Parfois, il m'est utile de le dire ?

Parfois, il m'est utile de le dire ?

  L'idée de ce travail est née de la lecture des échanges sur des forums, lors de dialogues entre musulmans et chrétiens. Ces échanges s...

France : La risée du Monde.

  

Nouvelle trouvaille des  profiteurs politiques de carrière patentés et leurs médias  Français pour faire une énième distraction sur l'état sociétale catastrophique du pays : Haro sur L’Algérie !!!

La propagande médiatique a trouvé dans la les élections algériennes une aubaine idoine pour faire oublier que la démocratie française  bourgeoise, est bien plus hideuse que le règne des nazis-sionistes et guère plus équitable, en tout cas moins charitable. Ce n'est plus au sein d'une caste aristocratique que réside le pouvoir, mais au sein d'un gang "dictatocratique". Aujourd'hui dans ces sociétés néolibérales et mondialisées, une petite caste oligarchique, assez déculturée de façon navrante, détient pratiquement toutes les ressources et absolument tous les leviers de contrôle du pouvoir pour maintenir sa population dans la servitude volontaire en laissant des miettes aux gueux citoyens.

C’est quoi la France de Macron, encore quelques nouvelles récentes du pays des Lumières ?

En France la classe politique est totalement dans le déni des réalités, pour s'éviter de se lancer dans des démarches courageuses de remise en cause de pratiques,

La France est championne du monde des prélèvements obligatoires ?

En France tous les services publics ne sont pas loin de la mort cérébrale ?

En France la dette est de 3000 milliards ?

La France n’est pas trop loin d’une guerre civile, les églises brûlent et les personnes de confession Hébraïques réclament plus de pouvoirs et des protections, il est question de leur réserver des bus, peut-être avec une étoile jaune aussi dessus ?

En France personne ayant un peu de bon sens n'a cru à cette fameuse "vague d'antisémite", et donc les gens n'en n'ont rien à foutre ! Les états d'âme des juifs ne sont pas le centre de leurs préoccupations

La presse d'état est aux ordres, la justice l'est aussi, les lois ne sont plus votées, elles sont systématiquement entérinées par le 49.3, le peuple légèrement contestataire est stigmatisé, les finances croulent sous la dette, apparatchiks et corrompus s'en donnent à cœur joie. Ce qui est frappant et incompréhensible c'est cet aveuglement idéologique, cette mansuétude béate de la population de ce pays. En France on apprend que la démocratie est devenue une dictature d'un nouveau type, une dictature des minorités, ce qui permet de faire croire que ces démocraties dominées par les minorités soient encore de nature démocratique !

L’autre jour je visionnais une émission où un ex diplomate Français, au visage qui respire la haine à chaque expression, tout comme celui de Netanyahou et de quelques autres de cette obédience,  venait faire profil bas avec une mine contrainte, certes un existentialiste sioniste habité d'une judéité partiale et paranoïaque, il vous considérait avec dédain et vous regardait avec une moue de dégoût si vous n'adhériez pas à ses thèses anti-algériennes exclusivistes. Il  essayait de faire de la géopolitique. C'était mauvais parce que fondé sur des rumeurs et des fantasmes, mais enfin, il essayait et il fait de l'imprécation larmoyante. La seule chose qui n'a pas changé, c'est qu'il s'estime légitime à parler parce qu'il s'est converti vers l’extrémisme.

Comme crétin et faux cul ce monsieur ex-diplomate est en première ligne. Je rappelle à cet individu qu'avant les dernières Présidentielles et pour plusieurs votes depuis il a bien choisi le camp du Rassemblement National parti de la médiocrité et de l'irresponsabilité, reste très certainement un modèle type de la minable politique Républicaine, c'est le propre des psychopathes, 
De plus,  cet ex :diplomate  semble se croire une sorte de messie, sauveur de l’Algérie martyrisée par le Nationalisme Algérien. Et bien entendu, les Algériens n'attendent que Driencourt  pour ramener leur pays dans le droit chemin.

