Parfois, il m'est utile de le dire ?

L’Eglise Catholique et son obsession de l’Islam !

 https://storage.canalblog.com/36/80/1516061/128615409_o.jpg

Dans la confrontation entre Islam et Christianisme, certains groupes chrétiens et juifs messianiques affirment que le dieu de l'islam est un dieu lune car le nom arabique Allah, dérive d’un dieu lunaire issu de la mythologie locale arabe. Cela implique qu’Allah est un Dieu différent de celui des judéo-chrétiens et que les musulmans adorent un « faux dieu ».

L’argument le plus cité pour affirmer qu’Allah est un dieu lune préislamique, c’est que la plupart des mosquées ont un croissant de lune. La lune est un symbole omniprésent y compris sur les drapeaux de pays musulmans comme signe général de l'Islam.

Je cite l’attitude générale du Pape Grégoire VII envers l’islam., qui aurai déclaré : Chrétiens et musulmans croient, confessent, louent et vénèrent un seul Dieu, mais, dans le cas des chrétiens, cette foi et cet amour sont des vertus surnaturelles qui les font adhérer à Dieu, tandis que, pour les musulmans, il s’agit d’une vertu de religion naturelle qui les laisse comme Dieu [A moins qu’ils n’aient reçu le baptême de désir, auquel cas ils n’agissent plus en tant que musulmans mais en tant que chrétiens]. On peut donc dire en un sens que seuls les chrétiens ont ou atteignent le vrai Dieu, et que seuls l’honorent vraiment, car seuls ils sont en relation intime avec lui. » (Abbé Matthias GAUDRON, Catéchisme catholique de la crise dans l’Eglise, 6ème édition, Éditions du Sel.)

Un véritable folklore participatif, il est difficile de ne pas lire dans de t-elles propos autant d’exemples d’obsession et de l’islamophobie bruyamment. L’Église catholique se présente comme représentante de son dieu sur Terre. Pourtant les chrétiens croient que Dieu est un en trois personnes, mystère qui n’a pas fini d’être compris

Mais là c'est plus de la religion, c'est de la politique...

Ainsi les chrétiens et les musulmans se rejoignent certes dans l’adoration d’un seul Dieu, mais pour l’église catholique, cela signifie « un seul Dieu » et non pas « le même Dieu ». Il s’agit plutôt de mythes et de prétextes pour ébranler la foi musulmane et refuser un même Dieu à la croyance Islamique et la haine contre l’Islam a encore frappé. Le même folklore participatif, il est difficile de ne pas lire dans de t-elles citations autant d’exemples de l’islamophobie bruyamment.

C’est d’ailleurs assez intéressant que l’Eglise, après moult hésitation, ait déclaré comme invalide le baptême d’une communauté dont les croyances sont si éloignées de la foi trinitaire (par ex. le mormonisme), en se basant sur le trop grand écart entre la théologie mormone et la théologie catholique, ou encore celui des Témoins de Jéhovah et d’autres issues de la division d’Églises existantes, tels les baptistes et les méthodistes, leurs baptêmes sont considéré, dans un cas de ce genre, invalides.

Doit-on lire entre eux une véritable contradiction ?                                      

Je sens que l’Islam est appelé encore se battre contre obscurantisme de l’église, qui se réserve  vraiment le monopole de la vérité,  aussi je m’interroge toujours sur cette relation surprenante entre le Catholicisme et les juifs, une rapprochement à sens unique, les chrétiens qui caressent les juifs dans le sens du poil malgré le déicide après l'avoir diabolisé. On dira que Jésus était juif, qu’il s’adressait aux Juifs et rien ne devait l’empêcher de les interpeller comme le faisaient les prophètes de la Bible hébraïque, mais Jésus, lui, assurait le salut à qui croyait en lui et la perdition à tous les autres. Jésus se démarque des anciens prophètes parce que ses menaces sur les Rabbins par exemple sont restées telles quelles, ce qui donna le rejet juif du Jésus le fils de Dieu. En effet La judaïté de Jésus a longtemps été rejetée par les églises. Pour les religieux chrétien, il était inconcevable de croire que le fondateur de l’Église, précepte qui d’un point de vue historique est totalement faux, ait pu être juif, Tout en croyant que les Écritures hébraïques bien que de manière superficielle sont la parole infaillible et inspirée de Dieu comparativement au  Nouveau Testament. 

Vis-à-vis de la croyance chrétienne, le judaïsme se situe sur le même axe que l’Islam, et refuse de croire à l'affirmation du Nouveau Testament selon laquelle la mort de Jésus était «un sacrifice pour le péché pour tous les temps » (Hébreux 10:12) n'est pas soutenue par les Écritures hébraïques. Pour les juifs la manière de sa mort (crucifixion) ne satisfait à aucune disposition d'expiation par le sang trouvée dans les Écritures hébraïques.

Je dois également rappeler que l’expression  Ancien Testament est chrétienne (ce nom traduit un terme hébraïque qui signifie « alliance ») ne renvoie pas alors à l’ensemble des textes de la Bible hébraïque, puisque, à l’époque de Paul, cette Bible n’existait pas encore. Alors supposant que la Bible est une compilation de la tradition orale, transcrite des siècles après les événements, les critiques en déduisirent que de tels récits ne pouvaient pas être considérés comme fiables.

 Est-il possible d’avoir la certitude de tous les livres qui composent les Écritures de l’Ancien Testament ?

Pour rédiger l’Ancien Testament, des centaines de Juifs Massorètes ô combien célèbres, de la correction définitive des écrits sacrés en langue hébraïque, n’ont pas échappé à cette habitude séculaire de mettre dans leur traduction ce qui en réalité ne se trouve pas dans le texte initial. En effet, on peut y ajouter des titres qui n’existent pas dans l’original, cette addition modifiant le sens général.

Pour le Nouveau Testament, d’autres Juifs se sont attelés à l’écriture, donc juste un récit d’hommes donc.  C’est assez quelconque.

Les religieux chrétiens tenteront souvent d'expliquer ces contradictions confondues avec des arguments qui n'ont aucun fondement même dans leur propre écriture prétendument inspirée. Il appartient au lecteur d'être vigilant et de se méfier de ces vaines tentatives fondées sur des distorsions.

Contrairement au Judaïsme sa première source, l’Eglise a et perçoit toujours l’Islam comme un danger très grave non seulement parce qu’il avait une force d’expansion extraordinaire mais l’Islam a coupé le christianisme de ses racines sémitiques et de la Terre Sainte. Il a pratiquement réduit le catholicisme à sa fraction latine et contribué ainsi à sa rupture au temps de la Réforme.

En rejetant Jésus le Chrétien l’Islam peut être ainsi considéré comme la plus grande tourmente qui se soit jamais abattue sur l’histoire de l’Eglise ce qui permet de comprendre les attaques théologiques qui ont été émises depuis le VIIIe jusqu’à notre époque.

L’Eglise catholique dans son catéchisme dogmatique Lumen Gentium parle de la révélation islamique, Dieu a parlé aux hommes, Le fait est que Dieu a présenté les écritures islamiques à une nouvelle société Arabes devenue Musulmane, perturbe la croyance chrétienne. Nous disons donc que dans son livre, Allah s'adresse directement aux Musulmans. Tous les autres qui liront ce livre sacré doivent garder ce simple fait à l'esprit. La différence la plus importante entre le christianisme et l’Islam pas celle qui s’imagine que l’islam est une sorte de christianisme tardif mais celle qui porte l'affirmation chrétienne selon laquelle Jésus seul devrait être adoré comme un dieu. L’Islam considère la déification chrétienne de Jésus comme une forme d'idolâtrie. 

Mon Commentaire  serait des plus détaillés et je dégrossissais la question !

Mais avant ceci, j’aimerai bien dénoncer certaines des expressions catholiques toutes faites, prêtes à penser, on arrive à des imprécisions. Le flou, non seulement prend de plus en plus de place, mais en plus que c’est fait exprès. On masque les différences au profit d’un vague syncrétisme, où l’on se contente du plus petit dénominateur commun (pour ne pas choquer, comme on dit) et on n’a même plus l’impression que ces différences soient importantes aux yeux de certains (on peut sans doute mentionner ici l’Opus Dei dans l’Église catholique). L’église prétend avoir le monopole exclusif de la représentativité divine.

Le nulla salus extra ecclesiam est revendiqué par les sectes avec plus d’intolérance encore que les Églises. La doctrine catholique en la matière, estime que Jésus-Christ est l'unique révélation de Dieu et l'unique Sauveur des hommes. Une fois encore je dois dire avec force que la vérité ne se choisit pas, elle se découvre, et sur les appels à l'acte de foi du christianisme en faveur de son Dieu et de son fils ce qui survit aujourd’hui, c’est peu de chose  juste une espèce de fortifiant pour les âmes inquiètes, qui leur permet de trouver un peu de tranquillité et de pallier leurs angoisses.

La Déclaration Dominus Jesus affirme le principe d'une vérité absolue valable pour tous les hommes, seule l'Eglise catholique est la véritable Eglise du Christ. Pour la congrégation, les autres religions contiennent bien des parcelles de vérité, mais elles comportent aussi «des lacunes, des insuffisances et des erreurs», ce qui n'est pas le cas du christianisme.

Je ne manquerai pas de citer pour illustrer plus encore le raciste et l’arrogance de l’église catholique qui possédait des livres catéchétiques, comme Le tomos de 1180 sur Mohamed, (l'église refus ce nominatif que j'ai corrigé) Cependant, je voudrai lever quelques réserves à propos du nom de prophète de l’Islam, il me semble en tant de musulman, nous n’avons pas de Prophète de nom de maho..., l’unique prophète de l’Islam est bien Mohamed (SAWS),

Ecrire «Muhamed» au lieu de «Maho...» placera donc sur un terrain commun avec les musulmans, et surtout montrera du respect pour les normes définies pour leur Islam, et pour la personne de Muhamed, que l’église le considériez ou non comme un prophète.

L’eglise a peur de cette prononciation : j’estime que l’eglise nous ferez bien plus plaisir avec un «Muhamed» prononcé maladroitement, qu’avec un «Maho...» prononcé avec assurance !

