Parfois, il m'est utile de le dire ?

Parfois, il m'est utile de le dire ?

  L'idée de ce travail est née de la lecture des échanges sur des forums, lors de dialogues entre musulmans et chrétiens. Ces échanges s...

Les années Oranaises, celles de ma jeunesse !

 


Les années 60 et 70, celles de ma jeunesse, étaient marquées par l’envie de croquer la vie à pleines dents, sans s’encombrer de dogmes oppressants ni de carcans rigides. Nous vivions au rythme de nos désirs, bercés par l’optimisme d’une époque où l’avenir semblait ouvert, multiple et non dicté par une seule et unique voie.

 

L'authenticité est une pureté extrême de l'âme humaine, une force de caractère qui n'est pas donnée à tout le monde. Quand on est réel et authentique, on craint rien, on n’a pas besoin de cacher quoi que ce soit ou de se déguiser, on n’a que de belles choses à montrer et à offrir. Ces êtres naturels fleurissent dans les milieux qui leur appartiennent, puisqu'ils y trouvent un monde opportun, un univers dans lequel ils peuvent apercevoir leurs semblables, où la vie avait une saveur différente, un goût de liberté insouciante, de plaisirs simples, de camaraderie sincère.

 

C'était ça, vivre tout simplement !

 

Le meilleur est en train d’arriver, qu’elle soit un témoignage : j’ai aimé la vie, avec ses joies, ses excès, ses éclats de rire et ses amitiés sincères.

 

On me disait toujours : ne t'efforce pas trop, car les plus belles choses de la vie arrivent quand on s'y attend le moins. Ne les cherche pas, elles te chercheront.

 

La vie est belle avec son va-et-vient, avec ses saveurs et ses amertumes…

 

J'ai appris à vivre et à savourer chaque détail, j'ai appris des erreurs, mais je ne vis pas à penser à elles, car elles sont souvent un souvenir amer qui empêche d'avancer. Il y a des erreurs irréparables.

 

Les blessures profondes ne disparaissent jamais de ton cœur, mais il y a toujours quelqu'un de véritablement prêt à les guérir avec l'aide de Dieu.

Marche main dans la main avec Dieu, tout s'améliore toujours.

 

À force de perdre, j'ai appris à gagner ; à force de pleurer, le sourire que j'ai s'est dessiné sur mon visage. Je connais tellement bien le sol que je ne regarde plus que le ciel. J'ai touché le fond tant de fois que, chaque fois que je descends, je sais que demain je remonterai.

 

Je m'étonne tellement de ce qu'est l'être humain, que j'ai appris à être moi-même.

Il m'a fallu ressentir la solitude pour apprendre à être avec moi-même et savoir que je suis une bonne compagnie.

 

J'ai essayé d'aider tant de gens que j'ai appris à attendre qu'on me demande de l'aide.

J'ai toujours voulu que tout soit parfait et j'ai compris que tout est, en réalité, aussi imparfait qu'il se doit de l'être (y compris moi).

 

Je fais seulement ce que je dois, de la meilleure façon possible, et les autres qu'ils fassent ce qu'ils veulent.

 

J'ai vu tant de chiens courir sans but que j'ai appris à être tortue pour apprécier profondément le chemin.

 

J'ai appris qu'en cette vie, rien n'est certain, seule la mort l'est... c'est pourquoi je profite de l'instant et de ce que j'ai.

 

J'ai appris que personne ne m'appartient, et que ceux qui sont avec moi le seront tant qu'ils voudront et tant qu'ils devront l'être. Et celui qui m'aime véritablement me le fera savoir à chaque instant, contre tout et quoi qu'il en coûte.

 

Que la véritable amitié existe, mais qu'il n'est pas facile de la trouver.

 

Que celui qui t'aime te le prouvera toujours sans que tu aies besoin de le lui demander.

Que la fidélité n'est pas une obligation mais un véritable plaisir lorsque l'amour est le maître de ton cœur.

 

C'est ça, vivre... La vie est belle avec son va-et-vient, avec ses saveurs et ses amertumes…

J'ai appris à vivre et à savourer chaque détail, j'ai appris des erreurs, mais je ne vis pas à penser à elles, car elles sont souvent un souvenir amer qui empêche d'avancer. Il y a des erreurs irréparables.

