et
le Royaume-Uni ont exprimé leur opposition à une occupation prolongée de Gaza.
La sortie de crise passera par :
- La reconnaissance mutuelle des
droits fondamentaux
- L’arrêt des attaques contre les
civils
- Un cadre diplomatique
garantissant la sécurité des deux peuples
Sans dialogue politique, le risque est de voir le conflit s’enliser et les
tensions régionales s’aggraver.
Kader Tahri
Chroniqueur engagé, observateur inquiet
« Il faut dire les choses comme elles sont, mais refuser qu’elles soient comme
ça. »