Prenons un forum Internet par exemple et observez ce qu’il s’y passe !
Prenons un forum Internet par exemple et observez ce qu’il s’y passe !
Ce
qui est extraordinaire, c'est que la parabole « L’Algérie cherche à
humilier la France » passe crème avec avalanche, ce qui
affecte le régime au pouvoir en France.
Ce gâchis, seule la France vaniteuse s’en est rendu
coupable en se regardant le nombril, depuis un
certain temps. de ce que devient la France et de ce que sont les Français parce
qu’ils mettent un zèle pathétique à être les premiers de la classe des racistes
et méchants comme des teignes au sein de l’UE.
Cependant, l’ex-colonisateur doit
savoir que le colonisé libre a décidé de régler ses comptes et ne lui fera aucun
cadeau.
La
France, ce pays qui se gargarise en show médiatique de sa «grandeur», offre le
spectacle pathétique d’un régime plus fourbe et plus hypocrite où les guignols
de l’opposition dictent la politique étrangère depuis leurs tribunes
médiatiques. Un théâtre de l’absurde où les lobbies communautaires tirent les
ficelles pendant que les politiciens, tels des pantins désarticulés, dansent au
rythme des injonctions de Tel Aviv. La France ne noiera pas les valeurs de la
morale publique dans les remous sales du régime français au pouvoir dans ce
registre de la haine, c’est ce régime de France qui bat tous les records. La
France, un régime despotique malade d'une Europe pas très en forme et
l'immigration est de loin le plus grave parmi les différents maux dont elle
souffre, planifie sa volonté de répondre aux humiliations répétitives que fait
subir l’Algérie à la France, il s'agit de convaincre le maximum de citoyen du
régime français que l'immigration reste le problème le plus important du pays,
c'est-à-dire de convaincre un malade que le cancer dont il souffre est moins
grave que son arthrose et sa bronchite chronique.
Les
gesticulations de Retailleau en manipulateur notoire qui a déclaré sa flamme au
peuple algérien ont été applaudies et appréciées de la même manière dans les
médias français, en expliquant machiavéliquement une algérophobie chronique et
difficilement guérissable qui caractérise l’âme et le corps des détenteurs du régime
réel en France, qui sont parvenus, et sans même se concerter, à retenir « Algérie »,
un nom conduisant le régime français à une attitude pour s'agiter beaucoup et bruyamment
dans le vide et sans conséquences, avec toute une animosité et une haine sans
fin.
A
pleurnicher comme ça sur un sort qu'ils n'ont jamais connu, non seulement ça
les rend ridicules, mais ça leur enlève toute dignité. Raison pour laquelle les citoyens
français finissent par ne plus les supporter et à les mépriser. Retailleau notre
hussard de la mort, mériterait qu'on dédie aussi un prix à son verbiage.
La rhétorique
anti-immigrée est un axe central du discours de l’extrême droite. C'est devenu
un combat quotidien contre les musulmans et les noirs, c'est la haine des Arabes.
C'est tellement manifeste que s'imaginer autre chose aujourd'hui, c'est se mentir !
Oui, Retailleau c'est une groupie qui se veut critique par ci par là, mais groupie quand même. Reste que Retailleau va au vent. Il s'est fait épingler et les faits ont été vérifiés, pour avoir voté en 2024, un amendement à la loi immigration votée au Sénat dont il était le président de groupe, amendement dont il dénonce aujourd'hui la nocivité. À quel Retailleau faut-il se fier ?
l'excellent Monsieur Retailleau, "l'homme fort" du
gouvernement, et ceux qui lui emboîtent le pas forment la cinquième colonne et
mettent des cibles dans le dos des Algériens, ils pensent également à l’envoie de
l'armée française pour débarquer à Sidi-Fredj, on attend plus que l'accord de
son patron et de ses compères ministres marcheurs et socialistes du
gouvernement du régime français sans
oublier celle d'un président de la République en roue libre avec sa
condamnation de la France à Alger pour crime contre l'humanité, médiatiquement
au moins, c'est comme si c'était fait, bien sûr une fois passée l’illusion de
la fermeté, l’opinion publique finira par réaliser que les mots ne font pas des
actes, quand la volonté n’y est pas et ça refroidirait leurs ardeurs ?
Retailleau
stupéfiant, avec des hyper brillantes, a une capacité exceptionnelle à
balancer des énormités, avec une franchise d’un âne qui recule. Des personnes comme
lui, il y en a beaucoup, qui n’arrivent toujours pas à confondre la capacité
"technique" avec le bon sens et l'intelligence émotionnelle. Le
tribunal administratif de Paris a transformé la tension en conflit productif
avec les Algériens vivant en France,
c'est une gifle qu'a assénée ce tribunal à Retailleau ! Et même le mot gifle
n'est pas la bonne désignation, il s'agit d'une véritable humiliation !