 

Les blessures profondes ne disparaissent jamais de ton cœur, mais il y a toujours quelqu'un de véritablement prêt à les guérir avec l'aide de Dieu.

 

Marche main dans la main avec Dieu, tout s'améliore toujours.

 

Et ne t'efforce pas trop, car les plus belles choses de la vie arrivent quand on s'y attend le moins. Ne les cherche pas, elles te chercheront.

 

Le meilleur est en train d’arriver, qu’elle soit un témoignage : j’ai aimé la vie, avec ses joies, ses excès, ses éclats de rire et ses amitiés sincères.

 

Aujourd’hui, je regarde le monde avec un sentiment mêlé de tristesse et d’incompréhension. Il me semble que la jeunesse, autrefois fougueuse et libre, s’est enfermée dans une prison invisible, faite d’interdits et d’obligations qui ne viennent pas de lois humaines, mais d’un diktat moral inflexible. La religion, autrefois une affaire personnelle, est devenue un étendard, une armure, un dogme absolu où l’individu s’efface derrière un devoir dicté par d’autres. Je croyais, naïvement, que les femmes étaient contraintes à suivre ce chemin, mais il semble qu’elles y adhèrent avec ferveur, par choix ou par résignation. Et c’est peut-être ce qui me frappe le plus : l’acceptation de cet enfermement volontaire, au nom d’un au-delà incertain, au détriment de la vie bien réelle qui s’offre à elles.

 

J’ai vécu assez longtemps pour voir le bal des hypocrisies se jouer encore et encore :

"Fais ce que je dis, pas ce que je fais", telle est la règle d’or de ceux qui prêchent la vertu tout en s’accordant en secret les plaisirs qu’ils condamnent .Ils sacrifient leur présent à un futur hypothétique, refusant de savourer la beauté de l’instant.

 

Mais alors, à quoi bon naître si c’est pour s’interdire de vivre ?

 

Peut-être suis-je simplement un vieil homme nostalgique, attaché à un passé révolu. .Peut-être que chaque génération voit la suivante avec inquiétude, redoutant un monde qui lui échappe. .Mais dans le tumulte

 

Je suis un auteur algérien (Wahrani), je suis né musulman, je n’en fais pas un fonds de commerce revanchard dans la plus pure tradition des croisades.

 

Je ne suis ni imam ni même un frère musulman et encore moins un prosélyte de quelques organisations que ce soit. Cependant je revendique le fait d’être né dans un environnement familial algérien musulman, de tradition bédouine vierge de toute influence (idéologique ou théologique) extérieure depuis l’avènement de l’Islam, dans lequel on ne m’a jamais éduqué à haïr l’homme de religion qu’il soit juif, chrétien, sabéen, hindouiste ou bouddhiste ou autre …

Et je n’ai jamais, même par simple curiosité, ouvert une page web concernant un site dit islamiste.

 

En revanche, j’ai lu beaucoup de livres sur les religions, écrits uniquement par des historiens, des philosophes, des savants de renom, exclusivement de langue française, mondialement reconnus. De ces ouvertures, une chose est certaine  : la vie est précieuse, elle mérite d’être vécue pleinement, ici et maintenant, sans la réduire à un simple passage en attendant mieux ailleurs.

 

Pour combattre quelquefois la solitude et par coups de tristesse, je m’obligeai à sortir errer dans les rues de ma ville. Arrivé dans la rue que l'on appelait jadis Marceau, perpendiculaire à la gare, je ralentis le pas, emporté par un flot de souvenirs.

 

Soudain, de fortes clameurs brisèrent le silence, me tirant de ma rêverie. Une bande de garçons en était l'origine, courant et riant aux éclats, insouciants et pleins de vie. Ils jouaient au foot avec une énergie débordante, se disputant le ballon avec l'ardeur de véritables championnes.

 

Parmi eux, un garçon attira mon attention. Vêtue de petits habits usés et déchirés, il s'acharnait à marquer un but, comme pour défier ses amis qui, chaque fois qu'il touchait le ballon, l'en empêchaient impitoyablement, brisant son élan avant qu'il n'ait pu atteindre son objectif.

 

Pendant ce temps, dans l'équipe adverse, un garçon richement vêtu était applaudi à tout rompre, bien qu'il jouât mal.