Errare humanum est… sed perseverare diabolicum

Je reviens au document ecclésiastique qui promulgue une formule d’anathème au Dieu de Mohamed (SAWS. L’empereur byzantin Manuel Ier Comnène, estimant que la formule risquait de blesser les musulmans voulant se convertir, choqué d’un anathème à Dieu, demande aux chefs de l’Église de changer la formule ; certains font remarquer que l’anathème visant le « Dieu de Mohamed, qui n’engendre pas et n’est pas engendré », et donc non pas le Dieu chrétien, qui, lui, engendre, mais au fantôme que Mohamed utilise pour faire son Dieu. Néanmoins l’empereur insiste, et la formule est modifiée en «anathème à Mohamed » et à toute sa doctrine et sa secte dans un tomos.

Entre nous, je trouve cet axiome plus pertinent et je trouve que ceci n’a pas grand sens. C’est peu de dire que l’église a toujours été réactionnaire, elle mène toujours sa croisade contre l’Islam. L’église par des textes despotiques et impertinents veut imposer sa vérité à tout le monde comme si message christique de celui dont les chrétiens ont fait leur christ, était le message du Jésus des Evangiles ce qui en fait est un message complètement différent : la croyance réactivée par les Pères de l’Eglise catholique en une chose comme la bonne violence voulue par Dieu à l’époque de l’Ancien Testament. C’est assez déroutant de voir que le christianisme a puisé dans certaines croyances pour livrer à ses adeptes une sorte de mosaïque de croyances !

Cette croyance commençait à tomber en désuétude les chrétiens sincères sont indignés par cet enseignement épouvantable sont encore très peu nombreux, ils y verront confirmés leurs doutes quant à la signifiance d’un dogme qui se refuse à tenir un message moral qui devrait être sa raison d’être, ce qui les poussent à chercher la Vérité en dehors de l’église  vigoureusement contestée.

Je ne fais que soulever un coin de voile et c’est l’hôpital qui se moque de la charité.

C’est grave. Néanmoins, il est urgent que l’église catholique comprend que son devoir n’est plus aujourd’hui, de faire la prière, la charité, les chants et la danse, mais de nier l’individualité qui caractérise cette croyance et surtout d’abandonner la théologie et le dogmatisme racistes que les précédents papes ont réactivé au sein du christianisme non fondé par Jésus Christ qui n’a pas eu le temps d’achever son acte, et de voir la Vérité Ailleurs.

Pour les linguistes Allah est à l'origine un mot arabe. Le terme «Allah» est dérivé du terme "al-ilāh"  qui signifie adoration. Ainsi, il signifie celui qui est digne d'adoration et d'admiration.  Allāh est accolé de deux noms de Raḥmān et de Raḥīm.

Le Raḥmān, selon les commentateurs, est Dieu en tant qu'il a pitié et prend soin de la destinée de toutes les créatures ;

Le Raḥīm est Dieu en tant qu'il a pitié des hommes et en particulier des croyants.

Un autre nom souvent lié à Allāh est Rabb, le Seigneur, devant qui l'homme est un ‘Abd, un serviteur.

Allāh a donné au peuple musulman une compréhension de lui-même avant de leur donner les Écritures. Le musulman lit les Écritures à la lumière de sa compréhension de Dieu. C'est Allāh lui-même qui a donné au musulman sa conception de Dieu, et c'est à travers l'objectif de cet enseignement fondamental que nous comprenons toute révélation antérieure. Notre conception de Dieu est le critère par lequel les paroles du prophète sont évaluées.

Allāh est une réalité vivante dans le monde Islamique. Les musulmans reconnaissent Dieu comme le Créateur de tout et comme Celui qui soutient constamment toute l'existence. Dieu est tout-puissant et omniscient, et c'est à lui et à lui seul que notre dévotion appartient. Il n'y a pas de place pour la dévotion à une autre entité, car nous recevons tout de Dieu. Il n'est pas nécessaire d'adorer un autre être, car tout réside avec Dieu.

Le musulman qui suit les voies de ses pères mentionnera le nom d’ Allāh plus de cent fois par jour. La relation incessante que le musulman entretient avec Allāh est le chemin par lequel chaque descendance suivante est introduite dans une relation personnelle avec Allāh. Ceci dit pour les musulmans ce n’est nullement qu’ils sont intéressés par un besoin identitaire, mais tout simplement parce qu’ils adorent Allāh leur créateur, et en tant que créature ils rendent honneur à leur créateur en se prosternant (5 fois par jour), en le remerciant pour sa bonté et sa compassion. Dans l'adoration d’Allāh le musulman ne manque de rien et trouve son bonheur.

Quelle est la signification du croissant de lune en Islam?

Le Qur’an a répondu à cette question, bien avant ;

Ils t’interrogent sur les nouvelles lunes – Dis: «Elles servent aux gens pour compter le temps, et aussi pour le hajj [pèlerinage] …” [Qur’an 2]

Pourquoi l’Islam suit-il un calendrier lunaire?

Dans la Bible ainsi que dans le Qur’an, les fêtes religieuses sont régulées par le calendrier lunaire. Les Juifs et Musulmans respectent cette standardisation, convaincus qu’elle provient de Dieu.

En final et en réponse aux assertions de l’Eglise catholique contre l’Islam, je voudrai soumettre les propos du chercheur et orientaliste Arthur J. Arberry qui analyse le Qur’an comme suit :

« Voulant par la présente tentative surclasser mes prédécesseurs et proposer quelque chose qui saurait faire résonner, quoique faiblement, la rhétorique sublime du Coran arabe, j’ai éprouvé toutes les peines à maîtriser les rythmes complexes et magnifiquement variés qui, outre le message lui-même, permettent au Coran de compter incontestablement parmi les plus grands chefs-d’oeuvre littéraires de l’humanité. Cette caractéristique, cette “symphonie inimitable” - ainsi que le croyant Pickthall décrit son «Holy Book» dont les airs poussent les hommes à l’extase et aux larmes” - a été presque totalement ignorée par les traducteurs précédents; ainsi, on ne s’étonne guère de constater que ce qu’ils ont écrit parait terne et plus par rapport à l’original, somptueusement orné » 

Arthur J. Arberry, “The Coran Interpreted”, University Press, Oxford, 1964, p. 10.


Ashab Al Kahf (Les gens de la caverne)

 https://storage.canalblog.com/63/69/1516061/114539330_o.jpg 

La cause de la révélation du récit des Gens de la Caverne est que les Qurayshites de la Mecque, désemparés face à la prédication de Muhammad dans leur cité, le conseil des nobles de la Mecque décidèrent d’envoyer deux émissaires à Médine,, auprès des rabbins de la communauté juive, ce qui prouve encore une fois qu’à l’époque du Prophète Mohamed, il n’y a avait aucune communauté Juive ou chrétienne à la Mecque.  

an-Nadhr ibn ul-Hârith est d'abord mentionné comme étant parmi les leaders de Quraysh détenant le Conseil à faire face à Muhammad. Lors d’une réunion, il avait traité les nobles de la Mecque de l'exagération (polémique) en disant:
 
O Quraysh, une situation a surgi que vous ne pouvez pas traiter. Muhammad était un jeune homme le plus aimé parmi vous, plus véridique dans la parole, et le plus digne de confiance, jusqu'à ce que, quand vous avez vu les cheveux gris sur sa tempe, et il vous a apporté son message.
 
Vous avez dit qu'il était un sorcier, mais il est pas, pour nous avons vu ces gens et leur cracher et de leurs noeuds;
Vous avez dit, un devin, mais nous avons vu ces gens et leur comportement, et nous avons entendu leurs rimes; et vous avez dit un poète, mais il est pas un poète, car nous avons entendu toutes sortes de poésie;
Vous avez dit qu'il était possédé, mais il est pas, car nous avons vu des possédés, et il ne montre aucun signe de leur respiration haletante et chuchotements et le délire. Ye hommes de Quraysh, se tournent vers vos affaires, par Dieu, une chose sérieuse a vous arrivé. il avait l' habitude d'insulter l'apôtre et lui montrer l' inimitié. et puis il concluait: «En quoi est Muhammad un meilleur conteur que moi?
 'Uqba ibn Abî Mu'ayt, On ne dit pas grand-chose sur cette personne, autre que celui qu'il est allé à Médine avec al-Nadr b. al-Harith pour trouver des questions difficiles à poser à Muhammad afin de le tester s'il était un véritable prophète.
Les juifs étant perçus par les Qurayshites comme étant les "gens de la Première Ecriture religieuse", les deux hommes avaient pour mission de leur décrire Muhammad et son comportement, afin de leur demander s'il pouvait réellement être un messager de Dieu.
Lorsque Al-Nadr dit aux rabbins
«Vous êtes le peuple de la Thora, car vous êtes les premiers des Écritures et avoir des connaissances que nous ne possédons pas avec les prophètes alors nous en sommes venus à vous afin que vous pouvez nous dire comment faire face à la révélation du Prophète Mohamed.»
Les rabbins précisèrent aux émissaires de Quraysh que si le Prophète répondait à toutes les questions, il s’agirait alors d’un imposteur. En revanche, s’il répondait à deux questions et laissait la troisième à la science d’Allah uniquement, il s’agirait alors bel et bien de l’Envoyé d’Allah sans aucun doute possible.
Les Juifs savaient pertinemment de par leurs Écritures que Muhammad était un Prophète. Abdullah ibn Salam` par exemple, était l’un des chefs des Juifs. Il était un érudit. Il dit : « Lorsque le Prophète arriva à Médine, à la vue de son visage, j’attestai : “Il n’y a de divinité sinon Allâh. ! Par Allâh, ce visage n’est point celui d’un imposteur !” »
 
Chers frères, tout se voit, la véridicité se voit dans les yeux, et l’imposteur ne peut guère cacher son jeu, même s’il feint la dévotion. C’est pourquoi notre Seigneur dit à propos des pieux : « ils portent leur marque sur le visage, à cause de la prosternation ». Il dit également à propos des criminels : « on reconnaît les criminels à leurs marques ». Rien ne se cache, tout se voit... Notre Seigneur dit : « Et tu les reconnaîtrais très certainement au ton de leur parler. » 
 
Les Juifs leur dirent donc de poser trois questions concernant un groupe de gens dans le passé, un homme ayant parcouru la terre du levant au couchant, et ce qu’est l’esprit. S’il répond aux trois questions, il est un imposteur. S’il répond à deux questions seulement et laisse la troisième à la science divine, il est un Envoyé d’Allâh !
 