Ah ! Cela nous manquait, par vieillesse de pensée et par défaitisme prématuré l’ex : diplomate préconise que :  

Les Algériens, on les tient par la culpabilité, comme la France reste le centre du monde, elle fera remonter la faute originelle non plus à Ève, mais à l’indépendance de l’Algérie, car elle est restée dans ce paradigme depuis 1962 et toute mentalité française depuis cette date s'en trouve expliquée. Elle constitue la grille de lecture du présent pour le commun  des français sous influence et servitude volontaire.

Quelle indignation, dixit le gars qui désigne l’algérien comme un franchouillard inculte violent et limité mentalement, y'a pas à dire les experts à déceler les discours de haine sont en général ceux qui en sont le plus pourvue, à la limite des litanies.

On ne peut être évidemment qu'être totalement d'accord   : la classe politique   dans le déni des réalités, pour s'éviter de se lancer dans des démarches courageuses de remise en cause de pratiques,

Une imbécilité classique pour exciter les militants de la fachosphère : l'invention d'un "déni" par leurs opposants. Déni inexistant mais suffisant pour exciter le militant,

La France est championne du monde des prélèvements obligatoires ?

En France tous les services publics ne sont pas loin de la mort cérébrale ?

En France la dette est de 3000 milliards ?

La France n’est pas trop loin d’une guerre civile, les églises brûlent et les personnes de confession Hébraïques réclament des protections, il est question de leur réserver des bus, peut-être avec une étoile jaune aussi dessus ?

En France personne ayant un peu de bon sens n'a cru à cette fameuse "vague d'antisémite ", et donc les gens n'en n'ont rien à foutre ! Les états d'âme des juifs ne sont pas le centre de leurs préoccupations

Allez Monsieur le mythomane de salon insulter l’Algérie et étaler un tel mépris des Algériens n'y changera absolument rien, sauf peut-être que l’ex ; diplomate qui travaille pour l'Elysée y gagnera-t-il une promotion.

C'est sympa de se pencher sur l’Algérie, mais peut-être faudrait-il regarder chez vous avant que de donner des leçons et médire bien facilement d'autrui ...

La Dame France, avec ces dirigeants politiques, ses médias et ses sinistres polémistes, artisans de la division et de la haine, souscrit fortement à ces billevesées, ainsi, nous méprisons cette hypocrisie, ces indignations calculées,  qui aujourd’hui, dans ces organes de presse se font plaisir avec des clichés déformés,  et toutes ces déclarations et actions en la matière sont donc purement racistes, et visent principalement à tenter de faire oublier les très longues années de colonisations et de spoliations et dépouillement des richesses des colonies.

Je ne méprise pas La France, je n'ai simplement aucune fascination ou admiration particulière pour elle, en tant qu’Algérien, j’estime que nous avons en nous-mêmes, dans notre Histoire, dans notre civilisation Islamique, toutes les ressources, y compris sociales et spirituelles, pour nous régénérer.

Pour conclure et être plus clair, je donne tort à la France dont sa relation avec l’Algérie par manque de maintien, de tenue et surtout pour un orgueil colonial versé dans l’obscénité. La suprématie de cette civilisation en voie de pourrissement et son lot de valeurs inversées se trouvent, pour la première fois, frontalement contestées. Nous n'appartenons certainement pas à la même espèce humaine que les racistes français, que celle de Bernard Lugan et autre espèce de Driencourt qui suent la haine, puent le racisme et sont aujourd'hui le vrai fascisme à la gueule de brute.

Les sionistes ne font pas partie de la race humaine..."C'est choquant.

Et quand c'est l'extrême-droite israélienne qui déshumanise ("nous avons à faire à des animaux") c'est choquant aussi et seuls les salauds complices fond semblant de s'étonner.

La France, n’est-elle pas la patrie autoproclamée des droits de l’Homme ?

On aimerait bien qu’elle s’occupe un peu moins des droits de l’Homme des autres  et qu’elle se préoccupe un peu plus sur le sort des siens.

Les enfants de la Patrie n’attendent plus leur jour de gloire !

Après ça, des journalistes et auteurs chéris, nous parlent de la méchante Algérie  antidémocrate, certains ne font que répéter ce qu’ils estiment être la chose à dire pour garder l’emploi et la position sociale, voire être promus.