Tout ça parce qu'ils veulent damer le pion à l’Algérie.
La France humilie, une victimisation qui fonctionne très bien avec les Algériens
et s'emboîte parfaitement avec la culpabilité des Français bien pensants. Et
tout ça enclenche un cercle vicieux: d'un côté, les Français qui ne réussissent
pas ou qui rencontrent des obstacles, de l'autre côté, les gouvernements, les
intellectuels, les journaux les confirment dans cette idée en se battant la coulpe. Encore l’instrumentalisation du ressentiment anti-Algérien en plus de
cette attitude hostile. Retailleau,
avait souhaité mettre en place une « riposte
graduée » ferme, contre l’Algérie.
Tout
ça ne peut pas réussir, tant qu'être français et reconnu comme tel n'est pas un
motif de fierté, pour expliquer au peuple français et à la communauté
internationale pourquoi l’Algérie refuse de recevoir ses OQTF et pourquoi la
France héberge et protège des milliers de terroristes de Rashad et du MAK, les
traîtres avec des centaines de leurs harkis qui font le bon boulot sur les
réseaux sociaux,
Le
régime français refuse de coopérer avec l’autorité algérienne par le rejet des
demandes d’extradition de l’ancien ministre de l’Industrie, poursuivi en
Algérie pour « corruption ».
Les
efforts visant à récupérer toutes les richesses dont elle a été spoliée,
l’Algérie s’est systématiquement heurtée et se heurte toujours à des
tergiversations et à des atermoiements injustifiés et inexplicables de la
partie française qui ont abouti à une absence totale de réponses à vingt-cinq
commissions rogatoires introduites par l’Algérie.
Le
régime français refuse également les demandes de l'autorité algérienne portant
sur la restitution des crânes et l’autre concernant la récupération des
archives de 1830 à 1962. pour les essais atomiques réalisés, Algérie ne demande
rien de plus que d’avoir les cartes des sites contaminés par les 19 explosions
nucléaires France refuse de remettre les cartes topographiques qui permettent
de déterminer les lieux d’enfouissement des déchets polluants, radioactifs ou
chimiques non découverts à ce jour. La partie française n’a mené techniquement
aucune initiative en vue de dépolluer les sites, et elle n’a fait aucun acte
humanitaire en vue de dédommager les victimes. Qui peut oublier que le
Président Français avait sérieusement assimilé la colonisation à un "crime
contre l'humanité" ? Pas étonnant que le peuple algérien s'abstienne de
toute forme de respect à l'égard de la France et des Français. Même dans le
registre diplomatique, on ne respecte que ce qui est respectable, et on piétine
les racistes.
La France coloniale doit payer de ses crimes et rendre
les biens algériens (archives, vestiges volés, tableaux, etc.) et payer en
milliards ses crimes au peuple algérien…
Le
régime français, vomi par sa populace, n’a plus comme arguments politiques
que de cultiver la haine de l’immigration accusée mensongèrement d’être la
cause de tous les malheurs de ce pays, causés par l’extrême droite dont le seul
fonds de commerce est la haine.
Juste ma
petite touche personnelle : nous sommes un pays jeune, c’est un fait, et en Algérie on mange à notre faim, on peut dormir sans
craindre d’être arrêté la nuit. On peut se déplacer sans demander la
permission. Les jeunes gens ne sont pas envoyés au travail obligatoire en
Algérie ni à l’étranger. Personne ne craint d’être arrêté ni envoyé vers une
destination inconnue d' où on ne reçoit pas de nouvelles.
Il
n'y a rien de pire dans cette humanité qu'un Français plein de haine de
l'autre, celui qui se démène, qui bosse et qui construit. Les Français au
pouvoir ne savent que se plaindre, montrer du doigt et exiger. Je suis sûr que
la majeure partie de ce peuple vaut beaucoup mieux que ces pantins au pouvoir
depuis si longtemps, des politiques qui n'ont d'autre expérience que celle
vécue dans leurs écoles, qui ne connaissent rien à la vie, et aux
préoccupations des Français, qui ne savent pas ce que c'est que de bosser pour
gagner sa croûte, des petits cons du type Macron, Séjourné, Retailleau et Attal,
pour ne citer qu'eux, mais ils existent dans tous les partis, et qui se targuent
d’imposer ce qui est bon pour l’Algérie, selon eux !