«Demandez-lui de trois choses dont nous allons vous instruire; s'il vous donne la bonne réponse alors il est un authentique prophète, mais s'il ne le fait pas, alors l'homme est un voyou, donc former votre propre opinion sur lui.
Demandez-lui ce qui est arrivé aux jeunes hommes qui ont disparu dans les temps anciens, car ils ont une histoire merveilleuse ?
Demandez-lui le puissant voyageur qui a atteint les limites de l'Est et de l’Ouest ?
Demandez-lui ce qu’est l'esprit ?
S'il ne peut vous donner la réponse, alors il est un faussaire et traitez- le comme vous voudrez.
 
Ils revinrent à la Mecque munis de questions à poser à Muhammad :
Les rabbins leur avaient dit : "S'il répond à ces questions, c'est un prophète, un messager de Dieu ; sinon c'est un imposteur".
 
Une délégation qurayshite se rendit alors auprès du Prophète et lui posa les questions, pensant le soumettre à rude épreuve. Mais comme c’est une affaire de révélation, et que les réponses proviennent de la science d’Allâh, il n’y a là aucune difficulté.
 
 Ils posèrent les questions au Propète qui leur répondit : 
« Je vous répondrai demain. »
Mais il oublia de conditionner le tout par la volonté de Dieu en disant « in shâ’a Allâh ».
 
Par parenthèse, lorsqu’on questionna le Prophète sur ce genre d’oubli, il répondit : « Je n’oublie point mais on me fait oublier, afin d’établir une jurisprudence ! » 
 
C’est-à-dire qu’en réalité, pour des visées pédagogiques, Allah le rendait sujet à l’oubli afin que les gens sachent quoi faire ou quoi dire en cas d’oubli !
 
Allah ne communiqua alors aucune réponse, et plusieurs jours passèrent sans que le Prophète puisse tenir sa promesse. Les Mecquois exultaient, tandis que le Prophète était abattu.
Quraysh ont attendu quinze jours en disant: «Muhammad nous a promis une réponse sur la demain, et est aujourd'hui le quinzième jour, nous sommes restés sans réponse.
 
Ce retard a causé une grande douleur de chagrin au prophète, jusqu'à ce que l’Ange Jibril lui apporta le chapitre de la grotte, dans laquelle il lui reproche sa tristesse, et lui a dit les réponses à leurs questions, les jeunes, le puissant voyageur, et l'esprit.  
 
Se fondant sur ce récit, Ibn Kathîr écrit que si l'histoire des Gens de la Caverne avait eu lieu, comme le disent certains, chez des chrétiens, les rabbins de Yathrib ne lui auraient porté aucun intérêt particulier, puisque les juifs ne croient pas en le caractère de messager de Jésus ; l'histoire des Gens de la Caverne a donc eu lieu parmi les juifs, et ce avant la venue de Jésus.
 
En fait, poursuit as-Syôhârwî, il semble qu'en réalité les rabbins de Yathrib n'aient formulé que deux questions, celle à propos de l'âme et celle à propos de l'homme qui régna de l'orient à l'occident ;
Pour ce qui est de la question relative aux jeunes hommes endormis, les Quraysh ont dû l'entendre lors de leurs voyages commerciaux en Syrie et l'avoir ajoutée d'eux-mêmes. Mais étant donné qu'ils ont posé trois questions au Prophète après avoir consulté des juifs de Yathrib, un transmetteur a pensé que ces derniers étaient à l'origine des trois, alors qu'en réalité l'une d'elles provenait des Qurayshites eux-mêmes.
 
As-Syôhârwî souligne qu'une lecture attentive de la formulation des versets coraniques laisse entrapercevoir une subtile distinction : on lit d'une part :
 
"Ils te questionnent au sujet de l'âme. Dis : …" (Coran 17/85)
"Ils te questionnent au sujet de Dhu-l-qarnayn. Dis : …" (Coran 18/83) ;
 
Par contre, au sujet des Dormants, le passage commence par :
 "Avais-tu pensé que les gens de la Caverne et de Raqîm constituent chose étonnante parmi Nos Signes ?" (Coran 18/9).
 
Voyez, dit as-Syôhârwî, la différence entre les deux formulations : pour les deux premiers points, le fait qu'ils relèvent d'une question a dûment été mis en exergue, parce que, au delà des seuls Quraysh qui les ont posées au Prophète, la réponse s'adresse aussi aux rabbins de Yathrib, les véritables auteurs des questions ; d'ailleurs le pronom personnel sujet de "Ils te questionnent" les représente ; par contre, pour le troisième point, la question posée par les Quraysh n'avait pas pour origine ces rabbins, et il n'a donc pas été dit : "Ils te questionnent au sujet de...".  

Chrétiens, avons-nous le même Dieu, le mien c’est Allah ?

 https://storage.canalblog.com/12/17/1516061/127531463_o.jpg 

Tout d’abord, je dois signaler que le christianisme n'a jamais été une croyance monolithique, puisqu'il y avait tant de sectes de diverses ethnies dans le christianisme primitif, chacune avec des croyances différentes sur Ieschoua (Jésus) et avec leurs propres versions sur les écrits,.

Les rivalités perdurent entre les partisans de l'imposture et ceux de l'authenticité et laquelle pouvons-nous dire qu'elle suivait les vrais enseignements du Rabbin Juif qui était Ieschoua?

Pour ces différentes sectes la vérité et le mensonge se fusionnent, alors disons plus  simplement que le Rabbin Juif qui était Ieschoua est un homme que la légende a élevé au rang de fils de Dieu et même Dieu lui-même.. Si le Jésus de la théologie chrétienne fait partie de Dieu comment Satan pourrait-il espérer le tenter ? comment comprendre que le Dieu de la Bible a besoin d'être tenté et de souffrir pour pouvoir comprendre et pardonner les péchés de l'homme tout en étant le créateur omniscient de l’homme?

A l’instar de l’Islam, le christianisme se réclame d’Abraham mais derrière cette source, c’est la question du prophétisme qui est posée  car le christianisme n’est pas une religion d’un monothéisme de type prophétique. Sa conception du prophétisme présente de profondes divergences pour ne pas dire totalement défaillante. Elle ne s’inscrit pas dans le cadre d’une présence de Dieu avec l’humanité, mais d’un Dieu qui se fait apparaître comme l'homme et  envoie soudainement un message radicalement d’un Fils de Dieu qui contredit les enseignements de ses prophètes précédents à travers l’histoire, le Christianisme étant d’ailleurs anhistorique. C’est pourquoi les écrits chrétiens qui mettent Ieschoua (Jésus) en scène ne sont localisés ni dans l’espace, ni dans le temps.

Donc en incluant dans une même famille l’islam et le christianisme, ces données maintiennent des confusions désagréables, quant on sait que le christianisme est atteint par le relativisme religieux et l’indifférentisme culturel, dominée par le subjectivisme et l’émotion, bien des chrétiens ne savent plus comment se situer par rapport à l’islam au moment où celui-ci connaît un développement inédit sur les terres chrétiennes.

En aucun cas, le christianisme ne peut être désigné comme religion, encore moins une religion de Livre, sauf peut être une Croyance de Salut. En réalité, une religion doit comprendre trois éléments essentiels, sans lesquels elle ne peut remplir sa fonction.

Ces trois principes sont les suivants:

-une doctrine c'est-à-dire un ensemble de croyances et de convictions à la dimension idéologique, juridique, économique, religieuse, philosophique, scientifique et sociale ! 

-une théologie rituelle !  

-une morale, c'est-à-dire une éthique tournée vers l’obéissance à la Loi divine !

 Mais surtout pas de système éthique basé sur une pensée humaine et irrationnelle dérivant du surhumain, église qui aurait amputé le christianisme de ce qui fait l’essence même de la religion ?

J’estime qu’à travers le Qur’an, la vision de Dieu que le musulman se fait est parfaitement vraie, contrairement le Chrétien à travers la Bible sa vision est totalement mêlée à de nombreuses erreurs.  Le musulman peut se sentir proche de Dieu en réfléchissant aux paroles de son livre sacré pour être convaincu que son autorité vient de Dieu tout-puissant au-dessus de toutes choses tandis que le chrétien en adorant et en chantant en communauté estime que le fils de Dieu, unique Sauveur, mort et ressuscité corporellement pour expier les péchés, est à son rencontre. Le chrétien a la certitude qu'il a reçu le salut, avec le témoignage intérieur du Saint-Esprit, puisque que le Nouveau Testament l'atteste.

Qui sauve ? Qui est sauvé ? De quoi est-on sauvé ? Comment est-on sauvé ? La théologie chrétienne ne répond à toutes ces questions !!!!

Le christianisme reste une croyance exclusiviste qui est plus le projet de Constantin, de Paul de Tarse que du Rabbin Juif qui était Ieschoua, qui contient peu de vérité mais aucune révélation, et qui est particulière sur qui peut et ne peut pas être sauvé, et pourtant le Jésus Christ de l’église n’est pas le Ieschoua des écrits bibliques et surtout Ieschoua ne s’est jamais appelé Jésus mais ce terme reste juste une paganisation une sorte de dissimulation mal voilée   pour dépeindre Jésus comme un concepteur d'une nouvelle religion.

Au vu de tout ce qui précède, il est donc impossible de considérer qu’Allah des musulmans est le même que celui des chrétiens, malgré son apparition en milieu Judaïsé et avec quelques apparences trompeuses tout ce que le chrétien dit sur Dieu est erroné.

L’islam est bien un monothéisme puisqu’il implique la croyance et l’adoration du Dieu unique, et il emploie le mot «unicité» pour parler du Dieu unique. L’islam se présente donc sous la forme d’un monothéisme absolu, qui exclut toute pluralité en Dieu. C’est la religion qui prétend que Dieu a toujours été pour tous !!!!!