La guerre contre Gaza – au prix du sang palestinien !

 

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A l’approche de son départ politique, Ehud Olmert du parti travailliste s’est lancé dans une guerre d’extermination contre la bande de Gaza dans l’espoir d’obtenir une victoire qui compenserait sa défaite au Liban contre le Hezbollah en 2006, et restaurerait la puissance dissuasive sioniste. Le plus important est de gagner les voix des électeurs, car les sondages d’opinion de l’époque indiquaient la défaite de la coalition au pouvoir face au Likoud et à ses alliés.

Olmert souhaitait également que cette guerre montre à l'opinion publique du pays gay qu'il n'était pas moins agressif que ses concurrents du Likoud.

Olmert s'est déjà empressé de prendre la décision de mener une guerre d'anéantissement contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza, sur fond de montée en puissance de Benjamin Netanyahu, connu pour son extrémisme sur certaines questions stratégiques, comme la solution finale à le statut de Jérusalem, le droit au retour des réfugiés, l'eau, les frontières nationales et la création d'un État palestinien. Ce qu’il voulait s’est cristallisé dans une guerre que l’armée d’occupation a appelé la guerre du « Plomb Durci » le 27 décembre 2008.

Il s'est fixé pour objectif d'éradiquer le mouvement de résistance islamique Hamas, qui menace la sécurité de l'occupation, en particulier les colonies de couverture, afin d'obtenir le soutien des électeurs juifs au prix du sang palestinien. Il a commis des massacres et détruit les infrastructures de la bande de Gaza. Malgré l’utilisation par l’armée d’occupation d’armes interdites au niveau international, telles que les armes à l’uranium appauvri et au phosphore, elle n’a pas réussi à atteindre son objectif d’éradication du mouvement Hamas et a même subi de lourdes pertes matérielles et morales.

Aujourd’hui, dans sa guerre contre Gaza 2023-2024, nous constatons que Benjamin Netanyahu  répète ce qu’ Olmert a fait lorsqu’il a lancé une guerre d’extermination contre le peuple palestinien, mais avec plus de brutalité, parce qu’il ne veut pas non plus perdre son avenir politique en perdant sa popularité auprès de sa coalition gouvernementale extrémiste, ni devant les colons et les religieux en particulier. La rue juive est embourbée dans l'extrémisme et le fanatisme.

Netanyahu lie l’augmentation de sa popularité à l’ampleur des massacres qu’il commet devant ceux qui croient que Netanyahu applique les lois de la soi-disant Sainte Bible sous l’équation du conflit : « Soit nous, soit eux ». Pas de place pour les Palestiniens entre mer et fleuve sauf pour quelques-uns d'entre eux qui jouent le rôle d'esclaves et non de partenaires dans le conflit « du pays ». La prolongation de cet avenir politique puant dépend de la poursuite des cascades de sang palestinien, et lorsque ces cascades s’arrêteront, son avenir prendra fin, et l’attendra le dossier des pots-de-vin et de la corruption qui le mettra en prison. Chacun, du Parti travailliste, qualifié de parti modéré, jusqu'à l'extrême droite, augmente sa popularité auprès des électeurs en fonction du nombre de massacres commis.

Le sang palestinien est leur carte gagnante dans les élections, au milieu du silence honteux des Arabes, de leur complicité intentionnelle et de leur accrochage aux chaises. Cependant, tout comme Olmert est devenu perdant face à la résistance palestinienne, Netanyahu en sortira. Mais cette fois-ci, c’est différent, car la puanteur entraîne une fois de plus l’État gay dans l’abîme de la diaspora et entraînera ses complices avec lui. .

Source : l’Ecrivain Badia Al Nuaïmi de Palestine Occupée. 

 

La guerre contre Gaza - Si un maître est absent, un maître se lèvera !!!

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Depuis le 7 octobre 2023, l’État occupant connaît une crise de méfiance à l’égard de l’armée, une crise interne de désintégration, une crise de fuite et de peur, un sentiment d’impuissance et de perte de sécurité, ce qui est normal pour tout tueur et oppresseur, pour tout pécheur et pour quel péché ?