 

Les huées à l'encontre du garçon démuni m'attristèrent profondément. Comment en sommes-nous arrivés là ?

 

Quelle époque !

 

Le mal du matérialisme s'est sournoisement infiltré dans l'esprit de nos enfants. Désormais, tout se jauge à l'aune de l'escarcelle. La valeur d’un être ne repose plus sur son mérite, mais sur son apparence et ses possessions.

 

Les conséquences de cette lâcheté collective gangrènent déjà nos rapports sociaux, façonnant un monde où l’injustice n’indigne plus, où l’inégalité s’érige en norme.

 

"Le vertueux démuni est méprisé, tandis que le riche ignorant est célébré en modèle."

 

Profondément affligé, je repris ma marche, le cœur lourd. Une odeur de pois chiches grillés flottait dans l’air, me ramenant à la réalité. Je me dirigeai alors vers mon ami Houari pour me payer un sandwich de karentika... Peut-être en guise de maigre consolation pour ce garçon dont l’innocence s’étiolait sous le poids des regards méprisants.

 

Moi qui approche de la fin de mon chemin, je ne me fais pas d’illusions. Je sais que mes jours sont comptés et cela ne me fait pas peur. Ce qui m’inquiète, c’est l’avenir de mes petits-enfants qui grandissent dans un monde devenu dur, intolérant, où la pensée unique écrase la curiosité et l’envie de découvrir.

 

Je voudrais que mes petits-enfants puissent dire la même chose un jour, sans avoir à regretter le temps perdu. Auront-ils encore la liberté de choisir leur propre destin  ?

Pourront-ils encore rire aux éclats, s’aimer librement, rêver sans crainte d’être jugés  ?

Ou devront-ils, eux aussi, plier sous le poids d’une morale qui ne laisse aucune place à l’épanouissement individuel  ?





LES VIEUX !

 

Ils nous appellent "les personnes âgées".

Nous sommes nés dans les années 40-50-60.

Nous avons grandi dans les années 50-60-70.

Nous avons étudié dans les années 60-70-80.

Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.

Nous nous sommes mariés et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.

Nous nous sommes aventurés dans les années 80-90.

Nous nous sommes stabilisés dans les années 2000.

Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.

Et nous allons fermement jusqu'en 2020 et au-delà.

Il s'avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes...

DEUX siècles différents...

DEUX millénaires différents...

Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longs distance aux appels vidéo partout dans le monde.

Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et Whats App.

Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.

Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.

Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des giga-octets et des mégaoctets sur nos smartphones.

Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs, des Oxfords, des pattes d'éléphant, des combinaisons et des jeans bleus.

Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.

Nous avons fait du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l'essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.

Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eue !

Ils pourraient nous décrire comme des « ex annuels » ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.

Nous avons en quelque sorte « tout vu » !

Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.

C'est notre génération qui s'est littéralement adaptée au « CHANGEMENT ».

Un grand bravo à tous les membres d'une génération très spéciale, qui sera UNIQUE.

 

Un message précieux et très vrai que j'ai reçu d'un ami…

LE TEMPS NE S'ARRÊTE PAS.

La vie est une tâche que nous nous sommes amenés à faire à la maison.

Quand tu regardes... il est déjà six heures de l'après-midi ;

Quand tu regardes... c'est déjà vendredi  ;

Quand on regarde... le mois est fini.

Quand on regarde... l'année est finie.

Quand on regarde... 50, 60 et 70 ans ont passé  !

Quand tu regardes... on ne sait plus où sont nos amis.

Quand tu regardes... on a perdu l'amour de notre vie… et maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière.

Donc…

N'arrêtez pas de faire quelque chose que vous aimez par manque de temps.

N'arrêtez pas d'avoir quelqu'un à vos côtés. Vos enfants ne seront bientôt plus les vôtres et vous devrez faire quelque chose avec ce temps restant, où la seule chose qui nous manquera sera l'espace qui ne peut être apprécié qu'avec les amis habituels si vous avez la chance de les avoir.

Le temps qui, malheureusement, ne revient jamais...