Le
crime de l'Algérie ?
Avoir
refusé de se plier à la doxa de l’extrême droite qui domine en France.
Les années 60 et 70,
celles de ma jeunesse, étaient marquées par l’envie de croquer la vie à pleines
dents, sans s’encombrer de dogmes oppressants ni de carcans rigides. Nous
vivions au rythme de nos désirs, bercés par l’optimisme d’une époque où
l’avenir semblait ouvert, multiple et non dicté par une seule et unique voie.
L'authenticité est
une pureté extrême de l'âme humaine, une force de caractère qui n'est pas
donnée à tout le monde. Quand on est réel et authentique, on craint rien, on n’a
pas besoin de cacher quoi que ce soit ou de se déguiser, on n’a que de belles
choses à montrer et à offrir. Ces êtres naturels fleurissent dans les milieux
qui leur appartiennent, puisqu'ils y trouvent un monde opportun, un univers
dans lequel ils peuvent apercevoir leurs semblables, où la vie avait une saveur
différente, un goût de liberté insouciante, de plaisirs simples, de camaraderie
sincère.
C'était ça, vivre
tout simplement !
Le meilleur est en
train d’arriver, qu’elle soit un témoignage : j’ai aimé la vie, avec ses joies,
ses excès, ses éclats de rire et ses amitiés sincères.
On me disait toujours : ne t'efforce pas trop, car les plus belles choses de la vie arrivent
quand on s'y attend le moins. Ne les cherche pas, elles te chercheront.
La vie est belle
avec son va-et-vient, avec ses saveurs et ses amertumes…
J'ai appris à vivre
et à savourer chaque détail, j'ai appris des erreurs, mais je ne vis pas à
penser à elles, car elles sont souvent un souvenir amer qui empêche d'avancer.
Il y a des erreurs irréparables.
Les blessures
profondes ne disparaissent jamais de ton cœur, mais il y a toujours quelqu'un
de véritablement prêt à les guérir avec l'aide de Dieu.
Marche main dans la
main avec Dieu, tout s'améliore toujours.
À force de perdre,
j'ai appris à gagner ; à force de pleurer, le sourire que j'ai s'est dessiné sur
mon visage. Je connais tellement bien le sol que je ne regarde plus que le
ciel. J'ai touché le fond tant de fois que, chaque fois que je descends, je
sais que demain je remonterai.
Je m'étonne
tellement de ce qu'est l'être humain, que j'ai appris à être moi-même.
Il m'a fallu
ressentir la solitude pour apprendre à être avec moi-même et savoir que je suis
une bonne compagnie.
J'ai essayé d'aider
tant de gens que j'ai appris à attendre qu'on me demande de l'aide.
J'ai toujours voulu
que tout soit parfait et j'ai compris que tout est, en réalité, aussi imparfait
qu'il se doit de l'être (y compris moi).
Je fais seulement
ce que je dois, de la meilleure façon possible, et les autres qu'ils fassent ce
qu'ils veulent.
J'ai vu tant de
chiens courir sans but que j'ai appris à être tortue pour apprécier profondément
le chemin.
J'ai appris qu'en
cette vie, rien n'est certain, seule la mort l'est... c'est pourquoi je profite
de l'instant et de ce que j'ai.
J'ai appris que
personne ne m'appartient, et que ceux qui sont avec moi le seront tant qu'ils
voudront et tant qu'ils devront l'être. Et celui qui m'aime véritablement me le
fera savoir à chaque instant, contre tout et quoi qu'il en coûte.
Que la véritable
amitié existe, mais qu'il n'est pas facile de la trouver.
Que celui qui
t'aime te le prouvera toujours sans que tu aies besoin de le lui demander.
Que la fidélité
n'est pas une obligation mais un véritable plaisir lorsque l'amour est le
maître de ton cœur.
C'est ça, vivre...
La vie est belle avec son va-et-vient, avec ses saveurs et ses amertumes…
J'ai appris à vivre
et à savourer chaque détail, j'ai appris des erreurs, mais je ne vis pas à
penser à elles, car elles sont souvent un souvenir amer qui empêche d'avancer.
Il y a des erreurs irréparables.
Les blessures
profondes ne disparaissent jamais de ton cœur, mais il y a toujours quelqu'un
de véritablement prêt à les guérir avec l'aide de Dieu.
Marche main dans la
main avec Dieu, tout s'améliore toujours.
Et ne t'efforce pas
trop, car les plus belles choses de la vie arrivent quand on s'y attend le
moins. Ne les cherche pas, elles te chercheront.
