Pour dénoncer
la volonté politique de rompre unilatéralement l’accord franco-algérien de
1968, une mesure contraire au droit international et inefficace sur le plan
migratoire.
Elle met en lumière une instrumentalisation politique de la question migratoire
et appelle à un dialogue renouvelé, respectueux de la mémoire et du droit.
Une dénonciation… qui aurait
l’effet inverse
Ironie de
l’histoire : si l’accord de 1968 venait à être dénoncé, les facilités de
circulation prévues par les accords d’Évian de 1962 pourraient
ressurgir.
Autrement dit, supprimer l’accord reviendrait à rétablir la liberté de
circulation que ce texte avait précisément pour but d’encadrer.
Ce serait
donc le comble de l’inefficacité : un geste présenté comme “ferme” qui, en
réalité, ouvrirait davantage les frontières qu’il ne les fermerait.
A/Kader Tahri / Chroniqueur engagé, observateur
inquiet
« Il faut dire les choses comme elles sont, mais refuser qu’elles soient
comme ça. » https://kadertahri.blogspot.com/

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