Presque tous les chrétiens croient que Jésus était et est Dieu. C'est ce que l'église apologétique a toujours enseigné et dans ce sens le Catéchisme de l’Eglise Catholique réfute catégoriquement toute prétention à la prophétie et toute prétention à une correction  de la Révélation divine, qui ferait suite à la Résurrection du Christ.

Je dois avouer que les opinions de l’Eglise sur elle-même ne sont pas des explications mais juste des arguties tirées par les cheveux pour sortir d’une contradiction, non sans raison, ce qui est en jeu, c’est la primauté du dogme. Les reliques, les défilés, les pèlerinages, les statues qui saignent, Lourdes, Fatima et les guérisons miraculeuses, si ce n’est pas de l’idolâtrie, c’est quoi ?

Avec le mythe du peuple élu, et sa terre promise, les juifs tendent à prendre au sérieux les injonctions des écris hébraïques datant des siècles d’obscurité pour se réserver un Dieu Juif, le texte hébraïque ayant été dénaturé par les Juifs donc, quoi de mieux pour les religieux que de réécrire la Bible hébraïque afin de supprimer toute formulation susceptible de provoquer soit un blasphème, soit une médisance dangereuse pour le peuple juif et de créer des héros juifs imaginaires et d'autoglorification du peuple Juif, adjoignant le religieux pour avoir une certaine crédibilité et effacer de leur mémoire ces blessures et humiliations, ces rabbins commencèrent par détruire soigneusement et complètement les archives hébraïques ou encore de bafouer par pure fiction d'idéalisation et de redorer de façon assez particulière les paroles sacrés de Dieu Yahveh .

Alors redorer de façon assez particulières les paroles sacrées de Dieu, ce qui avait permis surtout aux religieux de gérer leurs angoisses existentielles de vaincus et de frustrés de l’histoire. Nulle prédiction en faveur de leur nation juive n'a été accomplie. Le nombre des prophéties qui prédisent la béatitude et la grandeur de Jérusalem est presque innombrable ; aussi, dira-t-on, il est très naturel qu'un peuple vaincu et captif se console dans ses maux réels par des espérances imaginaires.

Rabbi Yohanan, maître de l'École de Tibériade au IIIe siècle tenait à préciser: «Mieux vaut déraciner une lettre de la Torah que de risquer une profanation du Nom de Dieu en public.» (Yevamoth 79a)

Par cette réécriture le peuple juif a rendu la Bible truffée de légendes, de contes, de récits de mythes et créé une histoire sur mesure pour exister au milieu des autres civilisations l'entourant qui le dépassaient et ignoraient carrément son existence tellement qu’il était insignifiant,  puis le catholicisme (une secte chrétienne), avec un folklore populaire charmant, se réserver également un Dieu Chrétien plein d’amour pour ses adeptes au point de sacrifier son propre Fils  pour leur Salut.

Donc, les juifs avaient façonné un Dieu Juif, qui se fait appeler aussi dans l’Ancien Testament «L’Eternel des armées» et qu’il conduisit les guerres d’Israël et que son bras vengeur anéantit ses ennemis.

Il n’en est pas ainsi de la foi chrétienne, le Dieu Chrétien donne son Fils pour pardonner les fautes des chrétiens dans une dimension d’amour et de grâce seulement il faudrait une véritable rencontre de conversion avec le Père ou le Fils par l’Esprit Saint !!!!

Je conclurai que pour le christianisme il s’agit de l’imposition d’une foi qui n’est pas révélée mais sollicitée par la divination avec ferveur d’un Gourou en Sauveur, un faux sauveur puisqu’il s’oppose au vrai Dieu, que l’esprit de rébellion vient du Diable, le prince des ténèbres ? Un rabbin juif nommé Ieschoua Jésus  (Historicité douteuse) a clairement promis que certains de ses disciples seraient encore en vie à son retour. Cela fait plus de 2000 ans que Ieschoua est parti et ses disciples sont morts depuis longtemps. Il est un faux prophète parce qu’il divise au lieu de rassembler.

Seulement voilà, entre une secte (le christianisme) et une religion de Livre (l’Islam), la différence vient de la révélation, On ne peu employer le terme de révélation pour le christianisme car la révélation ne peut venir que du vrai Dieu pour une religion de Livre. Historiquement le christianisme est né d'une dissidence au sein de la communauté juive, mais    reste une croyance qui annonce la résurrection d'un homme supposé Fils de Dieu.

Les écrits chrétiens sont le mélange d’une confession d’un autre dieu, naissante de la personnalité de leurs auteurs. Le christianisme a inventé un culte obscur, rempli de dogmes incompréhensibles, dont la bible n’a jamais parlé comme le baptême de Jésus loin d'être un fait certain, n’est en fait qu’un fantasme pieux soutenu par une fraude tendancieuse, ou en tant que rituel Jesus est devenu l'agneau du sacrifice, expiant les péchés des chrétiens, le pain et le vin sont devenus le "corps et le sang" même du Christ, sans oublier encore ce triste vœux de chasteté que feraient les religieux et les religieuses et qui a provoqué de grossiers scandales au sein de l’église, on voit encore que la partie saillante de l’iceberg ou encore la focalisation sur le personnage de Jésus reste primaire et l'adoration est définie comme l'obéissance à Jesus Christ puisque Dieu est devenu Chair et qui ne peut être atteint que par ses substituts (Pape, Evêques et Prêtres). Naturellement ce dogme défie toute explication rationnelle et en dit long sur la crédulité humaine.

A part quelques détails d’ordre théologique (qui se retrouvent dans la plupart des autres croyances, il faut aller derrière les simples noms. Ce n’est pas parce qu’il y a des noms (Abraham, Jésus, Marie…) communs entre la Bible et le Qur’an qu’il s’agit de personnes identiques. Ce n’est pas parce qu’il y a quelques concepts communs  entre ces deux croyances qu’il s’agit de concepts identiques. Le christianisme et l’Islam sont tout simplement incompatible, et ne peuvent donc en aucun cas faire bon ménage.   

Certains chrétiens diront aisément que l'islam semble avoir plus de sens que le christianisme. 

Le musulman peut répondre que l'islam est en effet optimal pour certaines cultures.

L'Islam a sans doute les écritures les plus rationnelles.

Le musulman a pour l’impression que le christianisme, s’il est capable de prendre des visages de douceur séduisante il reste une secte conquérante et le constat que des chrétiens s’en détachent parce qu’ils jugent qu’elle ne reflète plus la quête spirituelle  ni l’humanité qui la compose, semble un facteur determinant. 

Le musulman peut se sentir proche de Dieu en méditant les paroles du Qur’an tandis que le chrétien peut se sentir proche d’un Fils de Dieu en adorant et chantant en communauté, mais son église se vide et seule une poignée de fidèles d'un âge certain assistent encore à la messe  peut-être plus par habitude que par conviction et chantent sur ordre d’une voix qui mouline derrière le micro, très près du célébrant, des refrains qui rappellent certainement "Quand trois poules vont aux champs"

En bref la confusion religieuse actuelle vient donc de ce qu’être chrétien est loin d’être synonyme de détendeur de Vérité, ce qui pousse le plus souvent les bons chrétiens à rester chez eux en masse dimanche: pour beaucoup d'entre eux, donner à manger aux animaux dans un parc zoologique semble plus significatif.

En conclusion, je dois noter qu’Allah est le vrai nom de Dieu dans la langue de Jésus (En araméen le terme "elah" désigne Dieu) et cela pourrait être YHWH dans la langue hébraïque. Allah est Dieu, c'est une référence à sa Clémence et à sa nature éternelle. Je pense que cela a plus de sens pour Allah que Dieu qui signifie simplement le dieu. Je n'ai aucun problème avec les gens qui appellent Allah  Dieu comme cité ci-dessus, juste que ce n'est pas Son vrai nom universel.

 Allah  étant le même pour toutes ses créatures.

L’acte le plus noble est de trouver Allah, pas de savoir quel est le meilleur chemin et je le souhaite à tous les lecteurs et visiteurs de ce blog.

 

 

Mes questions aux chrétiens !!!!!

 https://storage.canalblog.com/49/58/1516061/119344588_o.jpg 

Pour l'image je vois le christianisme comme le petit cadet qui fait sa crise d'ado (inculte, satanique, comédie digne de honte et de mépris. signe d’incompréhension et maladie du mensonge) avec cette certitude absolue d’avoir la seule vérité et avoir le pouvoir du pardon alors que les autres religions sont diablement inspirées.

Le mythe central de cette religion était la croyance en ce sacrifice, et un partage mystique de la mort de la divinité, que formaient la seule voie vers le salut. Cependant l’affirmation que Jésus est Dieu et que la Bible enseigne une divinité trinitaire est encore plus un exercice d’endoctrinement qu'un fait réel.

Mais la chose étonnante à propos de cette emphase est qu'aucun chrétien ne semble l’expliquer, comme décrit par les mots attribués à Jésus:

"Voyant qu'ils ne voient pas, et n'entendant pas, ils ne comprennent pas non plus." (Matthieu 13:13)

Ou encore ce mariage du dieu des chrétiens !!!! :

Jésus biblique qui épousera sa fiancée Christ (l'église chrétienne) au repas de noces de l'agneau ! Réjouissons-nous, réjouissons-nous et donnons-lui gloire pour le mariage de l'agneau est venu, et sa fiancée s'est fait prêt. !!!  Apocalypse 19.7 

Sur le Salut chrétien:(axiome de saint Cyprien«Hors de l’Église point de salut»)

Pourquoi tant de mystère et de confusion, tant d’incertitude et de désaccord sur ce en quoi consiste le salut pour réinterpréter les grandes lignes de la foi chrétienne ?

Le Salut est une notion spirituelle qui signifie «délivrance et libération». Le chrétien se trouve responsable d’un salut au-delà de la mort, sous forme d’immortalité ou de vie éternelle.

Les chrétiens disent que "Dieu a perdu son fils unique pour nous sauver".

Pourquoi Dieu a-t-il perdu Jésus s'il possède l'univers entier?