* Le jour est aujourd'hui! *

* NOUS NE SOMMES PLUS À L'ÂGE DE REMETTRE À PLUS TARD. *

 

J'espère que vous aurez le temps de lire puis de partager ce message... ou bien laissez-le pour "Plus tard" et vous verrez que vous ne le partagerez jamais !

 

 

Peur de la vieillesse !

 

Ne pas avoir peur de la vieillesse, c’est très essentiel !

Les rides ne m’effraient pas, ni les cheveux blancs, ni les douleurs du corps. C’est naturel. Le temps passe pour tout le monde, et je l’ai vu défiler sous mes yeux, comme on observe un fleuve s’écouler. D’abord lent, paisible, puis plus rapide, plus impétueux.

 

Non, ce n’est pas cela qui me fait peur.

 

Ce qui m’effraie vraiment, ce qui me tourmente, c’est de ne plus pouvoir compter sur moi-même. Que mes mains, qui ont tant travaillé, cessent de répondre. Que mes jambes, qui m’ont portée à travers tant de chemins, restent immobiles. Que mon esprit, toujours curieux, se perde dans son propre embarras.

 

Je ne veux pas être une cargaison. Je ne veux pas voir s’échapper comme du sable entre mes doigts mon indépendance, un bien très précieux ; toute ma vie, je tenais à être fort. J’ai résolu mes problèmes, veillé sur les miens, bâti mon propre chemin, et maintenant que le corps s’affaiblit, la seule chose que je demande, c’est de conserver ce que je suis, ce que j’ai toujours été : un homme capable, déterminé, maître de lui-même.

 

Ce n’est pas de l’orgueil, non !

C’est le besoin profond de savoir que je peux encore décider, que ma volonté reste intacte. Que si j’ai envie de me lever pour préparer un café, je le ferai. Que si je veux sortir, mes pas me porteront aussi loin que possible. Que si un livre me fait envie, mes yeux sauront encore en embrasser les mots.

 

Vieillir, en soi, n’a rien de terrible. Il y a dans l’âge une certaine beauté, une paix. Mais perdre le contrôle, dépendre des autres, voilà ce qui me brise. Parce que je sais que ce n’est pas facile pour eux non plus. Personne ne veut voir un père, un grand-père cloué au lit, fragile, démuni.

Et pourtant, je sais aussi que si ce jour devait venir, si un jour mon corps ou mon esprit faiblissaient, il me faudrait apprendre à accepter. Accepter que, tout comme j’ai été enfant et que l’on a pris soin de moi, la vie pourrait un jour me ramener à cette vulnérabilité. Et peut-être que ce ne serait pas si terrible, tant qu’il y a de l’amour, de la patience, de la dignité.

 

Mais tant que je le peux, tant que le temps me l’accorde, je resterai moi-même. Indépendant, libre. Car ce n’est pas la jeunesse disparue qui me fait vivre, ni le nombre d’années qu’il me reste. C’est la certitude que, malgré tout, je demeure le seul maître de ma vie.

 

Lorsqu’un homme commence à ressentir qu’il est de trop, qu’il dérange plus qu’il n’apporte, il finit par s’effacer. Non par lâcheté, mais par dignité. Car nul ne souhaite rester là où il n’a pas sa place.

Les hommes ne recherchent ni promesses emphatiques ni démonstrations spectaculaires. Ils n’attendent pas l’impossible. Ce qu’ils désirent, c’est quelque chose de bien plus simple et pourtant

 

Fondamental : être appréciés, valorisés, soutenus. Sentir que leur présence a un sens, que leurs efforts ne sont pas vains.

Mais lorsqu’un homme comprend qu’il n’est qu’une option, un poids à peine toléré, il n’insiste pas. Il ne réclame ni amour ni attention. Il se contente d’écouter le silence, de lire entre les lignes.

 

Et, avec cette même discrétion qui l’a toujours animé, il s’en va. »

Je me consacre ce qu'il me reste de vie, je ne sais pas si ce sera beaucoup ou peu, mais je veux me faire des cadeaux coûteux, comme la fidélité à moi-même, sans permettre à quiconque de corrompre la tranquillité que me laissent mes décisions.

Je veux me donner le plaisir de passer devant une vitrine, de voir que les années avec lesquelles j'ai lutté m'ont bien appris, car chacune d'elles a laissé en moi des cernes sombres causées par des insomnies que personne n'a jamais connues et que j'ai traversées seul, cherchant le pourquoi de tant de choses qui, finalement, devaient arriver, peu importe pourquoi... Et j'ai appris de tout cela.