Le meilleur est en
train d’arriver, qu’elle soit un témoignage : j’ai aimé la vie, avec ses joies,
ses excès, ses éclats de rire et ses amitiés sincères.
Aujourd’hui, je
regarde le monde avec un sentiment mêlé de tristesse et d’incompréhension. Il
me semble que la jeunesse, autrefois fougueuse et libre, s’est enfermée dans
une prison invisible, faite d’interdits et d’obligations qui ne viennent pas de
lois humaines, mais d’un diktat moral inflexible. La religion, autrefois une
affaire personnelle, est devenue un étendard, une armure, un dogme absolu où
l’individu s’efface derrière un devoir dicté par d’autres. Je croyais,
naïvement, que les femmes étaient contraintes à suivre ce chemin, mais il
semble qu’elles y adhèrent avec ferveur, par choix ou par résignation. Et c’est
peut-être ce qui me frappe le plus : l’acceptation de cet enfermement
volontaire, au nom d’un au-delà incertain, au détriment de la vie bien réelle
qui s’offre à elles.
J’ai vécu assez
longtemps pour voir le bal des hypocrisies se jouer encore et encore :
"Fais ce que
je dis, pas ce que je fais", telle est la règle d’or de ceux qui prêchent la
vertu tout en s’accordant en secret les plaisirs qu’ils condamnent .Ils
sacrifient leur présent à un futur hypothétique, refusant de savourer la beauté
de l’instant.
Mais alors, à quoi
bon naître si c’est pour s’interdire de vivre ?
Peut-être suis-je
simplement un vieil homme nostalgique, attaché à un passé révolu. .Peut-être que
chaque génération voit la suivante avec inquiétude, redoutant un monde qui lui
échappe. .Mais dans le tumulte
Je suis un auteur
algérien (Wahrani), je suis né musulman, je n’en fais pas un fonds de commerce
revanchard dans la plus pure tradition des croisades.
Je ne suis ni imam
ni même un frère musulman et encore moins un prosélyte de quelques
organisations que ce soit. Cependant je revendique le fait d’être né dans un
environnement familial algérien musulman, de tradition bédouine vierge de toute
influence (idéologique ou théologique) extérieure depuis l’avènement de l’Islam,
dans lequel on ne m’a jamais éduqué à haïr l’homme de religion qu’il soit juif,
chrétien, sabéen, hindouiste ou bouddhiste ou autre …
Et je n’ai jamais,
même par simple curiosité, ouvert une page web concernant un site dit
islamiste.
En revanche, j’ai lu
beaucoup de livres sur les religions, écrits uniquement par des historiens, des
philosophes, des savants de renom, exclusivement de langue française,
mondialement reconnus. De ces ouvertures, une chose est certaine : la vie est
précieuse, elle mérite d’être vécue pleinement, ici et maintenant, sans la
réduire à un simple passage en attendant mieux ailleurs.
Pour combattre quelquefois la solitude et par coups de tristesse, je m’obligeai à sortir errer
dans les rues de ma ville. Arrivé dans la rue que l'on appelait jadis Marceau,
perpendiculaire à la gare, je ralentis le pas, emporté par un flot de
souvenirs.
Soudain, de fortes
clameurs brisèrent le silence, me tirant de ma rêverie. Une bande de garçons en
était l'origine, courant et riant aux éclats, insouciants et pleins de vie. Ils
jouaient au foot avec une énergie débordante, se disputant le ballon avec
l'ardeur de véritables championnes.
Parmi eux, un
garçon attira mon attention. Vêtue de petits habits usés et déchirés, il
s'acharnait à marquer un but, comme pour défier ses amis qui, chaque fois qu'il
touchait le ballon, l'en empêchaient impitoyablement, brisant son élan avant
qu'il n'ait pu atteindre son objectif.
Pendant ce temps,
dans l'équipe adverse, un garçon richement vêtu était applaudi à tout rompre,
bien qu'il jouât mal.
Les huées à
l'encontre du garçon démuni m'attristèrent profondément. Comment en sommes-nous
arrivés là ?
Quelle époque !
Le mal du
matérialisme s'est sournoisement infiltré dans l'esprit de nos enfants.
Désormais, tout se jauge à l'aune de l'escarcelle. La valeur d’un être ne
repose plus sur son mérite, mais sur son apparence et ses possessions.
Les conséquences de
cette lâcheté collective gangrènent déjà nos rapports sociaux, façonnant un
monde où l’injustice n’indigne plus, où l’inégalité s’érige en norme.