Pour quel voleur et quel voleur ?

Plus la guerre est profonde, plus le désespoir, le sentiment d’être dans une impasse et les échecs des dirigeants politiques et militaires sont profonds. À mesure que tout cela augmentait, le désir de compenser cela s'est accru en commettant des massacres et en perpétrant des assassinats pour obtenir un sentiment de fierté et d'euphorie, l'euphorie de la victoire et de la confiance en soi.

Mais l'extase pour quoi faire ?

Et faire confiance à quoi que ce soit ?

L’assassinat d’un dirigeant signifie-t-il la victoire, surtout dans un mouvement comme le Hamas ?

Bien sûr que non, depuis les batailles que les musulmans ont menées lors des conquêtes islamiques, un leader a été accueilli par un leader. Les batailles ne s’arrêtent pas au martyre d’un leader. La bannière passe des mains d'un martyr à l'autre jusqu'à ce qu'une victoire complète soit obtenue. La guerre contre les inondations d’Al-Aqsa a déstabilisé l’État occupant de la tête aux pieds. Au lieu de la gloire de plusieurs décennies d’une armée que l’on qualifiait de légende, elle a été remplacée par la frivolité et un état de manque de confiance entre les dirigeants et les officiers supérieurs d’une part, et entre eux et le peuple d’autre part. Surtout après que le faux masque de ce mythe, alimenté par le soutien américain et autre, ait été dévoilé. Le 7 octobre a été un choc dont l’État occupant ne se relèvera que s’il retourne à sa place naturelle, la diaspora.

 Le 7 octobre, l’illusion d’un pouvoir invincible a été brisée, alors que l’État occupant a vécu pendant des décennies en s’appuyant sur sa supériorité technologique et militaire délirante. Aujourd'hui, il s'est dispersé avec le vent, le vent de la résistance. La résistance d’aujourd’hui a brisé la vision sioniste qui promettait la fin de ce qu’elle appelle une histoire tragique pour les Juifs, et une nouvelle histoire a commencé, à laquelle Netanyahu ne veut mettre fin qu’en éliminant l’État de la diaspora et en l’enfermant dans le piège de l’extinction et l'extinction. L’assassinat du commandant Ismail Haniyeh, que Dieu lui fasse miséricorde, ne paralysera pas l’efficacité militaire des Brigades Al-Qassam.

Mais c'est l'incapacité de Netanyahu à arrêter les opérations militaires depuis le 7 octobre et son incapacité à connaître les cellules militaires derrière ces opérations qui l'ont poussé à assassiner le leader martyr afin, d'une part, de dissimuler cette incapacité et, d'autre part, de rassurer l'opinion publique. Les gens de la diaspora pensent que la liquidation des dirigeants politiques du mouvement mettra un terme à ses opérations, ce qui a semé la terreur dans leurs cœurs pendant près de dix mois. Mais les opérations menées par les brigades dans la bande de Gaza et en Cisjordanie après l'assassinat disent le contraire.

Il n’est pas étrange qu’une mentalité comme celle et le comportement de Netanyahu soient dans leur forme la plus claire, sanglante, terroriste et sadique, qui n’accorde aucun poids aux lois ou normes internationales, et c’est la nature de la mentalité sioniste. Quant à l’assassinat du leader martyr, l’État occupant ne gagnerait qu’à s’éliminer et à l’amener vers une fin inéluctable.

Quant au Hamas, ce n’est pas un mouvement marginal qui se termine par l’assassinat d’un dirigeant ou d’un leader, mais plutôt un mouvement profondément enraciné dans son territoire et son peuple. Ses héros n'ont pas peur de la mort car ils ont donné leur âme à cette mort. Le mouvement Hamas est un mouvement florissant. Un leader en salue un autre, et la preuve est que l'un des derniers mots du leader martyr Ismail Haniyeh était sa parole...

(Et comme le disait le poète : Si un maître disparaît, un maître se lève, Si Dieu le veut).

Source : l’Ecrivain Badia Al Nuaïmi de Palestine Occupée.