 

Je me dédie les chansons qui m'ont fait penser à quelqu'un, mais maintenant je ne pleure plus les absences, et il n'y a plus cette longue file de regrets à ne pas savoir si j'allais gagner ou perdre.

 

Me regarder, me dire que tout ira bien et que rien n'est éternel, car nous passons tous, et tout est acceptable, sauf se laisser pour plus tard.

 

C'est pourquoi je veux me consacrer au peu qu'il me reste de vie.

Marcher dans les rues sans attendre, retrouver quelqu'un de mon passé et me demander pourquoi il n'est pas dans mon présent.

 

Prendre un café à l'endroit où j'ai dû partir pour ne pas croiser des gens qui disaient être éternels pour moi et qui ont rendu éternel l'oubli qu'ils ont laissé, sans savoir à quel point j'étais brisé quand les portes de mon cœur étaient ouvertes et leurs bras fermés à ma tristesse ou à mon succès, si un jour cela arrivait.

 

Je veux me donner la clé du bonheur que j'ai gagnée lorsque j'ai perdu mes peurs et que j'ai dû apprendre à être courageux, c'est là que je me suis vue après tout ce temps.

 

 

Partir c’est mourir un peu !

 

Ne dis rien… mais pars. Pars sans bruit, sans colère, sans explication. Laisse-les avec leurs actes, leurs regrets ou leur indifférence.

 

Laisse-les chercher ton écho dans le vide que tu auras laissé derrière toi.

 

Le silence est une réponse que seul le temps traduit. Il pèse plus lourd que les cris, plus fort que la rancœur. Il est l’arme de ceux qui n’ont plus rien à prouver, de ceux qui ont compris que la dignité se trouve dans le fait de partir sans supplier, sans attendre, sans se justifier.

 

Et si un jour l’envie te prend de revenir en arrière, souviens-toi de ce que tu as traversé. Souviens-toi des nuits où tu t’es senti seul, des blessures qu’on t’a infligées sans un regard en arrière. Souviens-toi que ceux qui t’ont détruit ne sont pas ceux qui te répareront.

 

Nous luttons souvent avec des mots, car nous avons peur du vide qu’un départ pourrait laisser. Mais ce vide n’est pas une perte. C’est un espace à remplir d’amour pour toi-même, d’espoir, de renouveau.

Alors, avance. Aime-toi comme personne ne l’a fait.

 

Offre-toi la douceur que l’on t’a refusée.

Et confie-toi à Celui qui ne déçoit jamais.

 

Dis-Lui tout : tes douleurs, tes doutes, tes rêves.

 

Là où les hommes échouent, Lui t’écoute. Là où les cœurs trahissent, Lui reste.

Ne cours plus après ceux qui t’ont laissé tomber.

Tourne la page et écris la suite… pour toi. Je crois en toi

 

Yahya Sinwar ; Si vous me frappez, je deviendrai plus puissant que vous ne pouvez l’imaginer. !

 

Chaque vie passée contre l’oppression est significative. Yahya Sinwar, l’un des dirigeants du peuple palestinien, restera toujours dans nos mémoires de cette façon. Le gouvernement Netanyahou a depuis longtemps dépassé ses limites en matière d’anarchie, d’immoralité et de mépris. Que G-d ait pitié de Yahya Sinwar,

nous exprimons nos condoléances à sa famille et à tout le peuple palestinien. Yahya Sinwar n’est pas un terroriste, il n’est pas un antisémite. Le Hamas n’est pas une organisation terroriste. Le Hamas n’est pas l’ennemi des Juifs. Israël est un État terroriste génocidaire.

Netanyahou est un terroriste et un antisémite irréligieux. Le problème n’est pas le judaïsme ou les Juifs, le problème est le sionisme et l’existence d’Israël.

Les Juifs de la Torah soutiennent le peuple palestinien. Tout le monde doit agir pour empêcher Israël de commettre un nouveau génocide. Le monde doit agir pour mettre fin le plus rapidement possible à la guerre déclenchée par Israël contre la Palestine.

Torah Judaism