"Le
vertueux démuni est méprisé, tandis que le riche ignorant est célébré en
modèle."
Profondément
affligé, je repris ma marche, le cœur lourd. Une odeur de pois chiches grillés
flottait dans l’air, me ramenant à la réalité. Je me dirigeai alors vers mon
ami Houari pour me payer un sandwich de karentika... Peut-être en guise
de maigre consolation pour ce garçon dont l’innocence s’étiolait sous le poids
des regards méprisants.
Moi qui approche de
la fin de mon chemin, je ne me fais pas d’illusions. Je sais que mes jours sont
comptés et cela ne me fait pas peur. Ce qui m’inquiète, c’est l’avenir de mes
petits-enfants qui grandissent dans un monde devenu dur, intolérant, où la
pensée unique écrase la curiosité et l’envie de découvrir.
Je voudrais que mes petits-enfants puissent dire la même chose un jour, sans avoir à regretter le temps perdu. Auront-ils encore la liberté de choisir leur propre destin ?
Pourront-ils encore rire aux éclats, s’aimer librement, rêver sans crainte d’être jugés ?
Ou devront-ils, eux aussi, plier sous le poids d’une morale qui ne laisse aucune place à l’épanouissement individuel ?
Ils nous appellent "les
personnes âgées".
Nous sommes nés dans les années
40-50-60.
Nous avons grandi dans les années
50-60-70.
Nous avons étudié dans les années
60-70-80.
Nous étions ensemble dans les
années 70-80-90.
Nous nous sommes mariés et avons
découvert le monde dans les années 70-80-90.
Nous nous sommes aventurés dans
les années 80-90.
Nous nous sommes stabilisés dans
les années 2000.
Nous sommes devenus plus sages
dans les années 2010.
Et nous allons fermement jusqu'en
2020 et au-delà.
Il s'avère que nous avons
traversé HUIT décennies différentes...
DEUX siècles différents...
DEUX millénaires différents...
Nous sommes passés du téléphone
avec un opérateur pour les appels longs distance aux appels vidéo partout dans
le monde.
Nous sommes passés des
diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres
manuscrites aux e-mails et Whats App.
Des matchs en direct à la radio,
à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision
HD 3D.
Nous sommes allés au magasin de
vidéos et maintenant nous regardons Netflix.
Nous avons connu les premiers
ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des
giga-octets et des mégaoctets sur nos smartphones.
Nous avons porté des shorts tout
au long de notre enfance, puis des pantalons longs, des Oxfords, des pattes
d'éléphant, des combinaisons et des jeans bleus.
Nous avons évité la paralysie
infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et
maintenant le COVID-19.
Nous avons fait du skate, du
tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous
conduisons des hybrides ou des électriques.
Oui, nous avons traversé beaucoup
de choses, mais quelle belle vie nous avons eue !
Ils pourraient nous décrire comme
des « ex annuels » ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont
eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.
Nous avons en quelque sorte «
tout vu » !
Notre génération a littéralement
vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.
C'est notre génération qui s'est
littéralement adaptée au « CHANGEMENT ».
Un grand bravo à tous les membres
d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE.
Un message précieux et très vrai
que j'ai reçu d'un ami…
LE TEMPS NE S'ARRÊTE PAS.
La vie est une tâche que nous
nous sommes amenés à faire à la maison.
Quand tu regardes... il est déjà
six heures de l'après-midi ;
Quand tu regardes... c'est déjà vendredi ;
Quand on regarde... le mois est
fini.
Quand on regarde... l'année est
finie.
Quand on regarde... 50, 60 et 70
ans ont passé !
Quand tu regardes... on ne sait
plus où sont nos amis.
Quand tu regardes... on a perdu
l'amour de notre vie… et maintenant, il est trop tard pour revenir en
arrière.
Donc…
N'arrêtez pas de faire quelque
chose que vous aimez par manque de temps.
N'arrêtez pas d'avoir quelqu'un à
vos côtés. Vos enfants ne seront bientôt plus les vôtres et vous devrez faire
quelque chose avec ce temps restant, où la seule chose qui nous manquera sera
l'espace qui ne peut être apprécié qu'avec les amis habituels si vous avez la
chance de les avoir.
Le temps qui, malheureusement, ne
revient jamais...
* Le jour est aujourd'hui! *
* NOUS NE SOMMES PLUS À L'ÂGE DE
REMETTRE À PLUS TARD. *
J'espère que vous aurez le temps
de lire puis de partager ce message... ou bien laissez-le pour "Plus
tard" et vous verrez que vous ne le partagerez jamais !