S'il était agréable à Dieu d'avoir des fils, il aurait pu créer de nombreux fils semblables à ceux de Jésus. Alors, quel est l’intérêt de ce fils unique ?

Pourquoi la Bible dit-elle que Jésus voulait mourir sur la croix, quand celui qui était sur la croix criait:

"Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?"  Matthieu 27:45 et Marc 15:33?

Si Dieu avait voulu sauver, n'aurait-il pas pu le faire sans sacrifier Jésus?

Dieu est juste et la justice exige que personne ne soit puni pour les péchés des autres ni que certaines personnes soient sauvées en punissant les autres. La prétention que Dieu a sacrifié Jésus pour sauver parce qu'il était juste est tout à fait contraire à la définition de la justice ?

Si tous les chrétiens sont sauvés par Jésus et vont au paradis quoi qu'ils fassent, alors les enseignements de Jésus ne sont pas ad hoc et la définition du bien et du mal est ainsi rendue non pertinente.  

Les chrétiens disent que les humains ne vont au Ciel que par Jésus, mais dans les écrits chrétiens il est dit :

Car le mari non croyant est sanctifié en ce qui concerne [sa] femme, et la femme non croyante est sanctifiée en ce qui concerne le frère ; autrement, vos enfants seraient réellement impurs, mais maintenant ils sont saints 1 Corinthiens 7: 14

Cela va à contre sens de l'affirmation de la Bible selon laquelle la seule voie vers le ciel passe par Jésus?

Selon les chrétiens, ceux qui n'ont pas été baptisés iront en enfer. Ainsi même les nourrissons et les bébés vont en enfer s'ils ne sont pas baptisés, puisqu'ils sont nés avec un péché originel hérité.  

Pourquoi Dieu punirait-il les non chrétiens pour des péchés qu'ils n'ont jamais commis?

Le Saint Qu’ran contient clairement un verset qui décrit bien cette maladie bien cultivée:

"Sourds, muets et aveugles, ne reviendront-ils pas sur le chemin?" Qu’ran 2:18.

Sur l’Esprit Saint ce grand inconnu ?

Les chrétiens prient l’Esprit Saint et le reconnaissent comme la troisième personne de la Trinité. Le Saint esprit est illustré par    une Colombe au titre des Images Saintes.  

Les chrétiens se sentent mal à l’aise lorsqu’on parle de l’Esprit Saint (ou du Saint-Esprit) :

- Pour certains, l’Esprit Saint est une force, une force divine, englobant tout et déterminant le cours des événements humains.

- D’autres conçoivent l’Esprit Saint non comme une force impersonnelle mais comme une personne, un agent envoyé par Dieu pour accomplir sa volonté, en quelque sorte un des anges principaux.

- Pour d’autres encore, l’Esprit est simplement un autre nom du seul vrai Dieu, un nom qui souligne sa nature invisible.

Le seul endroit dans la Bible où le Paraclet a été appelé le Saint-Esprit est dans Jean 14:26

"Mais le Paraclet, l'Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, il vous enseignera toutes choses et vous rappellera tout. que je vous ai dit " .

Qu'est-ce que le Saint-Esprit a apporté ou enseigné pendant les 2000 dernières années?

Les chrétiens disent que le Paraclet signifie le Saint-Esprit.  Jésus a dit dans Jean 16: 7-8: "Si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas vers vous" .

Cela ne pouvait pas signifier l'Esprit Saint, puisque l'Esprit Saint aurait été là avant même que Jésus soit né comme dans Luc 1:41: "Elizabeth était remplie du Saint-Esprit" .

Ici, le Saint-Esprit était également présent pendant la vie de Jésus.

Alors, comment cela pourrait-il correspondre à la condition que Jésus doit partir pour que le Saint-Esprit vienne?

Dans Jean 16: 7-8, il est dit: "Mais si tu vas, je te l'enverrai. Et quand il viendra, il convaincra le monde des péchés et de la justice et du jugement " .

Est-ce que le Saint-Esprit parle aussi aux bons chrétiens et aux mauvais chrétiens?

Est-ce que le Saint-Esprit est avec eux tout le temps ou juste à certains moments?

Quand commence-t-il à rendre visite à une personne qui veut devenir chrétienne?

Comment pouvez-vous, en tant que chrétien, dire si le Saint-Esprit est à l'intérieur d'un autre chrétien? Comment se fait-il que de nombreux Chrétiens aient dupé les gens en prétendant que le Saint-Esprit était en eux seulement pour être ensuite converti à une autre religion?

Est-ce que le Saint-Esprit dicte ce que les chrétiens devraient faire sans choix ni liberté ou est-ce seulement les guide et ils ont la liberté de suivre ou pas?

Si le Saint-Esprit dicte ce que le chrétien devrait faire, pourquoi les chrétiens commettent-ils des péchés et commettent-ils des erreurs? Comment pouvez-vous expliquer la conversion à d'autres religions et l'athéisme de nombreux chrétiens? Est-ce qu'on leur dit de faire cela par le Saint-Esprit?

Si le Saint-Esprit guide seulement les chrétiens, et qu'ils sont libres de faire ce qu'ils veulent, alors comment savons-nous que les auteurs des évangiles n'ont pas fait d'erreurs en les écrivant?

Si les chrétiens croient que le Saint-Esprit vient et leur parle tous les jours, pourquoi ne demandent-ils pas au Saint-Esprit quelle version de la Bible suivre car il y a trop de versions qui circulent?

Les autres dons spirituels sont des dons venant de DIEU qui les distribue comme il veut, à qui il veut et quand il veut.

Pourquoi en faire une doctrine ?

Sur la mission de Jésus ?

Puisque le christianisme est limité à la vie spirituelle et ne fournit pas de loi, comment une société peut-elle décider quelles lois ont raison ou tort?

L’Église lors du concile de Nicée en 385, suite à la controverse sanglante qui a opposé les partisans de l'évêque Athanase et ceux du prêtre Arius. Le premier affirmait que Jésus était Dieu, son Fils incarné et l'autre que Jésus était un très grand prophète envoyé par Dieu, le Verbe divin, certes, mais pas Dieu Lui-même.

Le problème étant que ce sont les partisans d'Athanase qui ont gagné, non sans avoir fait de nombreux morts

Jésus est né juif; il a vécu sur le sol ancestral de la Palestine. Il a enseigné un petit groupe de disciples, tous juifs comme lui.     Les pécheurs qu'il fréquentait étaient des pécheurs juifs; il a guéri des malades juifs, nourri des affamés juifs, fait couler du vin à un mariage juif. Et jusqu'à son dernier soupir, il ne s'est pas dérobé au fait qu'il était juif."  Quel Juif !

Jésus n'était pas chrétien ?

Le mot «chrétien» a d'abord été mentionné par un païen pour décrire ceux qui ont suivi Jésus. Il est mentionné trois fois dans le Nouveau Testament par un païen et juif à Antioche environ 60 AD, (Actes 11:26, Actes 26:38 et 1 Pierre 4:16) longtemps après que Jésus a quitté cette terre.

Pour accepter les mots des païens comme ayant une valeur ou une association avec la divinité, Jésus ou Dieu est contraire aux enseignements de tous les prophètes.

Jésus n'était pas chrétien ?

Comme le démontre sa réplique à la femme cananéenne, sa façon péjorative de parler des "païens et des pharisiens", son engagement sans réserve pour la cause des "brebis perdues de la maison d'Israël". Pourtant les brebis juives l’ont rejeté, Pour eux il ne peut être ni Dieu ni le Fils de Dieu. Ces deux notions sont pour la maison d'Israël non seulement impies et blasphématoires, mais également incompréhensibles. Certains reconnaissent que Jésus était un grand instructeur, d’autres disent : un grand rabbin.

Jésus, le Jésus des Évangiles, Fils unique et incarnation de Dieu pour les chrétiens, fut dans sa vie humaine un juif, un simple artisan juif. C'est là un fait que nul chrétien n'a le droit d'ignorer. Tout ce que l'on sait de Jésus démontre qu'il était juif, juif de croyance, de religion. Juif de naissance.

Pourquoi les chrétiens disent-ils que Jésus est venu avec une mission universelle quand il a dit qu'il a été envoyé aux Juifs seulement et qui n’ont pas cru en Lui ?

Son peuple s’est moqué de lui, l’a flagellé et l’a renié, même ses propres frères, n’ont pas cru en lui  et il a même été trahi par l’un de ses disciples et renié par un autre (voir Jean 18:2-3, 25-27).

C'est vrai des Évangiles, ces quatre récits de sa vie, mais également du reste du Nouveau Testament ne signifie rien du tout. Il est vide de sens et de toute direction. Tout ce qu’il dit dans un paragraphe est contredit dans un autre paragraphe.

Les juifs le voyaient comme le Messie, celui que leur dieu devait envoyer sur terre pour instaurer le Royaume de Dieu, c’est à dire mettre les juifs sur le trône au dessus de tous les autres.

Il était plein de haine pour tous ceux qui n’étaient pas juifs de sa secte particulière. Les fameux mots qu’on lui prête quand il a soi-disant dit qu’il faut aimer ses ennemis sont complètement faux. 

Il y avait l’ennemi extérieur, étranger, comme les romains, et l’ennemi personnel, comme par exemple un cousin, un voisin ou même un frère avec lequel on a des problèmes, c’est à dire plutôt un adversaire personnel qu’un ennemi.

C’est ce genre d’ennemis que Jésus a dit d’aimer, c’est à dire les autres juifs, avec lesquels ses disciples avaient des problèmes, pas les vrais ennemis, car ces derniers il fallait les haïr et les détruire.

L'Ancien et le Nouveau Testaments présentent le sang comme seul moyen de rédemption et révèlent que le sacrifice sanglant dont l'efficacité serait permanente serait celui du Messie.

C'est pour cette raison que le Messie devait mourir d'après l'Ancien Testament. C'est pourquoi Jésus mourut effectivement, d'après le Nouveau Testament.

Le Nouveau Testament ne s'intéresse pas vraiment à l'identité de celui qui a tué Jésus, puisque le Messie devait mourir. La grande préoccupation du Nouveau Testament est de voir les hommes et les femmes accepter personnellement le sacrifice expiatoire de Jésus. Pour les premiers disciples de Jésus, leurs revendications sont supposées des événements publics. Ces choses sont arrivées  dans leur esprit.

Sur la résurrection ?

Les évangiles ne décrivent jamais la résurrection. Les évangiles attestent seulement qu’ «il est ressuscité», qu’ «il n’est plus ici» dans le tombeau. (Matthieu 28, 7).

Si vous lisez Matthieu (28: 1-10), Marc (16: 1-20), Luc (24: 1-12) et Jean (20: 1-18), vous trouverez des histoires contradictoires. Ils ont tous convenu que la tombe était gardée pendant trois jours. Cependant, ils ont signalé la découverte de la tombe vide différemment.

L'évangile de Marc semble soutenir la vision du monde islamique, en gardant le silence ou en omettant toute mention de la résurrection. L'Évangile se termine au verset huit avec les femmes, en pleine confusion, fuyant la scène de la tombe, qui était vide:

Matthieu et Jean ont rapporté que Marie-Madeleine et l'autre Marie ont été les premières à découvrir la tombe.

Marc rapporte que Marie-Madeleine, Marie, mère de Jacques, et Salomé furent les premières à découvrir la tombe vide.

Mark rapporte qu'il y a eu un tremblement de terre qui a enlevé la roche de la tombe. Il dit qu'un ange l'a causé. Les autres évangiles ne mentionnent pas un tremblement de terre.

Matthieu et Marc disent qu'un seul homme en vêtements blancs était assis sur la tombe quand la femme est arrivée, et qu'il était un ange.

Luc dit que deux hommes en vêtements blancs, qui étaient des anges, étaient assis. Jean dit que les deux femmes n'ont rencontré personne la première fois qu'elles sont venues au tombeau, mais quand elles sont revenues, elles ont vu deux personnes, l'une était un ange et l'autre était Jésus.

Matthieu rapporte que lorsque les gardes ont rapporté cela au grand prêtre, le grand prêtre leur a versé une grosse somme d'argent, leur disant: "Vous devez dire que ses disciples sont venus la nuit et ont volé son corps."

Il affirme que les soldats ont pris l'argent et répandre l'histoire autour et depuis lors, l'histoire avait circulé parmi les Juifs jusqu'à aujourd'hui (selon Matthieu). Les autres évangiles ne rapportent aucunement cette narration.  .

Quel récit est plus authentique?

Pourquoi l'apparition de Jésus après la crucifixion est-elle prise comme une preuve de sa résurrection quand il y a une explication qu'il n'était pas mort parce que quelqu'un d'autre a été crucifié à sa place quand Dieu l'a sauvé?

Comment Matthieu a-t-il su de l'accord revendiqué entre les soldats et le grand prêtre?

Quelqu'un ne peut-il pas dire que quelqu'un a payé une grosse somme d'argent aux femmes et leur a dit de répandre le message que Jésus est ressuscité des morts, avec la même authenticité que celle de l'histoire de Matthieu?

Pourquoi ont-ils cru cet homme dans les vêtements blancs? Pourquoi ont-ils cru qu'il était un ange?

La narration de Jean est trop étrange, puisqu'il dit que Marie n'a pas reconnu Jésus (l'un des deux) en lui parlant, et elle l'a seulement reconnu quand il l'a appelée par son nom.

Comment une tombe vide prouve-t-elle que Jésus a été crucifié?

N'est-ce pas que Dieu est capable d'enlever un autre homme du tombeau, et de le ressusciter aussi?

Les Évangiles sont censés être les mots verbatim de Dieu, ils sont supposés être dictés par le Saint-Esprit aux Disciples qui les ont écrits. Si la source était la même, elle ne correspondre pas les uns avec les autres pour signaler un événement aussi important ?

la supposition de la résurrection du Christ se fonde sur des circonstances qui ne sont en fait pas du tout miraculeuses, mais ont été interprétées comme telles. Les disciples croyaient qu'ils voyaient Jésus, mais également que l'on savait que son tombeau était effectivement vide

la croyance en ce que Jésus aurait ressuscité d'entre les morts s'est fondée sur le constat du tombeau vide garder initialement par deux gardes romains, tout au moins d'après l'Évangile de Matthieu, par 3 femmes, se rendant au tombeau de Jésus

Le récit  se termine avec les femmes, en pleine confusion, fuyant la scène de la tombe, qui était vide:

Tremblant et désorienté, les femmes sont sorties et ont fui la tombe. Ils n'ont rien dit à personne parce qu'ils avaient peur. Marc 16: 8

Comment Matthieu, Marc, Luc et Jean pourraient-ils être considérés comme témoins oculaires de la résurrection quand la Bible indique que personne n'a vu Jésus sortir du tombeau ?

Par ailleurs, certains exégètes estiment que la visite des femmes le matin a établi le fait d’une résurrection comme un objet de foi,  cela reste une vaste tromperie: des disciples de Jésus auraient en fait dérobé le corps de leur Maître afin de prolonger une entreprise dont ils jouissaient et à laquelle la crucifixion aurait mis un terme  cela reste une vaste tromperie:

Cette affirmation se fonde sur le démenti dans le chapitre 28 de Matthieu qui explique que cette prétention avait été promue par des Juifs lorsqu'ils avaient constaté que le tombeau était vide, pour déjouer la réalité de la Résurrection (versets 11 à 15).

Si les chrétiens ont raison, Dieu pourrait alors passer pour un Dieu trompeur (puisqu'il aurait laissé Jésus mourir pour faire plaisir aux juifs) et relativement incompétent puisqu'il aurait alors créé accidentellement le christianisme à l’inverse du Judaïsme dans une perspective voulu par Dieu.

Mais quand on voit comment l’église appelle avec insistance les missionnaires à convertir les musulmans et pratiquaient un  prosélytisme avec coercition, persuasion malhonnête, ou simplement peu loyale avec un manque au respect de la liberté autrui, dans l’annonce de leur Évangile supposé apporté une vérité toute relative alors que la religion chrétienne avec une foi émotionnelle, superficielle semble à se réclamer avoir le monopole de la vérité, on peut se demander quel est cet obscur dessein, car du point de vue chrétien Dieu n'a pas créé l'islam puisqu'il n'a pas envoyé Mohammed (de ce point de vue là, l'islam est simplement le produit de la liberté humaine, voire l’œuvre de Satan pour certains radicaux)

Cependant, je dois avouer que les chrétiens n'ont pas le monopole de l'objectivité et de la rigueur d’une argumentation positive, le discours chrétien me semble plutôt un discours négatif.

Donc pourquoi cette déduction ?

Conclusion, je ne veux pas persifler la foi de nos amis chrétiens, mais c'est vrai que la vision chrétienne sur l’Islam me semble mener à des impasses. 

C'est vraiment une très grande différence, en effet !

Aura-t-il des réponses à ce questionnaire rationnel, simple, sincère et avec un raisonnement logique.

 

En France, la Laïcité humiliée par le communautarisme Juif !!!!

 https://storage.canalblog.com/01/41/1516061/125077613_o.jpg  

D’abord, j’aimerai bien citer la citation à propos de la Laïcité en France.

«La laïcité est utilisée non pas pour vivre ensemble, mais pour vivre les uns contre les autres» a dénoncé François Bayrou, maire de Pau et président du MoDem.

Y-a-t-il besoin d’en dire plus !

En effet un grand tohu-bohu médiatique, pour cette hystérisation sur l’affaire du voile n’est que du renouveau puisqu’on la fait remonter à 1989 et depuis les milieux identitaires et les racistes de tous bords n’aboyaient fortement comme des loulous, des individus atteints d’une voilophobie aiguë, que pour en faire du port de voile de la femme musulmane un ennemi au nom de la laïcité, dans un climat anxiogène, nourri par des amalgames et des discours haineux.

Que sait-on de cette laïcité ?

Un slogan, en vogue ces derniers temps, qui sévit et fait fureur dans les sphères politiques et médiatiques avec une mise en relief d’un débat public et remet une nouvelle fois ces diatribes contre la mode du voile. Ainsi on peut noter le mot laïcité en France a pris une connotation négative, il est devenu par la volonté de certains politiques et des médias, un terme qui signifie aujourd’hui «Rejet de l’Islam» comme religion  déclarée à tort incompatible, avec la laïcité, on voit ainsi que la signification du mot a été pervertie, est vidé de tout sens rationnel.

La laïcité en plus du principe de tolérance. Elle réunit la liberté de conscience, le pluralisme religieux et la neutralité de l’Etat, L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen pose les bases de la neutralité de l’Etat. Ainsi, « nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi ».

Par ailleurs il faut également noter que la Constitution de 1958 réaffirme ce principe : «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion »

Donc par son statut Juridique la laïcité recommande l'égalité entre les religions et les convictions, (ce qui peut aboutir au communautarisme tant décrié).

La loi française de 1905 (ou ce qu’il en reste) séparant les Églises de l’État s’est efforcée de régler la question des rapports entre l’État et la religion dominante de l’époque: l’Église catholique qui reste surtout privilégiée pris en charge par l’État.

Pire encore la loi française de 1905 n’a pas empêché les privilèges communautaires accordés aux juifs et au Judaïsme comme religion reconnue, génératrice de communautarisme juif, et le germe est là. (Ecoles privés juives subventionnées par l’État, la cacherout alimentaire, les femmes de religion hébraïque ont bénéficié un temps réservés à leur usage aux piscines, les demandes de dispenses à l’examen, pour les jeunes accordées le samedi, jour du "chabbat", siège du Consistoire "beth din", une cour d'arbitrage rabbinique rendant ses jugements conformément à la "halakhah" la Charia juive, un ensemble de règles qui régis la vie juive au quotidien.).

Il y a  contradiction entre l’identité ethnique et la citoyenneté, ce qui est refusé à d'autres, est tout simplement toléré pour les juifs et surtout dans cette espèce d'engouement des milieux politiques et médiatiques pour tout ce qui concerne les juifs ?

La laïcité disposait en arrière plan l’existence d’une communauté juive qui, de fait, n’hésite pas à se dire, tout simplement, française. Là encore, on joue avec les mots, on en emploie un pour un autre dans la volonté des Juifs de vivre dans une communauté qui ne respecte pas et qui s’en foute royalement des règles de la république, ce qui n’est le cas ni des musulmans ni des catholiques attachés à leurs origines religieuses.

En tout état de cause, un communautarisme permettant notamment de conserver leurs traditions, en disposant de tribunaux et d'écoles et dont personne n'ose dire mot, celui d'une partie des juifs. ce communautarisme juif existe bel et bien, il est plus visible actuellement, c’est là un communautarisme aveugle, pour le constater il suffit de voir que l’enseignement dans école juive souvent adepte  de la non-mixité entre garçons et filles, les élèves suivent de quatre à douze heures par semaine un enseignement sur : talmud, histoire, hébreu, voire araméen.

Un véritable enseignement religieux et identitaire poussé et de la religiosité accentuée au mythe de la communauté élue.

Cet état de fait s’inscrit dans une tendance à l’isolement, je préfère parler de marginalisation, un entre soi lié à la volonté de transmettre la culture et la religion pour renforcer l’identité juive des élèves, soit un communautarisme montant qui entraînerait un enfermement des enfants juifs dans leur religion, à un moment où les enfants musulmans sont engagés dans l’école public plus que jamais.

Certes il existe également des écoles confessionnels musulmans sous contrat avec l’État, mais ne sont pas légion. Il n’existe qu’une trentaine d’écoles privées musulmanes en France, elles sont également moins fréquentées par leur statut d’établissement privé sous haute surveillance étatique avec une  surveillance accrue Des obstacles se forment autour de l’école musulmane, Jusqu’en 2003, la deuxième religion de France ne disposait pas d’instance représentative.

Quant aux écoles juives et catholiques, c’est en revanche le caractère religieux qui oriente le choix des parents et des élèves

Ce qui est moyenâgeux, c’est lorsque le fait communautaire implique un isolement dans des modes de vie, un repli sur soi dans des relations sociales, à hurler en permanence à l'antisémitisme, pour venir ensuite sangloter contre une certaine exclusion, après avoir tout fait pour s'affirmer différent, relève alors de la plus profonde hypocrisie, c'est à la fois dégueulasse et indigne, c’est dire que le communautarisme juif en prenant son fantasme pour la réalité, ne cesse de planifier de la revendication de droits religieux, des droits spécifiques qui priment sur les droits sociétales de toute un  pays. afin de se préserver de toute influence .

Pourtant il est toujours dit que la laïcité a donné naissance à la nécessité de faire place à d’autres religions. Ce qui au départ était une bonne chose, Elle ne prévoit pas la disparition des religions de l’espace publique mais organise la neutralité religieuse de l’État, mais le judaïsme au réflexe communautariste a humilié la Laïcité.

 

Le mythe du musulman Violent et Violeur !

https://storage.canalblog.com/15/90/1516061/124037506_o.jpg  

Certains milieux chrétiens vont même jusqu’à déclarer que l’islam est intrinsèquement violent puisque le Qu’ran justifierait et légitimerait, selon eux, la « guerre sainte ».  Or cette confusion n’a aucun lien avec le sens réel de cette notion dans le lexique de l’islam. Il y a une fausse dichotomie dans la pensée occidentale au discours haineux à l'égard des musulmans qui se répand et gagne en excès avec un message obscur pour faire croire à ce mythe à propos du musulman violent, terroriste, criminel, violeur soit une personne qui est principalement sujette à la violence juste parce qu'il est musulman.

Quand les xénophobes parlent de violence musulmane, Ils prennent pour motif des choses qu'un musulman ou un petit groupe de musulmans ont fait ou auraient fait, et les extrapolent à tous les musulmans. L'islam et la culture musulmane étaient responsables du crime individuel, affirme-t-on. Le musulman est diabolisé et les gens sont trompés pour avoir peur de lui. Ainsi: être musulman est un accessoire du meurtre, de la violence, du viol et de la criminalité, ce que l’église chrétienne et les médias occidentaux tendent à faire passer comme message à leur communauté.

Faut-il se rappeler dans ce que les nazis ont appelé «Les Juifs sont nos malchanceux». C’est ce que réclamaient les nazis des années 1930 les mêmes mensonges sur les juifs, la presse Nazi n’hésite pas à présenter des articles expliquant comment la culture juive et les livres saints (le Talmud) auraient encouragé les Juifs à tuer, à mentir et à voler des non Juifs. les nazis organisent un immense boycott, interdisent les unions exogamiques et toutes relations sexuelles entre Juifs et non Juifs, sont considérés comme une souillure.  Les Juifs sont privés de leur citoyenneté et deviennent des sujets de statut inférieur. Le Juif a été diabolisé, qu’il possède une culture juive du viol. Le Juif est sexuellement indiscipliné et utilise toutes les occasions pour satisfaire son avidité sexuelle." Les Juifs utilisaient même le sang d'enfants dans leur nourriture, ont affirmé les nazis.

Aujourd'hui, les musulmans sont également blâmés, avec la même logique raciste que les nazis ont utilisée, l’église chrétienne et la presse Occidental rapportent sur les musulmans aujourd'hui, les même propos !

Historiquement, les musulmans ont apporté beaucoup à l'épanouissement de la civilisation humaine. Les premiers chrétiens au contact de l’Islam ont rapportés :

Ils (les musulmans) sont équitables, ne nous font aucun tort et ne se livrent à aucun acte de violence envers nous » écrit le patriarche de Jérusalem à celui de Constantinople au IXe siècle.

Dans une correspondance datant de 650 écrite par le Patriarche de l’Église d’Orient Ishoyahb III  déclare :

« Quant aux Arabes, à qui Dieu a donné en ces temps de gouverner le monde, vous savez bien comment ils agissent envers nous : non seulement ils ne s’opposent pas au christianisme, mais ils font l’éloge de notre foi, honorent les prêtres et les saints de notre Seigneur et apportent leur aide aux églises et aux monastères »

L'islam a ainsi étendu son mode de vie en des régions qu'il avait pénétré de manières toujours paisible.

Le musulman est totalement dépendant de la Souveraineté Divine et se conforme entièrement à Sa Volonté et à Sa Sagesse. Il ne prend pas position selon ses passions. La modération est un principe islamique, lié au «Juste Milieu», et donc à la notion de «Droiture» qui est une grande vertu en islam.  

Surtout que le musulman contrairement au juif et chrétien n'aime pas être désigné par sa religion, mais par l'ensemble des paramètres  qui font de lui un être humain sujet par les mêmes angoisses, souffrances et  bonheurs, d’une vie.

L’évidence au quotidien nous permet de constater que le Musulman n'éprouve aucune hostilité ou animosité envers les autres croyances, bien au contraire, il reconnaît à ces religions le droit d'exister avec leurs spécificités et leurs valeurs propres. L’Islam recommande aux musulmans de respecter ceux qui ne partagent pas les mêmes croyances qu'eux et de vivre avec eux en bons termes.

En conclusion, je termine pour dire que La religion musulmane est une des religions les plus pratiquées au monde et elle se présente donc comme un concurrent très puissant pour l’église chrétienne qui semble toujours noyés dans l’aliénation morale, les fidèles chrétiens écoutent les paroles de leurs prêtres qui les orientent en réalité vers un processus de déstabilisation morale pour jouer aussi un rôle majeur dans la diffusion de la désinformation et des messages négatifs.

Pour ce faire l’Église chrétienne par chauvinisme culturel aurait créé une nouvelle inquisition sous forme de la phobie publique envers le musulman et l’Islam afin de pulvériser son principal concurrent : la véritable religion musulmane qui prêche le respect mutuel, la liberté et la justice.

Pourtant on peut aisément croire que le plus religieux et pieux des prêtres de l’église peut à tout moment devenir un prêtre pédophile tout en restant un représentant de Dieu sur Terre, en faisant son acte, il donne la bénédiction à sa victime. L’omerta en vigueur dans l’Église chrétienne au visage sinistre pour imposer le secret aux victimes d’abus sexuel de la part d’un prêtre et à tout témoin éventuel, pour certains  la dénonciation de cette loi de silence entraîne l’excommunication. En général c’est motus et bouche cousue ! Le Saint Esprit se chargera de pardonner !

L’Église d’aujourd’hui et tous les chrétiens paient les conséquences du comportement et de l’orgueil insensé, et l’Église chrétienne n’hésite à nous faire par outrecuidance des leçons sur le respect de la vie..

 

 

Peuple élu par qui et Terre promise pour qui ?

 

https://storage.canalblog.com/31/87/1516061/125190285_o.jpg 

J’estime qu’il est temps que nous réagissions à cette polémique plutôt agaçante à croire que seuls les juifs sont le peuple élu pour avoir la promesse d’une terre, au nom d’un serment divin et d’un soi-disant retour. C’est vrai que cette histoire biblique de la Terre promise à un Peuple élu que l’on nous rabâche depuis des années commence à être vraiment pesante, Elle vient d’être remise en cause par les recherches archéologiques et des Historiens.

Pas de peuple réduit en esclavage, pas de peuple élu, pas de terre promise par Dieu, L'occupation de Canaan est quasi inexistante, les paradoxes attachés à cette  notion de Terre promise sont donc nombreux, qu’il s’agisse de l’incertitude de la promesse et surtout il n’y a aucune preuve archéologique de l’existence de ces Hébreux tels qu’ils sont décrits dans la Bible ce qui permet de ne pas croire à la fable d’une terre sans peuple venant de menteurs patentés.

Donc il faut arrêter avec cette propagande victimaire des pauvres juifs errants dans le monde ayant été chassés par les   romains de leurs terres. Tout est cadré sur les juifs, à les prendre pour le centre du monde comme si l’histoire des autres n’existait pas, avec des mensonges évidents. C’est le sentiment d’une absurdité historique.

Les légendes bibliques censées certifier que Canaan est le pays promis aux juifs sont prises pour authentiques alors que l’archéologie affirme que c’est beaucoup plus compliqué, que l’histoire nous présente que les véritables descendants des juifs de l’antiquité sont surtout les palestiniens.

Selon certaines estimations 90% des juifs ne sont pas des sémites. le mythe de la diaspora juive issue de la Palestine qui aurait émigrée un peu partout dans le monde, n’est qu’un mythe. Ce n’est qu’une falsification de l’histoire perpétrée par les sionistes pour justifier la création d’Israël, un Etat Juif devenu une base ethniciste et du repli identitaire.

Tous ces juifs européens sont d’origine allemande et turco slave issu de l’ancien empire khazar qui s’étendait en Europe de l’Est et dans les Balkans qui se sont converti au Judaïsme pour des raisons politique.

Rien à voir avec les peuples sémites de la Palestine.

L’histoire de la conquête de Canaan par les Hébreux est un mythe inventé, le scepticisme de ce courant de pensée est justifié par le manque de traces de destructions violentes dans les ruines de plusieurs cités, et au constat que les périodes d'occupation, à l'exemple de Jéricho, sont souvent incompatibles avec le livre de Josué.

Pour l’auteur du livre de Josué, il s’agit l’écriture d’une l’histoire passée et d’un désir d’expliquer une conquête largement souhaitée, il rapporte que le Dieu des Hébreux le nom “Hébreu” évoque la notion de passage, un transit, un voyageur. Ce nom n’a jamais supposé être l’expression d’une religion, nationalité ou identité différente, et l’utiliser dans un tel contexte est un abus historique, donc ce Dieu des juifs emploie les grands moyens et ordonne la destruction de peuple qui vont probablement corrompre la foi d'Israël, par leur idolâtrie, leur indolence. Le risque est grand pour Israël de perdre la mémoire de la présence exigeante de Dieu. Les Cananéens n’ont jamais cherchés à corrompre Israël

Le livre de Josué (parle de sa propre mort, de son âge quand il mourait, et du lieu où il a été enterré) est marqué par la théologie de ses rédacteurs et paraît historiquement invraisemblable une mythologie biblique (Josué aurait arrêté le soleil, et la lune, pendant près d'une journée entière) qui ne doit pas être confondue avec l’histoire, et surtout ne donne aux Juifs aucun droit sur Jérusalem et sur la Palestine. 

Les Cananéens non rebelles tirent parti de cette situation. Ils marchandent, commercent, prospèrent, deviennent de grands navigateurs naturellement ou par la force des choses, voyagent par delà la mer et installent des colonies sur le pourtour de la Mer Méditerranéen. Quant aux juifs à cette époque, il n’en est fait aucune mention. Leur nom n’est évoqué que plusieurs siècles plus tard.

Nommé Phéniciens par les Grecs, ils sont dans nos mémoires une grande civilisation, alors considérer le livre de Josué comme offrant une vision de la conquête du pays de Canaan par les tribus d’Israël couronne à une fable, une erreur mensongère, car le livre en question n’est qu’une vision de fiction et caricaturale sans aucune valeur historique et tout est raconté du point de vue des envahisseurs afin de récupérer pour ne pas dire voler leur terre et leurs biens au profit du peuple juif ainsi qu’à la création d’un état Juif sur un des plus grand mensonge de l’Histoire de l’Humanité.

Cependant les fouilles archéologiques, par exemple, révèlent que les murailles de la forteresse cananéenne de Jéricho ne se sont pas abattues en quelques jours, au son des trompettes de Josué. Elles sont en fait tombées en ruine sur une très longue période d’abandon.

Les scribes, lors de l’exil à Babylone, ennemi juré de l’Egypte, vont rédiger un texte, la Bible, maintes fois remanié, où ne figure plus cette lointaine et gênante origine égyptienne, où les noms sont maquillés. Inventé donc, Abraham, inventée sa naissance en Mésopotamie!

Preuve s’il en est que les scribes ne connaissait rien de l’Histoire de l’Egypte, autre que ses administrations puisque la le pays de Canaan était d’abord une colonie égyptienne. Historiquement les Cananéens sont un peuple ancien, qui occupait une vaste zone le long de la méditerranée,

En plus, les justifications bibliques sont aujourd’hui définitivement balayées par les résultats archéologiques qui n’ont pas été effectuées tout simplement au bon endroit, seul   des fouilles archéologiques en Arabie peuvent conforter la théorie de l’Arabie Berceau de l’Humanité et lieu des événements bibliques.

Lorsque Ezra recopia le livre de la loi selon ce que l'on prétend, il arriva un autre événement dont il est fait mention au 1er livre des Macchabées dans ces termes : "Lorsque Antiochus conquit le royaume de Jérusalem il fit brûler toutes les copies du livre de la loi qu'il put trouver après les avoir déchirées. Il condamna à la peine de mort tous ceux qu'on trouverait en posséder une copie. Une inspection à cet effet était faite chaque mois, et l'on mettait à mort tous ceux qui l'on trouvait une copie que l'on détruisait en même temps".

L’histoire nous rapporte que cette persécution eut lieu en 161 avant J.C. et dura trois ans et demi, comme il est dit dans leurs histoires, et comme le déclare aussi l'historien Josèphe, et pendant ce temps toutes les copies du texte rétabli par Ezra  furent détruites, Afin de sauver l'historicité du récit biblique, certains avancent l'idée qu'il aurait été transmis oralement pendant des dizaines de générations, sans modification notable du texte.

A l'époque massorétique, le texte hébraïque ayant été dénaturé par les Juifs donc, quoi de mieux pour les Rabbins que de réécrire la Bible hébraïque afin de supprimer toute formulation susceptible de provoquer soit un blasphème, soit une médisance dangereuse pour le peuple juif et de créer des héros juifs imaginaires et d'autoglorification du peuple Juif, adjoignant le religieux pour avoir une certaine crédibilité et effacer de leur mémoire ces blessures et humiliations, ces rabbins commencèrent par détruire soigneusement et complètement les archives hébraïques ou encore de bafouer par pure fiction d'idéalisation et de redorer de façon assez particulière les paroles sacrés de Dieu Yahveh .

Rabbi Yohanan, maître de l'École de Tibériade au IIIe siècle tenait à préciser: «Mieux vaut déraciner une lettre de la Torah que de risquer une profanation du Nom de Dieu en public.» (Yevamoth 79a)

Par cette réécriture le peuple juif a rendu la Bible truffée de légendes, de contes, de récits de mythes et créé une histoire sur mesure pour exister au milieu des autres civilisations l'entourant qui le dépassaient et ignoraient carrément son existence tellement qu’il était insignifiant.

Alors redorer de façon assez particulières les paroles sacrées de Dieu yahveh, ce qui avait permis surtout aux religieux de gérer leurs angoisses existentielles de vaincus et de frustrés de l’histoire.

Ce qui est nouveau c’est que avec 70 ans de recherches et de fouilles même sous la Mosquée d’El Quods menées pour prouver l’existence d’un vestige juif qui aurai pu exister depuis fort longtemps sur la terre de Palestine suivant les vicissitudes bibliques, ont abouti exactement à ne rien prouver.

La conclusion est que la conquête biblique de Canaan par le peuple hébreu n'est qu'une pure légende, un art des Rabbins à  faire des mythes. Cet égotiste qu’on veut être élu, on peut aller loin, très loin jusqu’au bout de la connerie, pour clamer haut et fort «Une terre sans peuple pour un peuple sans terre». Un slogan mensongère, mais c’est toujours bon pour falsifier l’histoire et s’inventer un origine pour faire l'amalgame entre race et religion par une insulte démesuré faite à l'intelligence humaine. Arrogants et ignorants, ils ont moissonné l’éradication à force de manigancer de la servilité, ils ont ramassé une sortie de l’Histoire, avec un billet sans retour et surtout une peur éternelle.

Aujourd’hui dans la société Israélienne de culture essentiellement religieuse, plus de 85% de sa population conservent un passeport étranger qui leur permettra de quitter à tout moment le pays. Israël ne constitue donc pas un État à proprement parler et une économie artificielle mais un état militaire faisant fonction d’une base militaire des USA, un satellite de l’Oncle Sam à qui il doit tout.

L’Etat d’Israél ne dispose d’aucune constitution, Israël a recouru à ce qu’il appelle les «Lois fondamentales», guidées par l’engagement de l’État à la suprématie raciale pour un apartheid juif israélien Ashkénaze.

 Face à des nettoyages ethniques successifs et ces attaques génocidaires infligées, le peuple palestinien est légitimement en droit de résistance à l’oppression qui reste un des droits naturels et imprescriptibles.

 Sur ce je pense que les natifs de la Palestine historique c'est-à-dire le peuple Palestinien a la responsabilité et le devoir de faire clairement le choix de la résistance contre le colonialisme israélien . S’il ne le fait pas, d’autres ne le feront pas à sa place sans doute. Le peuple palestinien qui, quotidiennement à Al-Quds, Gaza, Naplouse, Jénine, Al-Khalil est appelé à résister, ne renoncera jamais à la victoire et la libération de la terre arabe de Palestine.

 Par ailleurs il faut souligner que certains Juifs profondément religieux, condamnent au nom de leur foi la création d’un Etat juif, par suite d’une colonisation de la Palestine en vue de la mise en place d’un « Foyer Juif » tout en mettant  à l’écart du  peuple de Palestine et son extermination programmée, en toute évidence.

En final il y a lieu de constater encore une fois que l’imaginaire biblique là encore a joué sa part, complexe de Massada et la question, toute coloniale de la Palestine.

 La vision de l’héritable juif est plus utilisée comme justification de leurs droits inaliénables sur la terre de la Palestine pour tomber dans la rhétorique d'essayer de nous expliquer que la souffrance des juifs a été supérieure et que ça justifie plein de choses. Comme par exemple, ce type de comportement, parce qu'ils sont juifs qu'ils volent la terre des autres avec l'excuse classique : "C'est dieu qui m'a donné cette Terre", suffisamment médiatisé ou enseigné.

Le bon sens admet qu’on doit arrêter de la manipuler au service d’une mauvaise cause, après avoir tout fait pour s'affirmer différent, relève alors de la plus profonde hypocrisie.

Un sport national juif !!!!